verve et de son haut comique. Molière fut avant tout un comédien. Il
vécut
par la scène et pour la scène. Son existence est
ecueilli de l’antiquité et cher à Rabelais et à Montaigne, qu’il faut
vivre
conformément à la nature, que la nature est bonne
tiquement. I. Comment Molière, en morale, se sert du principe : «
Vivre
conformément à la nature », comme d’un principe n
-ce à dire que la femme ait le droit de satisfaire à ses caprices, de
vivre
bien ou mal comme il lui plaît ? « Non pas », rép
que la religion qu’il admire n’oblige en somme les humains qu’à bien
vivre
et ne s’appelle catholicisme que par occasion. Ce
it, son âme se dessécher ou s’abêtir. Elle ne connaît plus la joie de
vivre
. Elle est inutile, incapable de remplir ses devoi
ts égoïstes et vulgaires. Molière prétend enseigner aux hommes à bien
vivre
et, parlant, à se vaincre parfois eux-mêmes et à
is ne tarderaient pas à se déchaîner. Or, le principe un peu vague, «
vivre
conformément à la nature », dont il s’est servi,
rer aux hommes, par la simple représentation d’une scène qui dut être
vécue
mainte fois, la tendresse naturelle du père aux p
rtu Lorsque, dans son hymen, son goût est combattu. Que le dessein de
vivre
en honnête personne Dépend des qualités du mari q
e Molière enseigne aux hommes, les menaçant, s’ils se refusent à bien
vivre
, non pas des chaudières bouillantes dans un probl
un crocheteur qui serait honnête homme, que du fils d’un monarque qui
vivrait
comme vous » ; Clitandre, amant d’Angélique et pl
rs envers la famille et l’humanité. La vraie religion consiste à bien
vivre
. Les véritables dévots : Ce ne sont point du tou
d’intrigues à suivre ; On les voit, pour tous soins, se mêler de bien
vivre
. De tels gens ne sont-ils pas mûrs pour une rel
t pas moins vrai que nous devons toujours agir avec franchise et bien
vivre
. Sinon notre indulgence à l’égard des autres devi
f-d’œuvre de haute raison et de pitié profonde. Que voulait Alceste ?
Vivre
au grand jour ! Mais il s’est brisé dans l’épreuv
des vertus nous seraient inutiles… Il faut savoir nous résigner, et
vivre
, et vivre le mieux possible, non pas pour nous-mê
s nous seraient inutiles… Il faut savoir nous résigner, et vivre, et
vivre
le mieux possible, non pas pour nous-mêmes, mais
, qui ne fait que son devoir, mais qui le fait mieux que jamais. Nous
vivons
avec les apparences d’une sincère amitié. Les uns
e Rambouillet, étaient Madeleine de Scudéry, âgée de 73 ans : elle en
vécut
16 au-delà ; Ninon de Lenclos, âgée de 64 : elle
s : elle en vécut 16 au-delà ; Ninon de Lenclos, âgée de 64 : elle en
vécut
encore 26 ; madame de Sévigné, âgée de 54 : elle
4 : elle en vécut encore 26 ; madame de Sévigné, âgée de 54 : elle en
vécut
encore 16 ; madame Deshoulières, âgée de 42 : ell
: elle en vécut encore 16 ; madame Deshoulières, âgée de 42 : elle en
vécut
34 au-delà ; madame de La Sablière, âgée de 33 :
lle en vécut 34 au-delà ; madame de La Sablière, âgée de 33 : elle en
vécut
encore 13. Restaient avec madame de Sévigné : mad
grand Corneille donna son dernier ouvrage, la tragédie de Suréna. Il
vécut
encore six ans, dans la retraite et la dévotion.
