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61. (1914) En lisant Molière : l’homme et son temps, l’écrivain et son œuvre pp. 1-315

Le principal personnage tient de l’étourdi proprement dit et du généreux, ce qui le rend très sympathique tout en le laissant très plaisant. […] Molière n’a pas laissé de le connaître, témoin l’Étourdi et l’Alceste du Misanthrope et le Chrysale des Femmes savantes. Le style de l’Étourdi ne plaisait pas du tout à Voltaire qui y trouvait des fautes contre la langue. […] L’Étourdi, qui est resté au théâtre, soutient très bien la représentation encore aujourd’hui. […] Il est moins complexe que l’Etourdi.

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