le suit trop les loix, Et tu prends faussement & son nom & sa
voix
. Il est nuit ; Sganarelle peut ne pas reconnoîtr
lle : prévenu par ce qu’elle lui a dit, il peut encore méconnoître sa
voix
, puisqu’elle la contrefait. Mais peut-il penser q
dans ses bras. Pourquoi donc Valere ne l’auroit-il pas reconnue à la
voix
, à la taille ? &c. Sganarelle peut-il penser
s mon nom, Par la petite rue où ma chambre répond, Lui peindre, d’une
voix
qui contrefait la mienne, Quelques doux sentiment
Léonore auroit-elle pu penser qu’en contrefaisant, avec son amant, la
voix
d’Isabelle, & lui donnant des espérances sous
, dit-il encore, a-t-elle d’autres règles, que le bon sens, une belle
voix
, et de beaux gestes ? » Et c’est justement cela
c’est justement cela dont je me plains : Point de bon sens, point de
voix
, point de gestes, point de conduite dans le jeu d
sentir ce que l’on dit ; n’avoir pas d’entrailles. Je conviens qu’une
voix
sonore, et une flexibilité de corps, que nous ten
n trouve presque toujours au spectacle les rôles mal distribués : des
voix
ingrates qui ne peuvent fournir dans les mouvemen
varier dans la passion ; des Acteurs qui sans raison précipitent leur
voix
, par hémistiche, et qui font perdre la moitié de
ue les autres. On est désolé d’entendre des Acteurs qui poussent leur
voix
, comme des possédés, en prononçant, par exemple,
avent l’exécuter. Il faut encore une grande habitude pour donner à sa
voix
les inflexions qui conviennent ; une bonne poitri
evées au-dessus du commun. Pour réciter cette action il faut avoir la
voix
grave, noble, sublime ; et prononcer d’un ton pro
a douce satire pour la correction des mœurs. Cette action demande une
voix
ordinaire, mais agréable, et un ton moins élevé,
genre de déclamation on observe les mêmes principes pour conduire sa
voix
et ses gestes. Molière pouvait exécuter cette act
s du soleil ; attachés à la terre qu’ils fouillent, ils ont comme une
voix
articulée, et, quand ils se lèvent sur leurs pied
us sur le sol de la France, il est devenu tout à fait un homme, et sa
voix
compte, et sa voix donne l’empire ! Que si le cha
France, il est devenu tout à fait un homme, et sa voix compte, et sa
voix
donne l’empire ! Que si le chapitre du cœur humai
né si longtemps. Elle annonça cette triste nouvelle à ses amis, d’une
voix
calme et résignée, sans emphase et sans éclat, to
le divine ! quel geste honnête ! que de feu dans ce regard, et quelle
voix
! C’est cette même voix qui aujourd’hui encore, e
onnête ! que de feu dans ce regard, et quelle voix ! C’est cette même
voix
qui aujourd’hui encore, en songeant à cet accent
i ressemblât, seulement en intelligence, ou quelque belle douée de sa
voix
, ou bien ornée de cet esprit si fin, ou tout au m
ez fait jouer, même des drames ; de vous qui avez mis le sanglot à ma
voix
, la pâleur à ma joue, le désordre à mes cheveux,
talent est jeune, et si rien, dans mon art, ne se fait attendre : la
voix
, le geste, le sens, le sourire, le talent, la gaî
ur le jour, que le bruit des tribunes et des clubs. En trois cris, la
voix
tonnante de Mirabeau avait brisé la flûte d’or et
pour arriver comme on arrive quand on a le regard vif et perçant, la
voix
fraîche et pure, la taille jeune, la main d’une f
voulu revoir mademoiselle Mars. Elle l’a redemandée, non pas de cette
voix
banale et prévue à l’avance qui s’élève dans la s
r ces faux enthousiastes, mais elle a été redemandée nettement, d’une
voix
unanime, comme jamais je n’ai entendu redemander
éra, dans sa loge, et c’était encore un grand charme d’entendre cette
voix
qui semblait rappeler toutes les mélodies envolée
be, dans la forme et dans la couleur de ses habits, dans le son de sa
voix
, cette voix touchante et ingénue, douce musique q
forme et dans la couleur de ses habits, dans le son de sa voix, cette
voix
touchante et ingénue, douce musique qui allait à
s, tous ses clignements d’yeux sont comptés. Il y a des moments où sa
voix
ne s’entend plus ; l’oreille la plus attentive ne
t le croire au théâtre. Quand il parle à Célimène de sa tendresse, sa
voix
devrait s’adoucir. M. Geffroy n’est pas de cet av
esse, sa voix devrait s’adoucir. M. Geffroy n’est pas de cet avis. Sa
voix
est toujours la même, toujours mordante, souvent
M. Geffroy comprend le mieux, et s’il pouvait corriger l’âpreté de sa
voix
, chose plus facile à souhaiter qu’à réaliser, il
e : il n’est pas au pouvoir de M. Geffroy d’assouplir, d’attendrir sa
voix
. Quant aux personnages d’Elmire et d’Orgon, ils n
ute la conception de Molière. Son regard, son sourire, l’accent de sa
voix
, la rendent presque aussi coupable que son interl
indre la passion qu’il ne ressent plus. Si Armande prenait garde à la
voix
, à la pantomime de l’amant qui se dit affranchi d
it pour ne pas paraître singulier. Si quelqu’un se permet d’élever la
voix
, on le traite d’original, et pour bien des gens,
n va fort content. Il n’est pas plutôt éloigné, qu’Arlequin entend la
voix
d’Argentine. Il s’écrie sur la vertu du sac magiq
esponsable des coups de bâton qu’il donne à Géronte, il contrefait la
voix
de différentes personnes en le frappant. ACTE III
achez-vous, voici un Spadassin qui vous cherche. (En contrefaisant sa
voix
.) Quoi ! jé n’aurai pas l’abantage dé tuer Géront
amp; quelqu’un, par charité, né m’enseignéra pas où il est ? (Avec sa
voix
ordinaire.) Ne branlez pas. Cadédis, jé lé troubé
ité de scenes dans lesquelles Arlequin, prenant tour-à-tour plusieurs
voix
, joue lui seul plusieurs personnages. On en voit
n. Arlequin, armé de sa batte, se promene à grands pas, contrefait sa
voix
, imite le ton des sentinelles, demande qui va là,
mande qui va là, appelle le caporal : le faux caporal prend une autre
voix
pour appeller le sergent : le sergent ordonne, d’
d une autre voix pour appeller le sergent : le sergent ordonne, d’une
voix
enrouée, aux soldats d’approcher & de faire f
e pour l’acteur, parcequ’en lui donnant lieu de contrefaire plusieurs
voix
, elle lui fournit l’occasion d’imiter l’accent de
ien. Elle est filée, elle est une espece de petite comédie, & les
voix
différentes que prend l’acteur peuvent ajouter au
le dessein de se marier à une autre. (Dans ce récit il contrefait la
voix
du pere & de la fille.) Léandre. Cela pourroi
er à la procédure. (Il se met d’un côté du fauteuil, contrefaisant la
voix
d’un Avocat.) « Ma Principale, Messieurs, est une
gement ; ou, ce qui est bien pis, à celle de le voir condamner par la
voix
publique. On affiche une piece nouvelle, tout Par
struit, & qui ne craint pas de déroger en le paroissant, éleve la
voix
, expose l’avant-scene, rend compte du but de l’Au
ur exceller, doit avoir reçu de la nature une taille, une figure, une
voix
propres aux rôles auxquels elle le destine. Il es
ur doit encore avoir reçu du Ciel assez de feu pour établir, entre sa
voix
, ses gestes & sa sensibilité, une harmonie au
xamen ! A combien de variations faut-il qu’il accoutume sa figure, sa
voix
& toute sa personne, sans qu’il en résulte ja
, en vain, à tes jeux ton siècle s’instruisait, Des préjugés encor la
voix
était sacrée, Et de l’Académie ils t’ont fermé l’
uve plus, chez nous, que dans les drames ; L’égoïsme, insensible à la
voix
du malheur, Aux pleurs de la pitié ferme toujours
biens, Peut seule des Français resserrer les liens, Et, soutenant la
voix
des fils de l’harmonie, Rendre enfin le courage e
nner que de ces tribunes tutélaires il ne se soit pas élevé une seule
voix
en faveur de l’indépendance légale de l’art drama
et à le maudire7. Ce n’était donc pas du peuple que devait sortir la
voix
qui demande justice ! 11 fallait qu’une autorité
Bientôt son œil s’éteint, son visage est plus pâle, Les accents de sa
voix
sont brisés par le râle, Un dernier sentiment sur