tait d’écrivains en prose, c’étaient Mézerai, âgé de 70 ans, qui n’en
vécut
plus que 3 ; Saint-Évremond, âgé de 67 ans, qui e
ns, qui n’en vécut plus que 3 ; Saint-Évremond, âgé de 67 ans, qui en
vécut
encore 23, mais en Angleterre ; Ménage, aussi dan
core 23, mais en Angleterre ; Ménage, aussi dans sa 67e année, qui en
vécut
encore 12 à compiler ; Pélisson, âgé de 66 ans, q
, qui en vécut encore 12 à compiler ; Pélisson, âgé de 66 ans, qui en
vécut
encore 17 à convertir des protestants. Parmi ces
dresse Myrtil me puisse chérir, Avec toi je le confesse ; Je voudrais
vivre
et mourir. Tous deux ensemble. Ah ! Plus jamais a
vivre et mourir. Tous deux ensemble. Ah ! Plus jamais aimons-nous, Et
vivons
et mourons en des liens si doux.273 Passons mai
n sort comblait mes désirs. Colin. Quand je plaisais à ma bergère, Je
vivais
dans les plaisirs. Colette. Depuis que son cœur m
t comment se battaient les hommes d’autrefois, et non pas comment ils
vivaient
; ils se sont préoccupés des violences de l’espèc
rd’hui si fier de sa fortune, de sa naissance et de ses victoires, il
vivra
parce qu’il a été fécondé, agrandi, fortifié par
nt les emplois et les charges. Aujourd’hui l’homme habile et qui sait
vivre
, est une créature à part qui méprise l’ambition c
, les cruautés, l’enthousiasme et les amours du moment où cet homme a
vécu
, combattu, aimé, haï ; du moment où cet homme est
gloires éphémères que j’ai abritées sous ma gloire… des êtres qui ont
vécu
par moi, de par moi, qui mourront avant moi ! Que
et que j’en sois sûr, il faut attendre que nous sachions ce que tu as
vécu
. L’esprit, le génie, la bonne grâce et l’éclat de
’avait pas combattu, durant quarante ans, sur la même brèche. Il faut
vivre
avant tout ; en vivant on se complète, en vivant
n vivant on se démontre soi-même à soi-même ; en vivant, on apprend à
vivre
d’abord, à écrire ensuite ; en vivant on devient
moi, nous disait l’admirable vieillard, le jour même de sa mort, j’ai
vécu
heureux, je meurs content, et c’est sur vous que
rtistes de ce temps-ci, l’artiste qui a duré le plus longtemps, qui a
vécu
d’une vie à la fois plus entière et plus hautaine
hantaient, on les tue ! Ils n’entendront plus désormais s’ils veulent
vivre
, et vivre au jour le jour, que le bruit des tribu
on les tue ! Ils n’entendront plus désormais s’ils veulent vivre, et
vivre
au jour le jour, que le bruit des tribunes et des
! » Depuis le jour de sa retraite, elle ne fit plus que languir. Elle
vivait
par le théâtre et pour le théâtre, et elle ne pou
’elle a touché le bois de son théâtre, mademoiselle Mars s’est sentie
vivre
; elle vivait dans le passé, elle vivait dans le
é le bois de son théâtre, mademoiselle Mars s’est sentie vivre ; elle
vivait
dans le passé, elle vivait dans le présent. — C’é
ademoiselle Mars s’est sentie vivre ; elle vivait dans le passé, elle
vivait
dans le présent. — C’était elle encore ! on la sa
, et l’on ne voit pas que rien ne revient, de ce qui est mort. Est-ce
vivre
, en effet, que de passer à l’état d’une langue mo
morte, d’un chef-d’œuvre oublié, d’une curiosité littéraire ? Est-ce
vivre
que d’être exposé, à deux mille ans de distance e
erent de s’en dépouiller : vous ne devez, lui-dirent-ils, songer qu’à
vivre
tranquillement, & à mettre un espace entre le
qu’il ne se dissipe ; mon dessein est de n’y pas toucher tant que je
vivrai
, vous le trouverez après ma mort : je le destine
es frais du repas qu’il voulut bien sacrifier à son ami. Le vieillard
vécut
cinq ou six ans : il eut le plaisir de voir toujo
enfants ; il leur a cedé tous ses biens, & ne s’est réservé pour
vivre
qu’une petite métairie qui suffit à peine à ses b
solé me serre dans ses bras, Me conjure instamment de parler & de
vivre
, Me dit que si je meurs, il est prêt de me suivre
