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3. (1835) Mémoire pour servir à l’histoire de la société polie en France « Chapitre XXXVII et dernier » pp. 442-475

« Le roi, lui écrit-elle, a passé deux heures dans mon cabinet ; c’est l’homme le plus aimable de son royaume. […] Le 28 octobre, madame de Maintenon écrivait à madame de Saint-Géran. […] Madame de Coulanges m’écrit au retour de Saint Germain ; elle est toujours surprise de la sorte de faveur de madame de Maintenon. […] « Ayez pitié, lui écrivait-elle, de gens plus malheureux que coupables. […] Je n’ai pas eu le dessein d’écrire la vie entière de madame de Maintenon, et de la suivre dans son existence politique.

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