Si, par le motif que j’ai indiqué, il ne faut raisonnablement pas attendre de la part des ministres de la religion la censure de la fausse dévotion, la morale, offensée par l’hypocrisie des pervers qui se couvrent du manteau de la piété, doit accepter avec reconnaissance, au lieu de la mépriser, la critique du comédien qui, par la puissance de son génie, a su devenir un des plus grands littérateurs dont s’honore la France, un moraliste et un peintre de caractère incomparable, enfin un savant professeur de la science du cœur humain. […] D’autres disaient que dans tout ce qu’ils voyaient il n’y avait rien de sérieux et que l’on faisait tout cela pour les tromper, que cette prétendue guerre n’était qu’une comédie dont toutes les scènes avaient été réglées d’avance entre la Prusse et la France pour les faire enrager.