1775, Anecdotes dramatiques, tome III, p. 348 Molière avait un cœur excellent. […] Je le connais, dit Molière ; il a été mon camarade en Languedoc ; c’est un homme honnête homme. […] répliqua Molière, je vais les lui donner pour moi ; donnez-lui pour vous ces vingt autres que voilà. Mondorge parut : Molière l’embrassa, le consola, et joignit au présent qu’il lui faisait, un magnifique habit de théâtre, pour jouer les rôles tragiques.