La première édition des Œuvres de Gassendi est de 1658, et le Festin de Pierre de 1665. […] « À propos de ce mot humanité, qui n’était point d‘un usage populaire du temps où fut jouée cette pièce, Aimé Martin remarque justement que Molière, en l’employant, semble pressentir et critiquer à l’avance l’abus qu’en feront au commencement du siècle suivant les esprits forts, et à la fin de ce même siècle les scélérats qui ont fait de la guillotine l’instrument de leur politique. » Œuvres complètes de Molière, édition variorum de Ch. […] I, édition variorum de Ch. […] Au 2e vers de la scène vu de l’acte III, dans toutes les éditions de Molière, on lit : « Ô ciel, pardonne-lui la douleur qu’il me donne !