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81. (1746) Notices des pièces de Molière (1658-1660) [Histoire du théâtre français, tome VIII] pp. -397

M. Despréaux a si bien exprimé dans sa septième Épître, adressée à M.  […] Le grand succès de ce petit ouvrage lui attira des critiques2 que L’Étourdi et Le Dépit amoureux n’avaient pas essuyées : mais toutes ces critiques sont tombées dans l’oubli qu’elles méritaient. » « [*]Un jour que l’on représentait cette pièce, un vieillard s’écria du milieu du parterre : Courage, courage, Molière, voilà la bonne comédie. » « 3 On eut honte de ce style affecté, contre lequel Molière et Despréaux se sont toujours élevés. […] Racine et Despréaux, de Lully, et de M.  […] M. Despréaux ne se lassait point d’admirer Molière, qu’il appelait toujours le contemplateur.

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