Ainsi, le futur Molière fut élevé jusqu’à dix ans par une mère qui paraît avoir été une femme élégante et distinguée. […] Molière s’était élevé lui-même, par degrés, au même niveau, et l’avait dépassé. […] L’observation y est plus profonde que dans les pièces précédentes, et en même temps on y saisit une intention plus haute et un enseignement plus élevé. […] Fournier a laborieusement élevé. […] Elle pouvait avoir de l’esprit, « du plus fin et du plus délicat » ; mais ce n’était ni un cœur généreux ni une intelligence élevée.