Au premier rang, dans ce cortège de grands écrivains qui inaugurent par des chefs-d’œuvre le règne personnel de Louis XIV qui les inspire et qui les protège, nous rencontrons d’abord Molière, qui obtint toutes les franchises du génie sous la royauté absolue. […] Il nous reste à noter encore quelques reproches articulés par d’illustres écrivains, et la restriction apportée à l’éloge par cet arbitre du goût, qui cependant avait proclamé devant Louis XIV la supériorité de Molière sur tous les hommes de génie de son siècle.