Arnolphe, ou M. […] Parcequ’il est vieux, qu’Agnès est jeune ; & que le mot d’amour, toujours ridicule dans la bouche d’un vieillard, l’est encore davantage quand il s’adresse à une jeune personne : témoin cette tirade qui fait rire aux éclats quand Arnolphe la débite à Agnès, & qui, sans en changer un seul mot, deviendroit attendrissante entre deux jeunes amants. […] Arnolphe. […] Arnolphe. […] Parcequ’ils sont tous deux dans cet âge brillant fait pour la tendresse ; que l’amour est chez eux un penchant bien intéressant, qu’on peut ériger en vertu ; & que les années d’Arnolphe l’ont rendu, chez lui, une foiblesse impardonnable.