tourne si bien mon ame, Qu’il arrache l’aveu de ma secrete flamme. «
Vivez
, s’écria-t-il, vivez, mon cher Marquis ; Je vous
me, Qu’il arrache l’aveu de ma secrete flamme. « Vivez, s’écria-t-il,
vivez
, mon cher Marquis ; Je vous cede l’objet dont vou
introduit dans l’Impromptu de Versailles laisserait même croire qu’il
vivait
encore à ce moment dans une parfaite sécurité. Su
s ne serez point de ces maris incommodes qui veulent que leurs femmes
vivent
comme des loups-garous. Je vous avoue que je ne m
arait-il, s’amusait à dresser un double catalogue des comédiens qui «
vivaient
bien » et de ceux qui « vivoient mal, » et, parmi
faut distinguer d’abord les faits généraux se rapportant au milieu où
vivait
Armande : ils sont généralement exacts ; et les f
on infidélité rendoit sans charmes. Je pris dès lors la résolution de
vivre
avec elle comme un honnête homme qui a une femme
nt de cette maison de la place du Palais-Royal, où il avait longtemps
vécu
, avec les Béjart et Mlle de Brie, Molière voulait
a troisième fois ; il lui naissait un fils. Courte joie : l’enfant ne
vivait
que onze jours, précédant son père dans la tombe
ent. Mais elle n’avait rien de ce qu’il faut pour cela ; elle voulait
vivre
pour elle-même. De là des froissemens continuels,
ession et son inconduite ; « avant que d’être mariée, elle a toujours
vécu
dans une prostitution universelle ; pendant qu’el
stitution universelle ; pendant qu’elle a été mariée, elle a toujours
vécu
dans un adultère public ; enfin, qui dit La Moliè
’étaient pas de son côté, c’est que, devenue la femme de Guérin, elle
vécut
parfaitement heureuse et que sa conduite ne donna
aient. Mais elle s’attachait de plus en plus à son intérieur, où elle
vivait
très retirée, au fils qu’elle avait eu de Guérin,
térité, en dépit de ce brave Guérin, la veuve de Molière, celle qui a
vécu
onze ans près de lui, l’interprète et l’inspiratr
p; je n’ai plus que faire au monde ! Sans toi, il m’est impossible de
vivre
! C’en est fait, je n’en puis plus, je me meurs,
i ! Après avoir perdu une si grosse somme en or, quel besoin ai-je de
vivre
? Ce très cher & très précieux or, que je gar
us être toujours propices, Mégadore ! Mégadore. Comment va la santé ?
Vivez
-vous heureux & content ? Euclion, à part. Lor
e la salle à manger, une sentence qui l’a charmé, Il faut manger pour
vivre
, & non pas vivre pour manger 41, parcequ’il c
une sentence qui l’a charmé, Il faut manger pour vivre, & non pas
vivre
pour manger 41, parcequ’il croit par-là contenir
l, tu feras toujours mes délices, nous ne nous séparerons point, nous
vivrons
ensemble dix ans, vingt ans, trente ans, & pu
qu’il aura du moins le bonheur de le posséder sans partage tant qu’il
vivra
. Cette scene, dont je ne donne qu’une simple es
ve en lettres d’or cette sentence qui le charme : Il faut manger pour
vivre
, & non pas vivre pour manger. Un moment après
tte sentence qui le charme : Il faut manger pour vivre, & non pas
vivre
pour manger. Un moment après il songe qu’il lui e
re du Théâtre, en ce sens que toutes les choses dont nous parlons ont
vécu
une heure, ou vécu des siècles, et pour peu qu’un
e sens que toutes les choses dont nous parlons ont vécu une heure, ou
vécu
des siècles, et pour peu qu’un brin de cette vie
s comédiens primitifs, les véritables enfants sans souci et sans art,
vivaient
encore, en dépit de leurs bien-aimés et féaux suc
de leurs bien-aimés et féaux successeurs de l’Hôtel de Bourgogne. Ils
vivaient
, et même le public les aimait comme de gros réjou
ages, qui n’espérait plus le jour vengeur, le jour des vendanges ? Il
vécut
ainsi sept jours encore. Le dernier soir venu, ce
tait comme un long carnaval où se rendaient la ville et la cour, pour
vivre
pêle-mêle, non pas sous le masque, mais cette foi
