Sir Martin est plutôt une imitation qu’une traduction littérale de L’Étourdi. […] Trois traductions littérales de L’Étourdi ont paru en anglais, la première en 1714, la seconde en 1732, dédiée à lord Chesterfield, et la dernière sous les auspices de M. […] Il a aussi imité la troisième scène du second acte de L’Étourdi. […] Quoi qu’il en soit, c’est encore un assez mauvais moyen, pour remédier aux partages nuls, que de supprimer totalement les recettes ; on rouvrit donc avec L’Étourdi. […] Dans ma notice sur L’Étourdi, j’ai aussi parlé de M.