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138. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre XII. Lo Ipocrito et Le Tartuffe » pp. 209-224

C’est, disons-nous, la comédie régulière qui a fourni à Molière l’esquisse du Tartuffe. […] Les analogies et les dissemblances entre l’œuvre de l’Arétin et l’œuvre de Molière sont très sensibles. […] D’autre part, quelle distance entre la conception de l’Arétin et celle de Molière ! […] Dans la comédie de Molière, combien l’idée grandit ! […] Molière touche au drame, et produit un effet immense qui traverse les siècles sans s’amoindrir.

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