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13. (1863) Molière et la comédie italienne « Préface » pp. -

Les pièces espagnoles, autant qu’on peut le conjecturer, ne devaient pas figurer dans ce chiffre pour une quantité égale à celle des pièces italiennes ; mais il est certain qu’il y avait là un certain nombre de tomes de Lope de Vega, de Moreto, de Calderon, et d’autres écrivains espagnols. […] J’arrive, au contraire, après beaucoup d’autres écrivains du siècle dernier et du siècle présent.

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