Voilà les personnages d’Arnolphe et d’Agnès ; voilà, pour dire vrai, tout le sujet de L’École des femmes, considérée comme leçon de mœurs. […] Le rôle d’Agnès n’est point inférieur à celui d’Arnolphe. […] Il fallait qu’Agnès, échappant à la passion tyrannique d’Arnolphe, devînt la récompense d’un autre amour, et que, par conséquent, elle fût digne, à tous égards, de l’affection d’un galant homme. […] de se comporter comme Agnès, si elles sont ingénues comme elle ? […] L’École des femmes emprunterait-elle son titre de ces Maximes du mariage dont Arnolphe fait faire la lecture a Agnès ?