Et cependant Célimène le persifle, au grand applaudissement des marquis, et nous ne pouvons nous-mêmes nous empêcher de le trouver plaisant. […] Dira-t-on de Célimène, comme Rousseau l’a dit de Philinte, que c’est le sage de la pièce ? […] C’est une Célimène de bas étage, qui essaie de jouer la vraie. […] Il voudrait le défendre de la fausse Célimène, comme Philinte défend Alceste de la vraie. […] Le dénouement des deux pièces est semblable : comme Célimène, la baronne d’Ange est démasquée, humiliée.