eare ! Si tant de vérité dans vos œuvres respire, C’est que par votre
voix
la nature a parlé : Vos héros ont l’amour dont vo
Que l’impie au saint lieu n’ait pas de sépulture ! » Mille hypocrites
voix
grossissent ce murmure ; Le peuple qu’il aimait e
lent à la fois, 4 Et les bruits du dehors sont couverts par leurs
voix
. Dominant le clergé, la volonté royale Veille e
vous vous animiez Comme le commandeur, marbre de sa statue, Et si sa
voix
parlait à cette foule émue, Que dirait-il ? Hélas
in, si tu vivais de nos jours, ô Molière, Tu maudirais surtout, de ta
voix
rude et fière, L’amour de l’or, ardente et vile p
énergiques et touchants, et ils ont été lancés par Coquelin, de cette
voix
vibrante qui ajoute tant de force à tout ce qu’il
rié : Passez-nous-le ! À cinq heures, nous sortions du théâtre, et la
voix
du canon, qui continuait de gronder, nous rendait
, d’une foule d’harmoniques. Dans la plupart des cas, dans le son des
voix
et des instruments, ces harmoniques sont plus ou
mique ardent, plein de verve et de malice, qui ait de la santé, de la
voix
, de l’autorité, et qui soit en même temps passion
et qu’elle a pris elle-même au théâtre antique. Sa joyeuse figure, sa
voix
chaude et vibrante, la pétulance de son geste et
l y ait au répertoire ; il le porte avec une aisance incomparable. Sa
voix
merveilleuse ne faiblit pas un instant ; il lance
de son talent, l’homme du rôle. Il lui prête un visage sévère et une
voix
morose. Philinte est aimable et onctueux. Maubant
iage. On ne comprend guère que cet homme aux puissantes épaules, à la
voix
sèche et rude, qui porte dans le raisonné tout l’
ades d’Alceste ; mais c’était toujours avec politesse, bien que d’une
voix
altérée, qu’il disait : Et ne puis-je savoir ce
de grand-chose à l’artiste, si la nature ne l’avait doué d’une belle
voix
. Mounet est le Jupiter idéal qu’a rêvé Molière. J
nous a délicieusement remués, c’est l’enchanteresse harmonie de cette
voix
pleine, sonore et tendre, et cet art délicat de d
endu avant lui, c’était Beauvallet, dont tout le monde se rappelle la
voix
puissante et profonde. Mais Beauvallet était déjà
s assez haut. Il est juché sur un nuage ; il faut donc qu’il élève la
voix
davantage ou presse moins le débit, s’il veut que
t la Nuit. Oh ! celle-là, à la bonne heure ! on l’entend toujours. Sa
voix
perçante et moqueuse entre dans l’oreille comme u
t. Mais, Laroche l’expédie, à la grosse, de son air maussade et de sa
voix
monotone. Il semble avoir pris le rôle en grippe.
public. Mlle Augustine Brohan lançait le fameux : Non, lâche ! d’une
voix
gouailleuse et indignée qui avait le retentisseme
en aperçoit à certaines façons de détacher les t, à certains ports de
voix
dont elle se défera plus tard, quand elle aura pa
Oiseaux. On devait s’y attendre ; et son attitude un peu gauche et sa
voix
un peu faible n’ont étonné personne. On a simplem
qui se dit à mots couverts et à y répondre sans hausser le ton d’une
voix
paisible et moqueuse à la fois. Ce n’est pas la c
’exprimer dignement ; puis, prenant son parti et changeant soudain de
voix
, comme si le mot homme résumait toutes les qualit
et. L’acteur dit les trois premières fois les mots un homme, avec une
voix
de tête, et montant toujours par une sorte de gam
rité doit avoir le personnage ? Autorité d’âge, autorité d’aspect, de
voix
et de jeu. 28 septembre 1885. [B] L’étude
n cas pendable. » L’autre, remuant, sautillant, et bredouillant d’une
voix
rapide : « La polygamie… la polygamie… est un cas
le patois de Picardie. C’était jadis Mlle Augustine Brohan qui, de sa
voix
chaude et joyeuse, débitait le couplet de la Lang
qu’elle disait ! L’artifice, pour l’actrice, consiste à lancer d’une
voix
rapide, et pour ainsi dire d’un seul bloc, avec u
te. C’est ainsi que Coquelin déblayait (c’est le terme d’argot) d’une
voix
puissante et gaie le récit de chasse des Fâcheux
e ridicule imbécile. Mais il a ce rare mérite d’être toujours gai. Sa
voix
perçante amuse l’oreille et éveille le rire. Il y
elle que Molière a peinte si avenante, si gaie, dont les traits et la
voix
devraient respirer la bonne humeur, une brave bou
e sous les traits de Mlle Jouassain qui a le visage sec et effilé, la
voix
perçante et criarde, la physionomie morose et rev
e Pauline Oranger, qui a de la bonne humeur dans la figure et dans la
voix
. Quand Mme Jourdain s’emporte contre un mot du ma
second, les applaudissements éclatent de toutes parts ; deux ou trois
voix
crient bis, et toute la salle y répond par des bi
s a donné la Vénus guerrière : le front haut, le sourcil olympien, la
voix
maussade et rauque : une Junon furieuse d’avoir t
eusement les bras autour du cou de son père, et laissant tomber de sa
voix
harmonieuse les consolations douces et les beaux
ne façon supérieure. Elle est jeune, elle est belle, elle possède une
voix
charmante, qui n’a qu’une ou deux notes, il est v
e autre femme ces passions pleines de langueur ou de feu ? Il faut la
voix
d’un homme pour ces mots brûlants, la main d’un h
s a bien dits : l’effet pourtant a été médiocre. Que voulez-vous ? sa
voix
est naturellement grêle : c’est la voix d’une fem
édiocre. Que voulez-vous ? sa voix est naturellement grêle : c’est la
voix
d’une femme. Elle se tenait à trois pas de sa Psy
e terme est impropre. Tout dans sa tournure, dans son visage, dans sa
voix
, le prédispose à ce rôle de mari trembleur, mené
e s’il achevait un mouvement commencé : — Ma Sœur ! ajoutait-il d’une
voix
éclatante et superbe. C’était tout différent, com
it doué plus spécialement d’un visage empreint de bonté noble ; d’une
voix
qui ait des accents de tendresse pénétrante ; que
s et timide d’une fillette, qui avoue un amant. Mlle Jouassain, d’une
voix
forte, le regard haut, tournant d’un geste ample
e son éventail vers sa poitrine qu’elle bombe : — Moi, dit-elle d’une
voix
éclatante. Toute la salle part d’un fou rire. Le
our ne point vous charger de mon adversité. Que cela était dit d’une
voix
pénétrante ! Comme on y sentait, sous la discréti
i exprime une idée probable, puis d’un ton plus convaincu, puis d’une
voix
tout à fait assurée. Elle change d’intonation aus
he, toujours avec le même son ; mais on sent si bien, au timbre de sa
voix
, que, sous ce sérieux affecté, elle étouffe de ri
re, et par l’expression de la physionomie, et par le geste, et par la
voix
, les fureurs et les désespoirs d’un homme qui a p
te ans. Il faut que dans votre contenance, dans votre air, dans votre
voix
, il y ait quelque chose qui avertisse le public e
seize ans à peine, qui tremblait comme la feuille. Elle est jolie, la
voix
est harmonieuse et douce ; nous verrons ce qu’ell
était impossible de nous donner absolument le même visage et la même
voix
, nous avons tâché tout au moins d’être, autant qu
situation, c’est que les deux frères étant semblables de figure et de
voix
, sont très différents, au contraire, par tout le
s, jamais vous ne ferez qu’Amaury ressemble à Rameau, de figure et de
voix
; vous pouvez les costumer exactement de même ; q
it toujours au théâtre par des différences de visage, de taille et de
voix
. Il est certain que Mlle de Belle-Isle doit être
e rôle dans La Bouquetière des Innocents, le tempérament de fer et la
voix
d’airain de Mme Marie Laurent, une des plus vaill
tait évidente ; un bout de ruban, un coin du sourire, un accent de la
voix
, un geste, un mot, que sais-je ? et la ruse aussi
combiné de sorte que, vers le milieu, la mesure se ralentisse et les
voix
baissent. Bartholo s’assoupit ; les deux amants s
tour. Eh bien ! ma chère enfant, si vous dites ce couplet de la même
voix
aigrelette et railleuse qui vous a servi aux prem
Adoucit la rigueur des lois, Protège l’innocence et lui prête sa
voix
, Aux yeux de ses sujets la rend-elle coupable ?
