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125. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Un jour, au cabaret, Boileau, qui venait de lire des vers, priait Molière d’en lire à son tour : « Ah ! […] Despréaux ?… Il avait attaqué Despréaux ? […] Il avait attaqué en vers les vers de Boileau, et ses vers étaient fort bons. Des vers fort bons contre Boileau ?

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