[43, p. 73-77] 1705, Grimarest, p. 89-92 Molière, dans la société, possédait l’art si peu connu de ménager la délicatesse de ses amis, et qui plus est de leur donner d’excellents conseils. […] Monsieur sait que je suis en possession du devant de votre carrosse depuis plus de trente ans : pourquoi voulez-vous me l’ôter aujourd’hui sans raison ? […] Puisque vous vous en rapportez à moi, dit Molière, je vais tâcher de mettre d’accord deux si honnêtes gens. […] 213. Cette anecdote figure dans l’édition de 1855 du Moliérana, à la dixième place.