Seroit-ce encore un Dieu ? […] C’est sans doute ici le Palais du Dieu de l’hiver ? […] ) Comme vous êtes un Dieu, j’ai mis le placet en votre langage, je l’ai écrit en vers. […] Un Dieu sait toutes choses. […] Je crois, Dieu me pardonne, que le marouffle . . . .