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3. (1886) Molière et L’École des femmes pp. 1-47

Je ne vais pas, vous le comprenez, vous raconter L’École des femmes. […] Tout compte fait, il a été décidé que cette École des femmes était d’une insupportable grossièreté. […] Les dévots s’étaient scandalisés de quelques vers de L’École des femmes ; les hommes de lettres s’allièrent avec les dévots. […] A-t-on épilogué, notamment, sur L’École des femmes ? […] Encore ne faut-il pas perdre de vue ce mot école qui brille en tête de deux pièces et qui signifie bien quelque chose apparemment.

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