e chante deux romances pour charmer le sultan. Mlle Bertiny, qui a la
voix
très juste et très pure, a fort agréablement modu
aspect, Brutus, qui pénétré de ce qu’il doit à sa patrie, étouffe la
voix
de la raison, le cri de la nature et envoie ses f
ins. « La femme la plus aventurée, dit Beaumarchais, sent en elle une
voix
qui lui dit: Sois considérée, il le faut. » Les
uper les uns les autres, les acteurs sont obligés de contrefaire leur
voix
. Chérubin et le comte Almaviva ne reconnaissent p
in et le comte Almaviva ne reconnaissent pas la comtesse qui prend la
voix
de Suzanne ; Figaro ne reconnaît pas Suzanne qui
end la voix de Suzanne ; Figaro ne reconnaît pas Suzanne qui prend la
voix
de la comtesse ; et pas un non plus des personnag
us des personnages enfermés dans le pavillon ne se reconnaissent à la
voix
. Le style de Beaumarchais est vif, brillant, anim
e, et dans les moindres villes comme dans les plus populeuses, à leur
voix
s’élèvent aussitôt et splendidement les croix dit
mouvement des cours, que l’huissier, par intervalles, proclame de sa
voix
criarde. Pour entretenir cette fièvre du jeu, pou
té, au moment de faire passer une loi, s’adresse, pour obtenir quatre
voix
qui lui sont indispensables, à la jeune femme d’u
manœuvre, se trouve être votée à la majorité honorable de trente-cinq
voix
. Un autre travers de ces derniers temps, né du tr
t où il va chercher du vin, quand il suffirait à celui-ci d’élever la
voix
et de frapper derrière la porte pour être entendu
des vers d’Oronte : Quel accommodement veut-on faire entre nous? La
voix
de ces messieurs me condamnera-t-elle À trouver b
votre âme, au contraire, avec ses élans les plus impétueux, que votre
voix
, avec ses accents les plus mâles et les plus terr
ÉLIMÈNE. Et ne faut-il pas bien que monsieur contredise? À la commune
voix
veut-on qu’il se réduise, Et qu’il ne fasse pas é
ire que la force ne consiste pas toujours dans une grande émission de
voix
; qu’on la trouve plus souvent, au contraire, dans
pour être dites ainsi dans les cordes basses ou dans le médium de la
voix
, n’en sont ni moins chaleureuses ni moins passion
but. C’est dans un rôle comme celui de Tartuffe que l’avantage d’une
voix
travaillée et rendue, à force d’art, souple et fl
en ne parlant que dans un diapason peu élevé et sans grand volume de
voix
. La physionomie et le maintien de Tartuffe doiven
ammé, mais ne jetant sur elle que des regards obliques et furtifs, la
voix
tremblante, la respiration gênée, le maintien mal
gens de son espèce. Dans ce passage, l’acteur doit baisser un peu la
voix
, ralentir sa diction, et lui donner quelque chose
bien : suis-moi ; j’ai des secrets pour déguiser ton visage & ta
voix
. Si Silvestre ne se déguise point de façon à n’ê
t de façon à n’être pas reconnu, s’il ne change pas bien le son de sa
voix
, si, sur-tout, la mode des déguisements est passé
t de perdition ; l’écho du théâtre a gardé les enchantements de cette
voix
divine ; les trumeaux de ces salons, disposés pou
des enfants ! Qu’est-il devenu ce conquérant sous la pourpre dont la
voix
faisait trembler le monde romain ? Il allait, ent
npoint, aussitôt se fait entendre aux oreilles de cette infortune une
voix
, cette voix de la satire de Juvénal où il dit à l
itôt se fait entendre aux oreilles de cette infortune une voix, cette
voix
de la satire de Juvénal où il dit à l’esclave en
aître ces comédiens qui avaient dix coudées, ces tragédiennes dont la
voix
évoquait les fantômes d’autrefois, ces belles pri
ogue malin, y chanter tout haut ces mille couplets grivois, prêter sa
voix
et son geste à ces pauvres créatures rendues muet
con de coulisses, vieillards à tête chauve, à qui chantonnerait d’une
voix
cassée et d’un œil égrillard, les chansonnettes l
mais en revanche l’intelligence de Lekain était vive et prompte ; sa
voix
était pleine d’éclat pour la colère, de tendresse
ein de feu, sa taille était élevée et souple, svelte et gracieuse, sa
voix
était harmonieuse et flexible ; il portait avec a
e souvient aussi de Saint-Phal comme d’un très honnête homme, dont la
voix
était rude et fausse ; Saint-Phal était charmant
, un comédien qui s’élève si haut. Qui donc arrive ? quelle est cette
voix
qui sort de ce nez de mauvais augure, un pied de
s comédiens ; il était grand, maigre, osseux des pieds à la tête ; sa
voix
était aigre et criarde ; l’avare, le joueur, le g
l ! L’amateur se souvient fort bien de mademoiselle Desgarcins, de sa
voix
touchante, pleine d’accents et de larmes ; de mad
l’Émilie de Cinna, dans l’Ariane abandonnée. — Madame Talma avait une
voix
charmante, à l’entendre pleurer, on se prenait à
pourpre, que pour eux tout haillon est un manteau de pourpre. À leurs
voix
puissantes se sont agités les peuples, sont tombe
isait-il, parlant de sa comédienne, je suis content de son âme, de sa
voix
, de ses entrailles, de ses gestes, de son maintie
né au comédien, les qualités de la personne, à savoir : la figure, la
voix
, le jugement, la finesse ; il obtiendra plus tard
dans sa tête ; il n’y a que celui-là qui retrouve, à l’heure dite, la
voix
, la pose et le geste qui lui ont réussi une premi
le se plaint, elle gémit, elle ne sait rien des choses convenues : la
voix
qui tremble, les larmes qui coulent, les sons éto
tre consiste en ceci : la conformité des actions, des discours, de la
voix
, du mouvement, du geste, de la figure, avec un mo
eux blancs, par son dos voûté, par les rides de son visage, par cette
voix
chevrotante, par ce regard éteint ; vénérable par
nce en tremblant auprès du comte de Roussillon, et elle lui dit d’une
voix
émue : — « Monseigneur, je n’ose vous dire que je
eu ! qui donc rira ? lui dis-je. » Mais elle répondit d’une touchante
voix
, Que ses sanglots coupaient, hélas ! plus d’une f
es, de M. Decamps, par exemple, que M. Decamps soit aveugle ; — et la
voix
de madame Dorus, que madame Dorus l’ait perdue. S
est fou ! il est fou ! Et comme Monrose lésa dits ; à chaque fois, sa
voix
s’élevait d’une façon lamentable. C’est le seul m
voit qu’elle comprend, ou tout au moins qu’elle devine. Cette petite
voix
douce et tendre suffit à réciter ces admirables p
, il est l’élu des citoyens, le héros du peuple ; c’est un géant à la
voix
de stentor, le Murat de l’Attique, et pourtant la
n révélée ? Non, non, le dieu de la philosophie antique, l’homme à la
voix
intérieure, n’est pas sorti vaincu de la fête lic
vinée, aux cheveux épars, chancelante sous le vin, qui fredonne de sa
voix
rauque des obscénités révoltantes ? c’est la comé
eul a pu dompter, quand la Germanie tout entière se soulevait à votre
voix
toute-puissante, quand le Rhin, l’Elbe et l’Oder
aujourd’hui pour acheter un arpent de terre, et pour obtenir quelques
voix
aux élections du conseil municipal. Voilà ce que
ve, a entre autres défauts, une prononciation trop affectée, avec une
voix
tremblante qui donne un air antique et ridicule à
il donne dans le panneau, joue son tout coup vaille ; elle déguise sa
voix
pendant toute une longue scène et elle parle à Mo
dialogue, Moncade ne voit pas, que la femme qui lui parle, déguise sa
voix
! Il ne reconnaît pas la voix de Lucinde ! — Il n
que la femme qui lui parle, déguise sa voix ! Il ne reconnaît pas la
voix
de Lucinde ! — Il ne sait pas que le salon, dans
is de ce défaut on la corrigera. Criquet. La la la . . . . . . Quelle
voix
voulez-vous ? car je les ait toutes, haut-dessus,
aut-dessus, bas-dessus, haute-contre, taille, concordant, discordant,
voix
entiere, voix claire, basse-taille, basse-contre.
