Absolument, littéralement, rien de pareil ou de lointainement analogue dans Molière, et précisément si Rousseau, sans aucun doute, est choqué qu’il y ait si peu de traces de patriotisme dans les grands écrivains du XVIIe siècle en général, il l’est tout particulièrement en présence de celui de ces auteurs qui assurément en montre ou en laisse deviner le moins. […] C’est par les parties les moins délicates de leur génie que les grands écrivains ont prise d’abord sur la foule de leur temps, ensuite, quoiqu’un peu moins, sur la foule des siècles suivants. […] Ainsi de suite, et c’est par les parties les plus médiocres, sinon les plus misérables, de leur intellect, que les grands écrivains se font une clientèle posthume et sont immortels ; et aussi bien il serait un peu extraordinaire que ce fût par les plus hautes.