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35. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Il aurait donné à Agnès une éducation très complète et très raffinée. […] Agnès est, pour ainsi dire, une âme toute nue. […] Ce même amour, Arnolphe l’a gardé pour Agnès devenue jeune fille. […] Il traite Agnès avec le mépris qu’il a pour tout le sexe en général. […] Vous proposez à Agnès de vous arracher un côté de cheveux.

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