Il se moquait d’Arnolphe et riait de Sganarelle, et que de traits, pour les peindre, il empruntait à son propre caractère ! […] Arnolphe dans L’École des femmes. […] Et cette bouche ironique et confiante à la fois, regardez-la ; regardez cette lèvre supérieure, arquée comme celle d’Alceste, cette lèvre inférieure déjà lasse et froncée comme celle d’Arnolphe. […] Il faudrait peut-être ajouter une quatrième pièce à celles-ci, L’École des femmes, une incomparable, cruelle et charmante comédie, où Arnolphe égale Othello. […] « Tout le monde connaît le vers de Molière qui termine la fameuse scène de L’École des femmes, entre la jeune Agnès et Arnolphe, qui apprend d’elle que le galant s’est introduit dans la maison : … C’est assez ; Je suis maître, je parle, allez, obéissez !