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36. (1852) Légendes françaises : Molière pp. 6-180

Dans cette situation d’esprit, il écrivit le rôle d’Arnolphe. […] Peut-être crut-il que, par le contraste de ce rôle d’Arnolphe et de sa propre conduite, il ferait sentir à sa jeune épouse ce qu’il y avait de cruel dans sa vie légère, et qu’il la ramènerait ainsi à de meilleurs sentiments. […] Le rôle d’Agnès fut confié à Mlle de Brie; quant au rôle d’Arnolphe, Molière le joua lui-même. […] Qu’enfin dans la passion d’Arnolphe, c’était sa propre passion qu’il exposait aux rires de la foule ! […] Arnolphe et la naïve Agnès, au deuxième acte, font ensemble un dialogue qui devait peu leur plaire.

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