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57. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

Allez voir la jeune Agnès ! Agnès, charmante enfant, presque aussi touchante que le jeune Arthur de Shakespeare : Ne brûle pas mes pauvres yeux, Hubert ! […] Isidore se défend non pas avec toutes sortes de mensonges et de colères, comme fait Rosine, mais elle se défend en disant naïvement ce qu’elle a sur le cœur. — Ainsi fait Isabelle dans L’École des maris, ainsi fait Agnès dans L’École des femmes.

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