Marie de Rabutin-Chantal venait d’épouser, à l’âge de dix-huit ans, le marquis de Sévigné. […] Il avait donc un certain âge. […] À l’âge de trente-huit ans et plus, il lui fallait un caractère plus mûr, moins pétulant, moins moqueur. […] Il ne pouvait se dissimuler l’extrême disproportion d’âge qu’offrait une telle union. […] La plus sérieuse, sans contredit, se fonde sur l’âge de Marie Hervé.