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45. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64

La coquetterie de Célimène, l’hypocrisie d’Arsinoé, la paresse vaniteuse des deux marquis, l’insouciance équivoque de Philinte, la fatuité d’Oronte, y sont exposés sous leur vrai jour, et le ridicule dans lequel tombe Alceste, par son exagération quelque peu personnelle, ne fait nul tort à l’estime réservée à sa loyauté et à sa franchise vis-à-vis de lui-même et vis-à-vis des autres.

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