On me dira que d’autre part Agnès aussi est un égoïsme féroce et qu’elle est victorieuse. […] On me répondra : « Il suit la nature pour son compte ; mais il la contrarie dans Agnès ! […] Il ne contrarie pas la nature dans Agnès, il la laisse dans sa nature et c’est précisément la bêtise qu’il a faite et qu’il fait. […] Agnès est la fille de la nature comme sa voulu Arnolphe et comme il sa beaucoup trop voulu pour ses intérêts. […] Arnolphe, quand il s’agit d’Agnès et à l’égard d’Agnès, est d’une dureté incroyable ; mais là où Agnès n’est pas en question ni la considération d’être trompé comme mari, Arnolphe est un homme comme un autre.