Molière croît en Dieu et le défend, — et cette foi n’a pas chez lui une origine religieuse. […] D’où viennent donc, et son idée de Dieu, et le principe de sa morale ? […] ou Dieu lui-même ne pouvait être conçu que sous la forme d’un homme, d’un vieillard vénérable ? […] Amour magnifique, chrétien en un mot… quand il n’est pas seul, quand il est pénétré, soutenu, purifié par un amour plus élevé encore, par l’amour pour Dieu. […] De là son Dieu chrétien, — à côté de l’autre, — de là sa certitude chrétienne de l’immortalité, — à côté de ses doutes.