Il usait aussi fort indiscrètement du mobilier d’un certain mari de Pézenas, et comme, suivant la tradition, il était aidé dans cette besogne par l’épouse du quidam, celui-ci, un beau jour, trouva la chose mauvaise, et força Molière à chercher, par les gouttières et les toits, une voie de salut, dans laquelle il a été suivi, depuis ce temps jusqu’à notre époque, par plus d’un braconnier de l’amour. […] Je ne sais si, au temps de ses belles extravagances avec le comte de Modène et avec Molière, elle avait l’amour du luxe et la main dépensière ; ce qui ne parait pas douteux, c’est qu’à l’époque de sa mort, elle vivait bien simplement, dans un intérieur qui ne rappelle ni celui de sa mère, ni celui de ses sœurs. […] Mlle Du Parc était morte depuis quatre ans, lorsque Corneille faisait représenter Pulchérie ; mais le cœur du vieillard est encore ému et grondant comme à l’époque où une douleur quotidienne le venait aiguillonner.