s-dessus, haute-contre, taille, concordant, discordant, voix entiere,
voix
claire, basse-taille, basse-contre. Parlez, chois
oix claire, basse-taille, basse-contre. Parlez, choisissez. Comus. La
voix
que vous voudrez, il ne m’importe guere. Criquet.
e lui dirai. Eraste. Monsieur Frontin fait l’agréable ; il adoucit sa
voix
: il en est sans doute à quelque endroit tendre d
faux cavalier. Aurore chante sans se montrer ; Dom Lope reconnoît la
voix
de celle qu’il aime, & n’a pas reconnu le son
econnoît la voix de celle qu’il aime, & n’a pas reconnu le son de
voix
du faux Mendoce : enfin, cet amant est si peu cla
rvantes de Dieu, Seules, la nuit, témoins de ton heure dernière, À ta
voix
expirante unirent leur prière, Quand des jeux de
jaillir ; Ta bouche s’est ouverte, et la sagesse même Proclame par ta
voix
son oracle suprême : « Ô poètes ! Dis-tu, sans cr
e musique composés par les plus grands Maîtres, & chantés par des
voix
enchanteresses ; pour donner lieu à des ballets e
, A se donner lui-même en spectacle aux humains, A venir prodiguer sa
voix
sur un théâtre, A réciter des chants qu’il veut q
. Enfin Lidame saisit l’Etourdi par la main, qui, sans contrefaire sa
voix
, s’écrie, je suis Philipin. La mere reconnoît l’a
ent ensemble dans cette chambre, Charles s’étant réveillé, ouit cette
voix
, qu’il jugea approcher de celle de son frere, quo
cri, qui ne donna pas moins d’appréhension à Philippe qui reconnut la
voix
de son frere, & qui s’en retourna à son lit e
n ami le reconnaît à ce petit coin du sourire, à ce son argenté de la
voix
, au feu du regard ; surtout il les reconnaît, par
s effrayaient tout d’abord, s’élèvent des bruits confus ; ce sont des
voix
aimées qui vous parlent toutes à la fois ; bientô
is ; bientôt encore on dirait que la confusion s’arrête et que chaque
voix
veut parler à son tour. Écoutez-les, et si chacun
chaque voix veut parler à son tour. Écoutez-les, et si chacune de ces
voix
, qui représente une année, une passion de voire v
, qui en avait alors quatre-vingt bien sonnés. Toujours est-il que la
voix
de mademoiselle de Lenclos entraîna l’assentiment
a bouche grande et bien meublée, la lèvre ombragée, intelligente ; la
voix
sonore et grave : il arrive sur le bord de la ram
ge la langue française des perfections de l’hôtel de Rambouillet. Une
voix
du vieux parterre (il y avait déjà un vieux parte
rit, plus d’invention, plus d’à-propos que tout ce monde-là ; j’ai la
voix
plus nette, le regard plus fin, le geste plus ani
comprendre, et sans rien deviner ? Pourquoi celle-là, sans nom, sans
voix
, sans beauté, sans regard, sans éclat, sans émoti
frapper à la porte de son futur beau-père. Le beau-père accourt à la
voix
de son gendre, et sort de sa maison, mais non pas
petit chef-d’œuvre de Molière que Beaumarchais gaspilla, sans qu’une
voix
s’élevât pour prendre la défense de l’œuvre origi
ments, moi le véritable et le seul misanthrope, je n’élèverais pas la
voix
pour reprendre mon titre usurpé par ce trop heure
rais dire à une femme : — Vous êtes laide, vous êtes mal faite, votre
voix
est aussi rauque que votre main est rouge, si, au
ce odeur d’ambre et de tubéreuses séchées ? N’entendez-vous pas cette
voix
douce et sonore à la fois ? La comédie de Marivau
tait évidente : un bout de ruban, un coin du sourire, un accent de la
voix
, un geste, un mot, que sait-on ? et la ruse aussi
t parfaitement contentés de ma petite personne mignonne, de ma petite
voix
criarde, de mon petit regard agaçant ; ils ont ba
omme, amoureux de la forme et bon juge du style ; à cet homme dont la
voix
compte, et dont le jugement est un arrêt, il faut
de cette odeur de musc et de soufre, et quand il dit au poète, de sa
voix
stridente ; — Me voilà, que me veux-tu ? Molière
endant que l’autre pleure, où celui-ci accompagne l’orchestre avec sa
voix
, pendant que l’orchestre déclame l’air que le cha
du Commandeur ! Ô Commandeur ! image terrible ! ô vengeance ! Grande
voix
qui va tout briser ! Si pourtant Molière, le poèt
que le pauvre… Le pauvre ! Il est le véritable Commandeur ! Voilà la
voix
sépulcrale qui s’écrie : — « Don Juan ! je vous i
ulu te croire ; il est vrai que tu n’as pas parlé assez haut et d’une
voix
assez ferme ; enfin, toi aussi, tu as passé devan
utée à la poésie de Quinault, à la prose de Molière, et quelle est la
voix
puissante qui sait chanter, d’une façon si lament
invocation du Père Liber, étrange Dieu, accompagné de soixante-quatre
voix
, vingt-huit violes et quatorze luths ! Voilà donc
lmes et mademoiselle de Laval (une Montmorency !) chantaient de leurs
voix
fraîches et d’un bel accent : Toute la gloire et
nase. En grimpant, le roi a mis le palais en rumeur ; on accourt, une
voix
crie à mademoiselle de La Beaume (mademoiselle de
lle d’honneur : — « Je vais me mettre au lit », répond-elle. Alors la
voix
grondeuse s’éloigne, et c’est le roi qui éteint l
espan rencontrait Louis XIV, elle lui faisait à haute et intelligible
voix
et à brûle-pourpoint, l’aimable déclaration que v
e ! La terre ne pourrait assourdir à son cœur la trompette qui, de sa
voix
sonore et triomphante, lui dirait que la terre n’
mademoiselle Brohan et mademoiselle Rachel ont récité, celle-ci de sa
voix
grave, et celle-là de sa voix enjouée, une louang
selle Rachel ont récité, celle-ci de sa voix grave, et celle-là de sa
voix
enjouée, une louange, une nénie à la gloire de Mo
x. Samson s’endort sous un olivier. Pendant son sommeil il entend une
voix
qui chante les vers suivants : La gloire en d’
t de guerre, A ces éclairs, à ce tonnerre, Du Ciel reconnoisse la
voix
, Et que cet olivier paisible Disparoisse à l’
ie : Elle a dans un instant changé mon caractere : Le seul son de sa
voix
a dompté ma fureur ; La douceur de ses yeux a pas
é du satyrique, et dit : Quest-ce 182 que la raison, avec un filet de
voix
, contre une gueule comme celle-là. 183 180. On
ille & moi n’en ferons pas un pas davantage, ou je n’aurai pas de
voix
en chapitre : une femme d’honneur a la jambe romp
ssi-tôt il fut accablé de louanges par les courtisans, qui tous d’une
voix
répétoient, tant bien que mal, ce que le Roi veno
ence seule a décidé mon choix, Et que votre raison doit lui donner sa
voix
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Léandre
s charges, des emplois qui remplissent ce vuide ; Des devoirs dont la
voix
nous excite & nous guide. A s’en bien acquitt
. Vous étudiez avec anxiété son geste, son sourire, l’inflexion de sa
voix
; puis, à certains moments inespérés, vous vous r
rouges et les mains comme les coudes, la démarche embarrassée, et la
voix
très voilée. À peine si on la daignait regarder,
t le bras se remplit, puis la jambe ; un jour le voile tomba de cette
voix
éclatante, sonore, et touchante. Aujourd’hui, cet
ses ennemis ses ouvrages, sa figure, ses gestes, sa parole son ton de
voix
, sa façon de réciter, mais il demande en grâce qu
st bien. Suis-moi. J’ai des secrets pour déguiser ton visage & ta
voix
. Silvestre. Je te conjure au moins de ne m’aller
peut être obscur par fois, S’il n’a pour truchement l’écriture ou la