d’inventaire. Il en eut une grande pique, ce qui ne l’empêcha pas de
vivre
encore une dizaine d’années comme un autre homme,
tes Maisons. Singulier accident, quand il frappe ces gens heureux qui
vivent
de l’esprit des autres, et qui n’ont pas d’autres
us, et les caisses d’épargnes n’étaient inventées pour personne. Nous
vivions
un peu au hasard ; or, le hasard est un grand bon
’histoire de Sparte : — Passant, va dire à Lacédémone que nous avons
vécu
! Heureuse encore, la pauvre vieille qui peut son
. La Comédienne : — Vous en avez fait meilleur marché. Éraste. Je
vivais
avec vous, La Comédienne : — Vous en avez menti
uxembourg. « Quel était mon projet ? d’être applaudi ? Peut-être ! De
vivre
familièrement avec les femmes de théâtre que je s
amenter de ne rien laisser après eux, c’est justement ce qui les fait
vivre
. Mais ce n’est pas ici la question. La question e
eux ; vous, Madame, le rôle de l’amoureuse, et vous vous mariez, pour
vivre
ensemble éternellement ! Une lois mariés, songez-
re, que vous êtes beau ! — Marianne, que vous êtes belle ! En ce cas,
vivez
chacun de votre côté ; tâchez de vous être un peu
e temps-là, elles avaient le grand honneur d’être excommuniées, elles
vivaient
grandement, en dehors de toutes les lois de la so
laise que jamais nous maltraitions les grands seigneurs qui nous font
vivre
, ou que nous tenions école de ces difficiles et r
de leurs semblables. Il n’a manqué à ce digne Brunet, que d’avoir pu
vivre
, sans remonter sur son théâtre et de rester paisi
oir même de ses noces, il signifie à sa jeune épouse que jamais il ne
vivra
avec elle, à moins qu’un jour lui, son mari, il n
olie avait tenu la place de cette douce et heureuse folie. Ainsi il a
vécu
deux années encore. Mais un jour, au moment où il
e aujourd’hui ! Bon homme et digne homme, et bienveillant à quiconque
vivait
de la vie exceptionnelle de la poésie et des beau
e époque plus remplie de lâchetés et de haines littéraires, et, quand
vivait
le roi Louis XIV, se pouvait-on douter de la quan
de la jeune Henriette, aimable fille d’un si rare bon sens, forcée de
vivre
dans les abominables dissensions de la vie littér
comprimé la poitrine ! Ce n’est pas celle-là à qui sa mère coupe les
vivres
, pour en faire un véritable roseau ! — Elle est s
ces hommes hideux en si belle et souriante compagnie ! Qui donc peut
vivre
avec ces misérables ?… Des femmes qui ont faim !
ille de Minerve (ainsi le voulait cette injuste démocratie) était né,
vivait
et grandissait au milieu des huées ; les citoyens
lus guère, en ces temps malheureux où son esprit était à la gêne : il
vivait
d’épargnes ; il n’avait plu : d’autre joie que de
de Saxe, une princesse aimée, honorée, entourée de louanges, facile à
vivre
, malgré sa double qualité de princesse et de poèt
e xviie siècle s’était figuré tout simplement, l’orgueilleux ! qu’il
vivrait
de la vie de Molière et qu’il vivrait aussi longt
mplement, l’orgueilleux ! qu’il vivrait de la vie de Molière et qu’il
vivrait
aussi longtemps que Molière ! Comme il vieillissa
disait, tout d’abord, du nouveau poète comique. Où l’avait-on vu ? Ou
vivait
-il ? Nul ne pouvait le dire précisément ; mais à
mbeau de Boileau ! Mais où allons-nous, mon compère, et en quel temps
vivons
-nous ? Vous pensez si l’émotion fut grande, au pl
et le mépris ! Mais cependant qui fut bien surpris, dans ce siècle où
vivaient
tant de gens graves et bien posés, esclaves du de
ts allaient trop loin ; aussitôt tout rentrait dans le respect. Ainsi
vécut
Molière ; son peuple obéit, comme autant d’écolie
que Regnard préfère et qu’il adopte, c’est le monde dans lequel il a
vécu
; il n’en connaît pas d’autre. Il a pris sa part
— Pardieu, quand madame de Maintenon sera morte, et quand le roi aura
vécu
, voilà pourtant comme nous serons à notre tour !
