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9. (1882) L’Arnolphe de Molière pp. 1-98

Toutefois, écoutons son secret : car il va. libéralement nous le dire. […] On prétend qu’un jeune homme est ici venu, que vous avez écouté ses harangues ; j’ai gagé que c’était une fausseté pure… — Oh ! […] Écoutez comme le murmure gagne : - Cela est choquer nos mystères ! […] L’on pense comme Arnolphe l’écoute. […] Ecoute seulement ce soupir amoureux, Vois ce regard mourant.

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