Le 8 juillet, madame de Sévigné écrit à sa fille : « Le roi arrive ce soir à Saint-Germain, et par hasard madame de Montespan s’y trouve aussi le même jour. […] « Je désire plus ardemment que jamais, écrivait-elle, d’être hors d’ici, et je me confirme de plus dans l’opinion que je ne puis y servir Dieu. […] Madame de Maintenon veut toujours se retirer ; elle écrit de Versailles à Gobelin le 15 juin au soir : « J’ai prié madame la duchesse de Richelieu de vous dire ce qui s’est passé ici. […] Ce que madame de Maintenon prévoyait quand elle écrivait à Gobelin, « J’aurai de grands chagrins », ne tarda pas à se réaliser. Elle lui écrivit une lettre sans date autre que celle de 1676 ; mais qui est certainement du mois de juillet, comme on le verra par une lettre suivante qui est explicative de celle-ci.