À parler sans détour, jouer ainsi le rôle de Célimène, c’est le travestir. […] Célimène est si gracieuse ! […] Mme Plessy ne comprend pas le rôle de Célimène et le joue d’une manière inintelligible. […] Quand il parle à Célimène de sa tendresse, sa voix devrait s’adoucir. […] Dans ce dernier ouvrage, en effet, c’est à Célimène que s’adressent presque tous nos reproches.