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127. (1848) De l’influence des mœurs sur la comédie pp. 1-221

Molière, Critique de l’Ecole des Femmes. […] Molière avait cependant frayé cette bonne route, et, dans le passage de La Critique de l’Ecole des Femmes que nous avons choisi pour épigraphe, il exprime par l’organe de Dorante son propre sentiment sur le genre de talent et la mission des poêles comiques. […] Dans L’École des Vieillards, Danville fait aussi reproche à sa femme de la société qu’elle reçoit des grands dîners qu’elle donne, des beaux esprits qu’elle y invite. […] Néanmoins, si parmi les grandes comédies en vers il nous fallait assigner le rang que doit occuper L’École des Vieillard, ce n’est point à côté des Deux Gendres ni du Philinte de Molière, ni du Méchant, que nous lui donnerions place. […] Scribe ont eu le tort de trop vanter peut-être, est érigée maintenant en système, et fait école.

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