M. Despréaux a si bien exprimé dans sa septième Épître, adressée à M. […] Le grand succès de ce petit ouvrage lui attira des critiques2 que L’Étourdi et Le Dépit amoureux n’avaient pas essuyées : mais toutes ces critiques sont tombées dans l’oubli qu’elles méritaient. » « [*]Un jour que l’on représentait cette pièce, un vieillard s’écria du milieu du parterre : Courage, courage, Molière, voilà la bonne comédie. » « 3 On eut honte de ce style affecté, contre lequel Molière et Despréaux se sont toujours élevés. […] Racine et Despréaux, de Lully, et de M. […] M. Despréaux ne se lassait point d’admirer Molière, qu’il appelait toujours le contemplateur.