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12. (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362

On dit qu’Alceste est risible, cela est vrai, mais pourquoi l’est-il ? […] Il n’y a pas trace de jansénisme, ni même de dévotion dans Alceste. […] C’est une sorte de fusion entre Alceste et Philinte. […] Je pense pour ma part qu’Alceste finira par en tirer cette leçon. […] Tel est l’Alceste idéal qui se cache au fond de l’Alceste réel, mais qui avait besoin d’une épreuve pour se dégager.

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