n, à la suite d’une partie de chasse. Molière est mort comme il avait
vécu
, en combattant. Molière a été pleuré par ses amis
s de tirer d’un personnage le parti qu’il en pourrait tirer ; il veut
vivre
, il veut obéir à la fantaisie, à la poésie, à la
’à la fin des siècles. C’est par la gaîté, rien que par la gaîté, que
vivra
la comédie de Regnard. On a refait, de nos jours,
ont nous parlons en ce moment, n’est pas de ceux-là qui mendient pour
vivre
, et qui portent des guenilles pour faire pitié. I
selle Léonore qui dit à Moncade : « Vous n’aimez point Lucinde ! vous
vivrez
éternellement pour moi ! vous me le promettez, et
eût dit, en effet, à voir ce jeune homme bien né, savant, hardi, qui
vivait
dans Paris comme un Bohémien, qu’il était venu au
arché de la vertu ; tous enfin pour de bons vivants, très contents de
vivre
, en faisant rire ou pleurer leurs semblables, au
die de d’Ancourt. Ici le bourgeois, et plus loin les Misanthropes qui
vivent
de leur esprit, et les Célimènes qui vivent de le
loin les Misanthropes qui vivent de leur esprit, et les Célimènes qui
vivent
de leur beauté. Et toute cette comédie est souten
jeunesse, refuser son cœur à tout ce qu’on voit d’aimable, est-ce là
vivre
? Parlez-nous, au contraire, de l’inconstance : t
as contre le Don Juan original, que l’homme à bonnes fortunes de 1690
vivrait
à peine vingt ans encore, et que, pour la confirm
e la continûrai. Selon mes revenus je règle ma dépense Et je ne
vivrais
pas content Si toujours en argent comptant
Et cependant je bois, je joue, et j’aime ! Faire tout ce qu’on veut,
vivre
exempt de chagrin, Ne se rien refuser, voilà tout
brité en immolant à la risée publique les grands hommes de son temps,
vivait
à coup sûr chez un peuple ombrageux, ingrat et ja
eté sur les œuvres de Molière, qui peut méconnaître le siècle où il a
vécu
? Le temps où parut Le Misanthrope était, à coup
s presque faire un Tartuffe pour toutes les vertus ! Le monde où nous
vivons
ne t’offrirait plus le modèle de ton Alceste, et
: dans l’ivresse de ta reconnaissance, tu t’écrierais encore : « Nous
vivons
sous un prince aussi juste que grand ! » La Franc
s moins estimé, quoique Regnard ait dit : Ci gît Maître Boileau, qui
vécut
de médire, Et qui mourut aussi par un trait de sa
p; courbés, Qui, ne pouvant atteindre aux fruits qui sont aux arbres,
Vivent
honteusement de ceux qui sont tombés2. 1. Un s
il est encore des Tartufes, heureusement pour les Béates qu’ils font
vivre
dans l’aisance, & malheureusement pour les ho
thropophages, qu’il faut bien vîte remettre à la voile ; mais que les
vivres
leur manquant, il veut bien se sacrifier pour eux
d’être repentant de tous ses crimes, de vouloir faire pénitence &
vivre
seul en Hermite. Il exhorte les femmes à venir pu
l humilie devant cette petite fille toute la science de l’homme qui a
vécu
et toute la passion, quasi paternelle, de l’homme
ation, comment se termine-elle ? Molière y avoue qu’il s’est résolu à
vivre
avec Armande comme si elle n’était pas sa femme,
naïveté. Je ne crois guère aux indignations politiques de Molière. Il
vivait
trop dans le rayonnement du Roi-Soleil pour en ob
lus tard, Voltaire ; alors il eut été un réformateur, parce qu’il eût
vécu
dans un temps de réforme et de combat ; au xviie
tre en relief les côtés bons ou mauvais, l’homme le moins capable d’y
vivre
; ce caractère insociable, c’est Alceste. J’ai vu
il est tout surpris de l’effet que cela produit ; et pour apprendre à
vivre
au genre humain, il lui rompt eh visière, il le p
