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33. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE III. L’Honnête Homme. » pp. 42-64

Boileau n’a fait qu’exprimer le jugement de Molière sur le métier d’écrivain : Soyez plutôt maçon, si c’est votre talent, Ouvrier estimé dans un art nécessaire, Qu’écrivain du commun et poète vulgaire184. […] C’est ainsi qu’un bon écrivain est un homme utile, moins pour ce qu’il enseigne que pour l’habitude qu’il donne à ses lecteurs de penser raisonnablement.

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