voix
. Valere. Que faire pour sortir de cette peine ext
— Et cependant voyez-la sourire encore, entendez-la parler, de cette
voix
divine qui sait le chemin de tous les cœurs ; voy
sionomie éloquente ! que d’esprit même dans son silence ! quel son de
voix
enchanteur ! quelle mesure ! Victoire à mademoise
S’oppose à cet honneur qu’à l’Amour osent rendre Vos musettes et vos
voix
. À des titres si beaux Bacchus seul peut prétendr
as. LES DEUX CHŒURS.’ Mêlons donc leurs douceurs aimables, Mêlons nos
voix
dans ces lieux agréables, Et faisons répéter aux
spectacle enchanteur la pompe harmonieuse, Ces danses, ces héros à
voix
luxurieuse, Entendra ces discours sur l’amour
amant, vit familiérement avec lui, le charme par les agréments de sa
voix
, & lui donne son portrait sans en être reconn
situation où je me trouve, interrompit le vieux Marquis, d’un ton de
voix
mal assuré, & les yeux remplis de larmes ? —
eux de ceux qui n’adorent que les bagatelles, qui n’osent démentir la
voix
publique lorsqu’elle a une fois approuvé une chos
peu qui le puissent égaler. L’on dit, continua le même en haussant la
voix
, que l’on doit jouer un de ces jours une Pièce à
mort fera du bruit. Ainsi ce glorieux dessein fut approuvé tout d’une
voix
. Ces ivrognes se lèvent et vont gaîment à la rivi
n’ont voulu, en prenant la parole en ce monde, que faire entendre une
voix
consolante ! Outre les pièces de Corneille, outre
s son maintien, pleine de grâces et d’attraits dans ses yeux, dans sa
voix
, touchait à sa dixième année ; c’est pour elle, d
e fort rond de toutes les manières. Au comédien Lespy, qui avait une
voix
de Stentor, il donnera le nom de Gorgibus. De Mon
mon homme. Te souvient-il bien qu’autrefois Nous avons conclu, d’une
voix
, Qu’il allait ramener en France Le bon goût et l’
public d’aujourd’hui ; mais on allait le voir. Sa figure, son jeu, sa
voix
entrecoupée, sa toux même, dans les rôles de viei
ien depuis les pieds jusqu’à la tête. Il semblait qu’il eût plusieurs
voix
; tout parlait en lui; et d’un pas, d’un sourire,
aiblissait quelquefois, surtout dans le tragique, qui allait mal à sa
voix
saccadée, à sa volubilité d’expression. Sa figure
ge. Quoique satirique à l’excès, sa conversation était ravissante, sa
voix
la plus touchante qu’il y eût. Il fallait l’enten
du sac, à sa volubilité d’expression. Il semblait qu’il eût plusieurs
voix
. Puis, se tenant toujours dans son passé, il rec
vent les femmes sur les amants, en changeant seulement le ton de leur
voix
, et prenant un air qui paraît ensemble et fier et
eurs si nécessaires au théâtre, surtout pour les rôles tragiques. Une
voix
sourde, des inflexions dures, une volubilité de l
à Sa Majesté. Toute la Cour trouva ces vers très beaux, et tous d’une
voix
les donna à Benserade, qui ne fit point de façon
x bergères amies, entendant le son des flûtes, viennent joindre leurs
voix
à ces instruments, et chantent, etc. « Tircis et
toutes sortes d’instruments. Cloris commence la première à joindre sa
voix
au son des flûtes et des musettes. « Pendant que
e. Mêlons donc leurs douceurs aimables, Mêlons nos
voix
dans ces lieux agréables, Et faisons rép
t des auditeurs. Mais ce qui n’a jamais été vu, est cette harmonie de
voix
si agréable, cette symphonie d’instruments, cette
que s’est augmentée ; et qu’enfin, après avoir commencé par une seule
voix
, elle a fini par un concert de plus de cent perso
la fois sur un même théâtre joindre ensemble leurs instruments, leurs
voix
et leurs pas, dans un accord et une cadence qui f
ne d’envie ; On fut ravi des belles voix2, Qui chantaient ses divines
voix
. Force masques, non pas célestes, Mais, à ce qu’o
avantages extérieurs ; on dit qu’en effet ils lui manquèrent ; qu’une
voix
sourde, des infléxions dures, une volubilité désa
: & quoiqu’elle dit de temps-en-temps, hélas ! j’en ai assez ; sa
voix
étoit si languissante, & le jaloux si transpo
x-freres & de sa belle-mere : il frappe, on lui ouvre, & à sa
voix
tout le monde se leve. On lui demande le sujet de
nt lâché une mauvaise odeur ? . . . . . . . . . Mercure. Une certaine
voix
a volé jusqu’à mes oreilles. Sosie. Il faut que j
i été un malheureux, un homme maudit du destin ! Pourquoi, puisque ma
voix
a des plumes, & qu’elle vole comme un oiseau,
? je vous l’ai dit cent fois, Et vous verrez l’effet s’accorder à ma
voix
. A quoi tant répéter ce discours inutile ? Me voi
Le Sicilien, ce qu’il nomme “un fragment de comédie”. Comédie à trois
voix
, suivie de deux divertissements chantés et dansés
oux : Chloé n’avoit pas su vous plaire. Horace. Par son luth, par sa
voix
, organe des amours, Chloé seule me paroît belle.
arole ; car je n’en comptais point d’autre que le bon sens, une belle
voix
, et de beaux gestes. Il semble, à l’entendre parl
Livre-ci ne cause aucune altération à sa réputation : elle n’a qu’une
voix
. La conversation de Molière avec Bernier me paraî
e mariage, seulement. Le bon sens le dit, et Molière le répète par la
voix
de la fille fraîche, spirituelle et chaste qui di
sse suivie, Se faire les douceurs d’une innocente vie510 ? — par la
voix
de l’homme honnête et sensé qui dit avec autant d
eureusement servi la renommée de Thomas Corneille. Il n’y a eu qu’une
voix
dans la presse et dans les salons pour rendre hom
corpions et en vipères ; le vin est du fiel ; pour toute musique, des
voix
étranges et formidables sortent des quatre pilier
ère de l’harmonie, Giulia Gabrielli et Marguerite Bertolazzi, dont la
voix
était si ravissante qu’on ne pouvait les louer di
ce sera exécuté par la très excellente Marguerite Bertolazzi, dont la
voix
est si ravissante, que je ne puis la louer assez
la Princesse change d’avis, aime mieux faire cette confidence de vive
voix
. Elle avoue en effet au Prince qu’il est aimé. El
rises, ce que l’on veut. Le Prince est surpris de ne pas connoître la
voix
de la personne qui lui parle. Thérese sort avec u
entre les mains d’un homme, elle se détermine à faire l’aveu de vive
voix
; & c’est la moitié de cet écrit qui alarme l
. Chaque peuple en exprime une idée, chaque homme une lettre ; aucune
voix
ne J’achève. S’il faut lui trouver une règle, M.
qu’à la solitude de la pensée s’ajoutait la solitude de l’exil, et sa
voix
s’est perdue dans le vide. » M. Rambert s’attach
e tut; sa carrière dramatique était achevée, ou, s’il éleva encore la
voix
, ce fut pour célébrer la lumière dont son cœur av
ur porte, & croit être bien sûr de son fait, parcequ’il entend la
voix
d’un homme qu’il prend toujours pour Don Juan ; m
l’amour de mes anciens maîtres, tout me crie d’étouffer pour vous la
voix
de la nature. Alise respire encore ; sa vie m’éto
quatre mille veilles. On vous juge, vous frémissez : on recueille les
voix
, une seule fait pencher la balance ; la piece est
peu le public à ses défauts, agence quelques rôles à sa taille, à sa
voix
, à sa poitrine, à son tempérament, à ses petites
le fort animé contre la pièce ; le mot d’obscénité est prononcé ; Une
voix
forte répète sur la scène : « Tarte à la crème !
