Il l’a prise en quelque sorte à l’état brut afin qu’elle n’écoutât que la pensée de la nature qui est en même temps la pensée de la comédie : l’amour est le privilège de la jeunesse. […] C’est la femme tout entière, ce sont ses travers, ses lacunes, disons le mot, son insuffisance que Molière nous a montrée, lorsqu’elle sort de l’état et des occupations de son sexe.