us les défauts que nous héritons d’Ève et d’Adam, faits pourtant pour
vivre
ensemble. Passons-nous en donc le plus que nous p
n un mot l’excès nuisible à la vertu même et qui la rend impossible à
vivre
. Ai-je été trop loin dans mes critiques ? Pas plu
de tolérance mutuelle. Alceste est un être insupportable et fait pour
vivre
dans l’endroit écarté qu’il finit par aller cherc
x, il n’y aurait plus de société habitable ; je me demande comment on
vivrait
ensemble ; je me demande comment nous ferions des
un récit qui vous intéressera tous. J’ai visité la ferme où naquit et
vécut
l’animal qui porta ce jambon. Je vous en parlerai
aits sont faits pour le peuple326. Il semble que La Fontaine ait trop
vécu
dans la société des animaux qu’il a peints. Il fa
rgeoises, et toute la populace en est exclue327. Si la Fontaine avait
vécu
davantage dans la bonne compagnie, elle lui aurai
rouve, et j’accuserais plutôt non Homère, mais le temps où ce poète a
vécu
, d’avoir été grossier et barbare. Il faut bien de
à son sol naturel, et transplantée dans un climat où elle ne saurait
vivre
. Qu’on la remette à sa véritable place, qu’on lui
haï Molière ? Tu savais comme il se serait moqué de toi, si tu avais
vécu
de son temps. C’est Goethe qui dit tout cela, et
de pasteur n’ayant pas le sou, point de science et peu d’idées, pour
vivre
imagina d’écrire, et pour se faire lire imagina d
tombant au milieu des éclats de rire, expriment bien leur bonheur de
vivre
! Quelques coups de poing qu’on échange çà et là
de ces mystérieux colosses, tous assis dans la même attitude. Ils ne
vivent
pas ; mais il semble qu’ils rêvent. Adossés à une
coup détonner Sosie dans sa comédie d’Amphitryon. Si Quintilien avait
vécu
du temps de Plaute, Sosie eût peut-être conservé
deux nations. Shakespeare est un créateur d’êtres individuels. Faire
vivre
, c’est là son talent. Il multiplie les incidents,
rances. Jean Poquelin n’avait jamais pardonné à un fils qui « pouvait
vivre
honorablement dans le monde », d’avoir quitté son
s qu’il fit pour cracher, il se rompit une veine dans le corps, et ne
vécut
pas une demi-heure ou trois quarts d’heure depuis
Dictionnaire philosophique ; article Goût. 328. « Si Boileau avait
vécu
alors (à l’époque où la satire vi vit le jour) da
de la guerre de Troie, les formes de la pensée et toute la manière de
vivre
étaient bien différentes de celles que nous retro
nt l’aveugle et noble transport Me fait précipiter ma mort Pour faire
vivre
ma mémoire ! Ces quatre vers sont revenus bien
; ils expriment à merveille et d’une façon très poétique ce besoin de
vivre
un moment, chaque matin, même à la condition cert
et l’on se dit, en fin de compte, que l’on a encore de longs jours à
vivre
pour s’aimer… Telle est, ou peu s’en faut, l’émot
ontant des opinions auxquelles vous êtes resté fidèle, des haines qui
vivent
encore en votre âme, et des admirations qui n’ont
r d’autrui sans imitation et sans gêne, il profita infiniment d’avoir
vécu
toute sa vie avec les personnes du a monde qui to
seurs de quolibets, de proverbes et d’équivoques, les braves gens qui
vivent
des lettres ou du théâtre, et qui se figurent qu’
! De plus gros messieurs que nous se sont contentés de cette façon de
vivre
au jour le jour, au hasard, du goût et de l’espri
uelques beaux vers, ils auraient tort de se plaindre, et tel qui aura
vécu
et travaillé plus longtemps, s’estimerait heureux
béissante a disparu dans tes sentiers, elle est morte, et tu voudrais
vivre
