Ce fut lui qui publia la première édition des œuvres du maître, une édition digne de cette renommée, mais on lui reproche, non sans quelques raisons, d’avoir eu sous la main tous les papiers de Molière, manuscrits, lettres, poésies, — des autographes qu’on paierait aujourd’hui un million — et de ne les avoir pas transmis en mains loyales.