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3. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Cette vie ne révèle point une âme fière. […] Que dire à ces âmes ? […] Il parle du rire de l’âme ! […] Faire rire dans l’âme ! […] Le rire de l’âme, c’est la joie ; mais la joie n’est connue que des âmes pures, et la satisfaction qui grince dans les autres âmes n’est ni le rire ni la joie.

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