En parcourant les fables de la Mothe, on en trouve une sur le gouvernement électif dont la vue du poteau semble lui avoir suggéré l’idée ; nous n’en citerons que les derniers vers : « On dit que le vieux singe, affaibli par son âge, « Au pied de l’arbre se campa ; « Qu’il prévit, en animai sage, « Que le fruit ébranlé tomberait du branchage, « Et dans sa chute il l’attrapa. […] Dans un premier article nous avons entretenu nos lecteurs du Pavillon des Singes et de sa curieuse sculpture ; nous nous proposons aujourd’hui de parler de la maison elle-même, dont la trace à travers les âges nous a été transmise par les titres de propriété très complets que l’administration de l’Assistance Publique, qui a possédé cette maison depuis 1681 a conservés avec soin dans ses archives et même sauvés des incendies de 187123.