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44. (1863) Molière et la comédie italienne « Chapitre V. Le théâtre des Gelosi (suite) » pp. 81-102

Je crois certainement que c’est Dieu qui a eu pitié de cette vertueuse enfant et de mon âme qui allait à la perdition. […] Je ne crois point qu’Isabelle Soit une femme mortelle, C’est plutôt quelqu’un des dieux Qui s’est déguisé en femme Afin de nous ravir l’âme Par l’oreille et par les yeux. […] Mais, outre qu’elle s’attire Toute âme par son bien dire, Combien d’attraits et d’amours Et d’autres grâces célestes, Soit au visage ou aux gestes, Accompagnent ses discours !

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