Boileau n’a fait qu’exprimer le jugement de Molière sur le métier d’écrivain : Soyez plutôt maçon, si c’est votre talent, Ouvrier estimé dans un art nécessaire, Qu’écrivain du commun et poète vulgaire184. […] C’est ainsi qu’un bon écrivain est un homme utile, moins pour ce qu’il enseigne que pour l’habitude qu’il donne à ses lecteurs de penser raisonnablement.