aurai pas le cœur… l’extravagant lui coupe la parole, et, enflant la
voix
, d’un ton.de parodie : Je suis maître, je parle
au public : il est pâle sous son fard ; il y a du tremblement dans sa
voix
, tout à l’heure si ferme et si chaude : c’est l’h
tier, son éducation, ses travers, ses passions, avec ce souffle de la
voix
si uni, si égal en apparence, si merveilleux en r
e, en face d’un verre d’eau et d’un encrier, n’ayant que son filet de
voix
et l’art d’en jouer pour créer une illusion compl
uleur naturelle de son visage ; il renforce le volume accoutumé de sa
voix
; il rend son geste plus fréquent et plus express
, la ferme des habits, la mesure du geste, et jusqu’à l’étendue de la
voix
, et, d’une société d’hommes si diversement organi
grette de n’en pas prendre encore davantage. Cependant son visage, sa
voix
, la violence de ses cris et de ses gestes, tout m
onale ; et tous les pays, comme tous les siècles, semblent unir leurs
voix
pour le proclamer Fauteur unique, le poète comiqu
qu’il avait contracté en voulant modérer l’excessive volubilité de sa
voix
, rendait son jeu dans lac omédie plus plaisant, m
enant au secours de la France qui périclitait, élevasolennellement la
voix
, et dit à Kemble : « Fort bien, monsieur, fort bi
oie, par Pierrotin, Son page de musique, celui-ci, qui avait perdu la
voix
à force de boire, s’acquitta au plus mal de la co
cepter le buste de Molière, fait par M. Houdon. La compagnie a, d’une
voix
unanime, accepté le don de M. le secrétaire, qui
la plus convenable. Du jeudi 26 novembre. L’Académie a choisi, d’une
voix
unanime, pour le buste de Molière, l’inscription
ien depuis les pieds jusqu’à la tête. Il semblait qu’il eût plusieurs
voix
; tout parlait en loi ; et, d’un pas, d’un sourir
a vers Boileau, et lui dit : Qu’est-ce que la raison avec un filet de
voix
contre une gueule comme celle-là ? 98. Il est pe
le Prince d’amour. Elle projette de l’attendrir par les charmes de sa
voix
: elle ordonne au Médecin de le conduire dans le
ugmente son dépit, en lui disant que Carlos, loin d’être touché de sa
voix
, a trouvé qu’elle chantoit comme un polisson d’éc
es personnages ; sous leurs intonations diverses, on reconnaissait sa
voix
. Dans la comédie de caractère, le poète disparait
rait ; ces gens-là ne lui appartiennent pas ; chacun a son visage, sa
voix
, et n’a que l’esprit qu’il peut. En même temps, e
un premier crayon de ces valets qui font partie de la maison, qui ont
voix
aux conseils de l’honnête bourgeois, et font paye
droit contre un esprit faux ; puis, à mesure que Philaminte élève la
voix
, sa fermeté tombant, son caractère retirant peu à
ne nous déplaçons jamais ; je suis passable auteur, si j’en crois la
voix
publique ; je puis être un fort mauvais secrétair
s d’un établissement. Toutes ces femmes, dit-il encore en haussant la
voix
, sont des animaux qui sont ennemis jurés de notre
t fera du bruit. » Ainsi, ce glorieux dessein fut approuvé tout d’une
voix
. Ces ivrognes se lèvent, et vont gaiement à la ri
e à la cour et à la ville, en 1667 ; et l’Amphitryon passa tout d’une
voix
au mois de janvier 1668. Cependant un savantasse
ussitôt il fut accablé de louanges par les courtisans, qui tout d’une
voix
répétaient, tant bien que mal, ce que le roi vena
à Sa Majesté. Toute la cour trouva ces vers très beaux, et tout d’une
voix
les donna à Benserade, qui ne fit point de façon
e-cinq ans. Mademoiselle Molière, disent les frères Parfait, avait la
voix
extrêmement jolie ; elle chantait avec goût le fr
Cependant ce monarque parut toujours mécontent de la figure et de la
voix
de cette comédienne. Mademoiselle Beauval continu
l’abandonna.) « Ayant ouï dire qu’il y avait à Avignon une excellente
voix
de dessus, dont je pourrais facilement disposer,
ais tout porté dans la province de France qui produit les plus belles
voix
, aussi bien que les plus beaux fruits, je résolus
t excellent acteur une figure noble, une taille bien prise, un son de
voix
qui, quoique mâle, avait quelque chose de pénétra
scène IX.) Élève de Molière, elle devint une excellente actrice : sa
voix
était si touchante, qu’on eût dit, suivant un con
mais enfin, avec tous ces avantages, elle ne plairait pas tant si sa
voix
était moins touchante ; elle en est si persuadée
ien depuis les pieds jusqu’à la tête. Il semblait qu’il eût plusieurs
voix
, tout parlait en lui ; et d’un pas, d’un sourire,
ses rencontres. Ayant oui dire qu’il y avait à Avignon une excellente
voix
de dessus dont je pourrais facilement disposer, j
ais tout porté dans la province de France qui produit les plus belles
voix
, aussi bien que les plus beaux traits, je résolus
a gorge d’ivoire, Mais plus, de son esprit les brillantes clartés, Sa
voix
qui tient les cœurs par l’oreille enchantés ; Que
t à la cuisine. Je crois bien, par exemple, que quelques-unes avaient
voix
au chapitre, que ce fût Madeleine Béjart, Thérèse
us ! Ah ! vous ouvrez, belle farouche ! J’entends la clé, c’est votre
voix
… O belle main ! ô belle bouche ! Que je vous bais
punissant pas. Une heure de grimace ou froide ou sérieuse, Un ton de
voix
trop rude ou trop impérieuse, Un sourcil trop sév
ses rencontres. Ayant oui dire qu’il y avait à Avignon une excellente
voix
de dessus dont je pourrais facilement disposer, j
e Molière est un prodige16. Silence ! Les six violons chantent d’une
voix
claire et vibrante une mélodie de Lulli, les cœur
me si nous venions de l’entendre : Au nom de Zanobio Ruberti, que sa
voix
, Pendant tout ce récit, répétait mille fois. Apr
mine, le caractère qu’il prenait ; j’entends même jusqu’au son de sa
voix
. Oui ; je lis tout cela dans un grimoire, dont je
r d’amour ; elle espère le toucher par la douceur enchanteresse de sa
voix
; son cœur, le dépit et l’espoir lui dictent les
ers Boileau, en lui disant : « Que ferait la raison, avec un filet de
voix
, contre une gueule comme celle-là ? » Lisez la
leur entrée, avec Laflèche, qu’ils s’épuisent, et qu’ils manquent de
voix
au moment où ils en ont le plus grand besoin. Vou
ssitôt il fut accablé de louanges par les courtisans, qui tous, d’une
voix
, répétaient tant bien que mal ce que le roi venai
re mieux pénétré de sa passion, et pour éluder les désagréments d’une
voix
aigre et chevrotante, il martèlera chaque syllabe
assons sur la mascarade et les mines. Comment feriez-vous, avec votre
voix
discordante, pour ne pas nuire à ce précieux unis
ont froids et monotones : parlez-moi de ces théâtres sur lesquels les
voix
rauques, les voix de fausset, les voix d’Arlequin
tones : parlez-moi de ces théâtres sur lesquels les voix rauques, les
voix
de fausset, les voix d’Arlequin, les voix de Poli
ces théâtres sur lesquels les voix rauques, les voix de fausset, les
voix
d’Arlequin, les voix de Polichinelle, semblent se
quels les voix rauques, les voix de fausset, les voix d’Arlequin, les
voix
de Polichinelle, semblent se défier et ne se répo
dans Le Malade imaginaire, et pour ne compromettre ni ma figure ni ma
voix
, je prends le rôle d’apothicaire ; qui veut celui
léante ? Le rôle de Cléante. Un élève. Mon extérieur, mon son de
voix
, ont-ils quelque chose qui vous déplaise ? Le pr
uer le rôle d’Argan ? Je vous préviens que si trop de maigreur et une
voix
grêle ne contrastent pas assez avec l’accoutremen
malade le dévorait d’un feu intérieur et lui donnait cette admirable
voix
musicale, vibrante et profonde, qu’ont parfois le
si noble monument. En conséquence, il a été décidé à la pluralité des
voix
, que le sieur Lekain se chargerait de l’annoncer