plus longtemps qu’elle, et tu ferais de ton agoni
à travers les caprices de la ville et les oisivetés de la province a
vécu
, ne fût-ce qu’une heure ; elle a rencontré au moi
et alors cette mauvaise petite feuille, jetée aux ronces du chemin, a
vécu
en allemand, en anglais, en quelque langue étrang
rand cri qui l’a frappé ? Non, rien ne meurt complètement de ce qui a
vécu
, ne fût-ce qu’un jour, une heure, une instant ; u
s, et voilà pourtant ce que Fontenelle aurait vu chez nous s’il avait
vécu
cent trente et un ans ! Convenez cependant que ce
trente et un ans ! Convenez cependant que ce n’était pas la peine de
vivre
si longtemps, pour si peu. « Il faut d’abord sép
t été mélangée de plaisirs et de peines, il s’était trouvé heureux de
vivre
; à présent tout était peine, il ne restait plus
il y a là cinquante pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
vivre
: que feront-ils si je ne joue pas ? » Grande leç
? Entendez-vous ces frémissements de bien-être et de joie ? — Ma foi,
vivent
les chefs-d’œuvre de l’ancienne tragédie ! se dis
vre de l’ancienne tragédie ! se disent tout bas les spectateurs, mais
vivent
les chefs-d’œuvre surtout quand ils sont arrivés
es chefs-d’œuvre surtout quand ils sont arrivés à leur dernier vers !
Vivent
les grandes tragédiennes, mais quand elles n’ont
a sévérité de son père la tenait dans une sujétion si fâcheuse ! elle
vivait
dans une si dure contrainte ! Mais à présent, Die
elle ne sera pas de ces maris incommodes qui veulent que leurs femmes
vivent
comme des loups-garous. « Je vous avoue, ajoute D
te, à quel point la rage le devait prendre, ce misanthrope, obligé de
vivre
du travail de ses mains, comparé à cet heureux Mi
rosité, en courage. Seulement, il a sur Alceste cet avantage, il sait
vivre
avec les hommes, il sait comme on parle aux femme
homme ? Faites qu’il soit amoureux d’Éliante, il sera aussi facile à
vivre
que Philinte. Pour moi, je n’assiste jamais à un
mp; votre choix est tel, Qu’à vous rien reprocher je serois criminel.
Vivez
, vivez contente, & bravez ma mémoire Avec le
re choix est tel, Qu’à vous rien reprocher je serois criminel. Vivez,
vivez
contente, & bravez ma mémoire Avec le digne é
digne époux qui vous comble de gloire. Célie. Oui, traître, j’y veux
vivre
; & mon plus grand desir, Ce seroit que ton c
e, & m’ouvrez vos pensées. Apprenez-moi ma destinée : Faut-il
vivre
? faut-il mourir ? Angélique, en chantant. Vous m
ille, que le duc de Saint-Simon appelle madame la Duchesse, et qui ne
vécut
que trois ans. Le 30 mars 1670 naquit le duc du M
es paroles signifient : « Il y a trois ans, quand madame de Montespan
vivait
bien avec son mari, j’aurais consenti volontiers
ante fut donc honorable pour elle, pour la société dans laquelle elle
vivait
, et pour le roi qui l’y distingua. Ce fut un témo
mme du roi.) Je m’en tiens à cette décision générale, autrement je ne
vivrais
pas (c’est ainsi que dans le principe elle prit G
: pour être oubliée d’un conseil municipal, la gloire de Molière n’en
vivait
pas moins dans toutes les âmes5 Bien plus, des é
es fait éternellement éclater le rire. L’esprit populaire et parisien
vivait
en lui. Ce grand homme expira le 17 février 1673,
it errant de livre en livre, Manque enfin de pâture… alors il songe à
vivre
, Et la vie apparaît à son cœur de vingt ans Belle
solitude ; L’art, vous l’avez trouvé, lorsque pauvres, errants, Vous
viviez
au hasard mêlés à tous les rangs ; Personnages ac
former, Oubliant que sa force est de plaire et d’aimer ! Enfin, si tu
