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14. (1850) Histoire de la littérature française. Tome IV, livre III, chapitre IX pp. 76-132

. — L’Étourdi. […] Le Menteur, joué en 1652, suscite l’Étourdi, joué un an après. […] Il y a un écrivain de génie dans L’Étourdi, le Dépit amoureux, les Précieuses ridicules, Sganarelle ; il y a une comédie parfaite en son genre, il y a un théâtre. […] il serait vaincu par une sotte et un étourdi ! […] L’Étourdi, acte V, scène XI.

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