et infatigable, discutait devant lui avec Boileau-Despréaux, dont la
voix
était faible et aiguë : « Ah ! bon Dieu, dit Mol
lière, en montrant Fourcroi, qu’est-ce que la raison avec un filet de
voix
contre une gueule comme celle-là ? » Mais Molièr
ule comme celle-là ? » Mais Molière savait aussi de quel prix est la
voix
qui enseigne, commente, explique, persuade. De là
ucoup de prise sur le public par ce charme souffrant et musical de sa
voix
de malade. « Bref, conclut La Martinière, dans l
en depuis les pieds jusqu’à la tête ; il semblait qu’il eut plusieurs
voix
, tout parlait en lui ; et d’un pas, d’un sourire,
um romain, à tous ceux qui ont dans les veines, dans le cœur, dans la
voix
cet accent particulier qui rendit à la fois redou
corations et des machines imitant parfaitement la danse et faisant la
voix
humaine, lesquelles serviront non-seulement de di
diatement relevée par des spectateurs peu endurants, inde iræ. » La
Voix
de la province, revue littéraire, année 1862, ier
risotin ou de Tricotin 47, eut le soin de prendre un habit, un son de
voix
& des gestes propres à faire reconnoître l’or
urois dans ce moment : je n’ai pas encore pris mon chocolat ; j’ai la
voix
& l’estomac un peu foibles. Ottavio. Revenez
ion et l’instinct du théâtre. Outre sa beauté, elle y apportait « une
voix
extrêmement jolie, » elle « chantoit avec un gran
mais semblable à elle-même ; elle change à volonté le caractère de sa
voix
; « elle prend autant de divers tons qu’elle a de
e se sont armés de traits plus vifs et plus perçans. La douceur de sa
voix
a voulu se faire paraître dans un air tout charma
mens niais de Thomas Diafoirus, aux éclats de colère de M. Purgon. La
voix
touchante d’Armande était bien celle qu’il fallai
attendre. Sans doute, lorsqu’il écrivait cette bluette immortelle, la
voix
intérieure lui disait à l’avance ce que devait lu
le fait dans La Légende des Siècles, il ne manque pas de s’élever des
voix
pour lui imposer silence : « Cela ne te regarde p
abinet, animé d’un enthousiasme solitaire. Il lui faut des échos, des
voix
qui répondent à sa voix et la soutiennent. Le poè
usiasme solitaire. Il lui faut des échos, des voix qui répondent à sa
voix
et la soutiennent. Le poète entonne ; mais le peu
à nous encore vibrant et sonore, c’est qu’il n’était pas l’écho d’une
voix
perdue, mais bien d’un immense concert, d’un chœu
ète du bon vieux temps, qui ne croyait pas s’humilier en écoutant les
voix
de la terre, et dont les plaintes, les colères, l
qu’à la solitude de la pensée s’ajoutait la solitude de l’exil, et sa
voix
s’est perdue dans le vide. Elle est bien simple l
elle se fait aimer; Sa grâce est la plus forte. Mais ce n’est pas sa
voix
que nous entendons, c’est une voix d’homme, mâle
plus forte. Mais ce n’est pas sa voix que nous entendons, c’est une
voix
d’homme, mâle et franche, sombre et chagrine. Ser
sorte de duo, qui se perpétue de siècle en siècle : ce sont les deux
voix
de la poésie. Elles se répondent l’une à l’autre,
duo sans fin que jouent la poésie héroïque et la poésie comique, les
voix
ne sont pas toujours égales. Tantôt c’est l’une q
nd Jupiter verse la pluie, du fond de nos demeures, nous unissons nos
voix
agiles au bruissement des gouttes. Brékékékex, co
& comptant vos exploits, Plus haut que les acteurs vous élevez la
voix
; Et tout Paris, témoin de vos traits de folie, R
ent fois de vous que de la comédie. Quelquefois Thalie empruntant la
voix
, les gestes & le ton d’un jeune étourdi, lui
iomphas de l’hypocrisie, & que tu fis reconnoître ce monstre à sa
voix
, à ses affectations, à son adresse, à ses amours
au Fidèle Berger! Mesdames, je le constate avec des sanglots dans la
voix
, Berquin, le pauvre Berquin... Oui, quand un de v
’est l’enfant que je voudrais surtout interrogerai l’enfant avait une
voix
. J’en ai tant vu de ces orphelins du divorcé, qui
se plaint du silence de Valere : celui-ci lui dit qu’au défaut de la
voix
, un regard, un soupir, un geste servent souvent à
pour le lendemain : ce lieu, c’est l’Église. Là seulement s’élève la
voix
qui constate et qui produit l’harmonie ; partout
prêchant à Metz devant la Reine Mère, n’avait pas craint d’élever sa
voix
contre celle des flatteurs qui ne voulaient parle
qu’aggravait « je ne sais quoi de déréglé dans toute la nature. » La
voix
de l’orateur devient le cri des malheureux : « Da
joie : car une grande récompense vous est réservée dans le ciel. Sa
voix
est rapide, nette et sonore ; lorsqu’il le faudra
ion des Précieuses ridicules, un vieillard placé au parterre éleva la
voix
et cria : Courage, Molière, voilà de la bonne co
carême 1680, Bourdaloue monte en chaire. Il prononce son texte d’une
voix
ferme : « Lorsque l’esprit impur est sorti d’un
ables gens de bien ? Quand la vraie dévotion lui demande, par tant de
voix
respectées, à n’être pas sa cliente, l’ardeur enr
rs se condamne, car ses œuvres ni son visage ne sont d’accord avec sa
voix
; il se mêlait sans doute d’un peu d’autre chose
a Providence véritable, qui voit tout, à qui rien n’échappe et que sa
voix
éloquente sait rendre présente aux cœurs les plus
que celte conscience, si elle n’est pas morte, remue et frémisse à sa
voix
, et tout endurcie ou rassurée quelle est sur les
quité, savent ce qu’ils font et le veulent faire ; ils résistent à la
voix
de leur conscience tandis qu’ils seraient libres
it à se montrer ; tous les arts et tous les plaisirs accouraient à sa
voix
, et Versailles éblouissait la France de la magie
faiblesses du vieux roi ordonnant les dragonnades, et tournant, à la
voix
d’un prêtre, le fer de ses soldats contre la cons
et des hommes, qui représente l’autre faisant vainement entendre une
voix
fervente et pieuse, et obligée d’étouffer les scr
t jamais infecté les oreilles des chrétiens ! Comment des milliers de
voix
ne lui ont-elles pas répondu que les pièces les p
egel Et ne faut-il pas bien que Monsieur contredise ? À la commune
voix
veut-on qu’il se réduise ? Le Misanthrope, a
in s’envelopper dans la robe de chambre du moribond et contrefaire sa
voix
cassée. Mais quel triste sujet de gaieté, grand D
sez de tact moral pour empêcher que ma conscience ne vienne élever sa
voix
au milieu delà fête qu’il donne à mon esprit. Il
spect ! car s’il oubliait un instant qu’elle est là, on entendrait sa
voix
importune s’élever dans la salle du festin. Qu’of
ne nous déplaçons jamais ; je suis passable Auteur, si j’en crois la
voix
publique ; je puis être un fort mauvais Secrétair
’un établissement. Toutes ces femmes, dit-il encore, en haussant la
voix
, sont des animaux qui sont ennemis jurés de notre
ort fera du bruit. Ainsi ce glorieux dessein fut approuvé tout d’une
voix
. Ces Ivrognes se lèvent, et vont gaiement à la ri
ce à la Cour, et à la Ville en 1667. Et l’Amphitryon passa tout d’une
voix
au mois de Janvier 1668. Cependant un Savantasse
ussitôt il fut accablé de louanges par les Courtisans, qui tous d’une
voix
répétaient tant bien que mal ce que le Roi venait
à Sa Majesté. Toute la Cour trouva ces vers très beaux, et tout d’une
voix
les donna à Benserade, qui ne fit point de façon
lle, aux êtres réels une vie, en quelque sorte, idéale, un corps, une
voix
à des nuages, une constitution politique aux habi
us l’ont dit mille fois ; Et pour mieux m’expliquer, j’emploie ici la
voix
. Que si vous contemplez, d’une ame un peu bénigne
porter un jugement sain, il doit attendre, pour le prononcer, que la
voix
publique l’ait confirmé29. Nous nous contenterons
e, comme la musique existe dès qu’on essaye de moduler les sons de la
voix
. Elle ne devient un art que lorsqu’elle prend con
