Géronte l’accepte pour gendre : Sganarelle pardonne à sa femme les coups de bâton qu’il a reçus, en faveur de la dignité où elle l’a élevé ; mais il l’exhorte en même temps à vivre désormais dans un grand respect avec un homme de sa conséquence, parceque la colere d’un Médecin est plus à craindre qu’on ne peut croire.