Dans cet art difficile où tu n’eus point de maître, Tu régnas deux cents ans sans rival, et peut-être Ta gloire doit toujours rester sans héritiers. […] Je déclare que je n’ai point prétendu refaire les deux vers de Chénier, et que, s’ils avaient rendu mon idée, je les aurais substitués aux miens quand on m’asignalé cette réminiscence ; mais je suis loin d’admettre que Louis XIV, placé à la tête du grand siècle auquel il a donné une si belle direction pendant les trente premières années de son règne, ait emprunté son éclat de l’éclat des arts, et je me suis décidé à laisser mes deux vers tels qu’ils sont. 2. […] 4. […] Parce que l’on ne vit pas seulement de gloire, et que ceux qui travaillent pour les petits théâtres gagnent plus d’argent en six mois que l’auteur d’une bonne comédie en dix ans.