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169. (1885) La femme de Molière : Armande Béjart (Revue des deux mondes) pp. 873-908

Sauf pour quelques-uns, comme Boileau, qui mesuraient toute l’étendue de cette perte, ce n’était qu’un très amusant comédien, qu’un excellent auteur, dont on regrettait la mort prématurée, mais dont on ne songeait nullement à faire l’apothéose.

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