; il dit lui-même qu’on doit s’en rapporter à son cœur & non à sa
voix
. Il répete seul en grondant une partie d’échecs q
ragique, mais il n’y réussit pas ; il avait une volubilité118 dans la
voix
et une espèce de hoquet qui ne pouvait convenir a
seconde lettre de Balzac est intitulée : Suite d’un entretien de vive
voix
, ou de la Conversation des Romains, à madame la m
t aussi l’opinion des critiques du 18e siècle. Mais Rousseau élève la
voix
; il accuse l’auteur d’avoir fait de Philinte son
. Que fait ma fille ?Quoi ! ce n’est que pour cela ? Vous avez bonne
voix
. Quel bruit ! A vous entendre, J’ai cru qu’à la m
cien des Italiens, à qui l’on ne peut refuser un très grand volume de
voix
, a toujours été connu sous le nom de Tout-voix. U
é au Ciel pour cela ; mais lorsque je l’ai consulté, j’ai entendu une
voix
qui m’a dit que je ne devois pas songer à votre s
on Juan, nous éblouir par ces belles excuses ? Don Juan. J’obéis à la
voix
du Ciel. Don Carlos. Quoi ! vous voulez que je me
te, vous qui savez sentir les vraies beautés, élevez tous ensemble la
voix
pour chanter les louanges de Moliere. C’est peut-
hantera la terre, O Théâtre François, quel sera ton bonheur ! De sa
voix
le son séducteur12, Aidé du rare don de plaire,
férence de l’entonnoir enveloppait le vaisseau et tout l’équipage. La
voix
la plus faible entrait dans les fibres circulaire
ile. On veut le forcer à donner la main au Docteur ; il contrefait sa
voix
, & dit qu’il a promis sa foi. On lui demande
e son char de triomphe, il te tendrait une main protectrice. Alors ta
voix
éloquente célébrerait ses bienfaits : dans l’ivre
urs, si nécessaires au théâtre, surtout pour les rôles tragiques. Une
voix
sourde, des inflexions dures, une volubilité de l
n mari155, qu’il travailloit exprès pour ses talens. Elle avoit de la
voix
, et chantoit ordinairement avec la Grange dans le
oit les seconds rôles comiques, et les jouoit très-bien ; il avoit la
voix
claire, légère, et beaucoup de finesse dans son j
Cléonte. Madame Molière était excellente comédienne ; elle avait une
voix
charmante, chantait avec beaucoup de goût le fran
ctrice. » Cependant il parut toujours mécontent de la figure et de la
voix
de cette comédienne. Mademoiselle Beauval continu
onné, selon les différents personnages qu’il avait à représenter ; sa
voix
était sonore, juste et flexible ; sa prononciatio
ne nous déplaçons jamais ; je suis passable Auteur, si j’en crois la
voix
publique ; je puis être un fort mauvais Secretair
s d’un établissement. Toutes ces femmes, dit-il encore en haussant la
voix
, sont des animaux qui sont ennemis jurez de nôtre
mort fera du bruit. Ainsi ce glorieux dessein fut approuvé tout d’une
voix
. Ces yvrognes se levent, & vont gayement à la
la Cour, & à la Ville, en 1667. Et l’Amphitryon passa tout d’une
voix
au mois de Janvier 1668. Cependant un Savantasse
ssi-tôt il fut accablé de loüanges par les Courtisans, qui tous d’une
voix
repetoient tant bien que mal ce que le Roi venoit
a Majesté. Toute la Cour trouva ces vers très-beaux, & tout d’une
voix
les donna à Benserade, qui ne fit point de façon
les deux jumeaux, ou les deux personnes qui se ressemblent, un son de
voix
différent, une démarche, une façon de se mettre,
s, qu’on l’aime, qu’on le haïsse, on s’incline devant son génie et la
voix
publique le place sur cette cime accessible à un
gé de toutes nos pensées, le mot moi ; enfin elle donne sa force à la
voix
. Les vers les plus nobles, les plus doux, les plu
i aux mots foi, roi, foi, qu’elle exige une plus forte émission de la
voix
que lé, ré, fé, qu’elle oblige à desserrer les de
qu’un peu de vent et de fumée, et encore de nous le dire d’un ton de
voix
fière et contente ? » Ces gens, qui font les empo
gens, qui font les emportés, qui ont secoué le joug, qui disent d’une
voix
fière et contente qu’il n’y a pas de Dieu et que
ès tout, ce valet est-il si ridicule et si sot lorsque obéissant à la
voix
de sa conscience et faisant violence à la peur qu
s dont je vous viens de parler étoient-elles sorties, que j’ai ouï la
voix
d’un homme qui crioit à son cocher d’arrêter, et
qu’il avait une toux continuelle, des oppressions, des extinctions de
voix
, enfin que, par surcroit, il souffrait de l’estom
n, depuis les pieds jusqu’à la tête ; il sembloit qu’il eût plusieurs
voix
; tout parloit en lui, et d’un pas, d’un sourire,
ésirer et vouloir se soustraire à leur joug, il faut qu’il entende la
voix
des sentiments moraux qui éclairent la conscience
oles, le jaloux, dominé par sa passion et ne pouvant plus entendre la
voix
de la raison, donne une réponse qui fait comprend
s sont mauvais, imparfaits, ou qui n’entend dans sa conscience que la
voix
de ses passions parce qu’elles y occupent momenta
seille de fuir pour ne pas être envahi par cette passion, et c’est la
voix
des sentiments qui inspirent cet intérêt rationne
qui l’inspirent parlent en ce moment plus haut dans son esprit que la
voix
de sa passion, ce qui n’avait pas lieu lorsqu’il
, nous verrons bien autre chose. Lucile continue : Au seul son de sa
voix
mon cœur se sent renaître, Et l’amour près de lui
côté du Satyrique, lui dit : Qu’est-ce que la raison avec un filet de
voix
contre une gueule comme cela ? XXIX. Deux
rrière, » et tout le récit de la chasse remplissent la salle comme la
voix
d’un Regnard qui aurait des poumons plus puissans
e ce poète : « Je veux être fâché, » dit Gros-René. Molière, c’est la
voix
même de la faiblesse humaine ; il ne devait pas c
onneur, qui fait penser à la gracieuse légende de l’hermine. C’est la
voix
du cœur et du bon sens ; et il ne serait pas malh
e des autres par le secours de la mémoire… Le geste et l’inflexion de
voix
se marient toujours avec le propos au théâtre, ta
e nous deplaçons jamais, je suis un passable Auteur, si j’en crois la
voix
publique ; je puis être un fort mauvais Secretair
intéressants doivent, avant leur sortie, avoir employé les gestes, la
voix
& les expressions les plus fortes pour nous p
, & veut passer la nuit sur une pierre. Madame Béverley entend la
voix
de son mari : elle sort avec une lanterne, le voi
nce une fois en votre vie. Y a-t-il du mal à se promener ? L’Olive, à
voix
très basse. Je suis pris, Monsieur. Dorante. Et m
Laurent : il fit imiter jusqu’à l’habillement, la coeffure, le son de
voix
de Lerat ; & l’acteur qui le représentoit eut
inconvénients, il n’y a pas de chanteuse et le Masaniello n’a pas de
voix
du tout. Tout se passe en chœurs, ils chantent av
Manuscrits a l’initiative pour la présentation du candidat : j’ai une
voix
dans cette initiative, mais de droit seulement et
seul en quelque sorte qu’il faudrait s’adresser. Il y a une troisième
voix
à concilier, dans le département des Manuscrits (
e que j’en ai dit. Jeu. Mlle de Vienne a grande raison de grossir sa
voix
d’une manière comique en disant ce vers. [Acte
rs 1810, écrivait (Journal, p. 159) : « Fleury n’a décidément plus de
voix
dans le Misanthrope ; mais, en revanche, Mars est
Sa Majesté. Toute la Cour trouva ces vers très beaux, et, tous d’une
voix
, les donna à Benserade*, qui ne fit point de faço
, ses yeux se remplissaient de pleurs ; les sanglots lui coupaient la
voix
; on sentait de la difficulté à se refuser à l’es
: Le pauvre homme ; et chaque fois il assaisonnait ce mot d’un ton de
voix
différent, qui le rendait extrêmement plaisant. M
rruption. Son thème favori, la répétition théâtrale, fait entendre la
voix
de l’auteur, comme dans son roman, Tom Jones. Inn
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