Horace apprend que son pere arrive pour le marier : il prie Arnolphe de parler en sa faveur, afin qu’on ne le force pas à faire un hymen qui lui déplaît, & qu’on lui permette d’épouser Agnès. Arnolphe, qui est amoureux d’Agnès, exhorte au contraire le pere d’Horace à ne pas se laisser gouverner par son fils, à presser malgré lui l’hymen projetté ; alors on le surprend, en lui disant : ACTE V. […] Arnolphe anéanti n’a pas la force de répondre, & sort en soupirant. Arnolphe. […] Elle est aussi peu prévue que l’autre, surprend un plus grand nombre de personnages fortement intéressés à l’action, fait sur eux différentes impressions, & bouleverse tout, puisqu’Arnolphe, qui pense triompher de son rival, est obligé de lui céder sa maîtresse ; & qu’Agnès & Horace, qui se croient perdus, voient tout d’un coup combler leurs vœux.