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18. (1900) Molière pp. -283

Eugène Yung, écrivain distingué, possédait deux grandes qualités, véritables dons de nature : il savait manier la publicité et donner une direction aux foules ; il possédait en outre les qualités d’un administrateur. […] Cette fois, en effet, au lieu de l’écrivain que l’on connaît, de l’irréprochable, de l’impeccable écrivain, dont on sait la langue constamment exemplaire et définitive, la verve serrée, l’essor hardi, mais toujours sûrement réglé, nous offrons un autre J. […] Cela légitimerait presque les représailles qu’a entreprises un écrivain catholique de nos jours, M. Louis Veuillot. — Je ne veux pas, moi, faire de représailles ici ; je veux étudier l’homme en lui-même, tel qu’il est, et essayer de juger l’écrivain. […] Non ; est-ce d’un écrivain laïque du xviie  siècle ?

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