Allez voir la jeune Agnès ! Agnès, charmante enfant, presque aussi touchante que le jeune Arthur de Shakespeare : Ne brûle pas mes pauvres yeux, Hubert ! […] Isidore se défend non pas avec toutes sortes de mensonges et de colères, comme fait Rosine, mais elle se défend en disant naïvement ce qu’elle a sur le cœur. — Ainsi fait Isabelle dans L’École des maris, ainsi fait Agnès dans L’École des femmes.