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17. (1838) Du monument de Molière (Revue de Paris) pp. 120-

Aurais-je en moi le talent de style, l’esprit, le génie, la grâce, l’imagination, la verve de toute notre époque, qui est pour moi, à beaucoup d’égards, la plus grande des époques, je ne me hasarderais pas à faire une comédie en un acte pour MM. les comédiens du roi. […] Je crois encore, car, si j’ai la critique rare, je l’ai causeuse, que toutes les comédies sont à peu près bonnes pour leur époque.

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