vivais
de nos jours, ô Molière, Tu maudirais surtout, de
il y a là cinquante pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
vivre
, que feront-ils si je ne joue pas. Je me reproche
c Henriette d’Angleterre. Cette enfant qui portait le nom de Louis ne
vécut
pas. 16. Armande Béjart, jeune sœur d’Armande Bé
neille », ou de « garçon de lévrier ». Il était donc naturel que l’on
vécût
largement dans cette « maison des Cinges », qui p
quittant Fontenay-le-Comte. Aux environs d’Angoulême en ce temps-là,
vivait
une dame Sarah de Peyrusse, fille du comte d’Esca
colas de Trallage avait dressé quelque part une liste des acteurs qui
vivaient
bien, et une liste de ceux qui vivaient mal. La v
art une liste des acteurs qui vivaient bien, et une liste de ceux qui
vivaient
mal. La veuve de Molière y est, mais sur la secon
isent. Et puis, il change en quelque sorte de sens à mesure qu’il est
vécu
par un plus grand nombre de générations : on s’a
ur en découvrir : il suffit de se mettre à la fenêtre et de regarder
vivre
les hommes, ou de se rappeler ses propres aventur
insolence et plus d’orgueil ou plus de sottise et de folie, à vouloir
vivre
non seulement en dehors d’elle, mais contre elle.
u monde, ils nous détournent de l’objet de la vie, qui est d’abord de
vivre
. C’est ici, je le sais, qu’on invoque la distinct
r ; ils se contentent d’être dévots pour eux-mêmes ; et pourvu qu’ils
vivent
bien, ils laissent les autres vivre à leur guise.
our eux-mêmes ; et pourvu qu’ils vivent bien, ils laissent les autres
vivre
à leur guise. En d’autres termes encore, la marqu
disciplines qui ne mettent pas dans la vie même et dans le plaisir de
vivre
l’objet et le but de la vie ? On voit la conséque
e langue sont bien les caractères du genre d’esprit et de la façon de
vivre
, de sentir ou de penser qu’elle traduit. On peut
dresse Mirtil me puisse chérir, Avec toi, je le confesse, Je voudrois
vivre
& mourir. Tous deux ensemble. Ah ! plus
ourir. Tous deux ensemble. Ah ! plus que jamais aimons-nous ; Et
vivons
& mourons en des liens si doux ! Tous les A
onne heure à suivre Le plaisir de s’enflammer : Un cœur ne commence à
vivre
Que du jour qu’il sait aimer. Quelque fort qu’on
prés et ces ruisseaux ont de quoi vous charmer ; Mais si vous désirez
vivre
toujours contentes, Petites innocente
amour la vie est sans appas. LE PARTI DE BACCHUS. C’est mourir que de
vivre
et de ne boire pas. LE PARTI DE L’AMOUR. Aimables
trouve aimable ? Hélas ! que vous êtes heureux, Innocents animaux, de
vivre
sans contrainte642, Et de pouvoir suivre sans cra
ortiraient pas d’un cercle restreint, par le goût de la société où il
vivait
, par l’exemple, par son repentir651. Les mêmes ex
ois pas là un glorieux. Si, comme je l’ai dit, il est contraint, pour
vivre
, à s’unir avec la fille d’un roturier, il croira
honnête homme de pere qu’il vous a donné. Il sait ce que c’est que de
vivre
. Lorsqu’on s’offre de prendre une fille sans dot,
l’Avare, & rappelle la sentence d’un ancien : il faut manger pour
vivre
, & non pas vivre pour manger. Maître Jacques
le la sentence d’un ancien : il faut manger pour vivre, & non pas
vivre
pour manger. Maître Jacques rapporte à son maître
dans cette tranquillité apparente. Je pris dès lors la résolution de
vivre
avec elle comme un honnête homme qui a une femme
édule. Mes bontés ne l’ont point changée. Je me suis donc déterminé à
vivre
avec elle comme si elle n’était point ma femme ;
te est grand, il surpasse ses contemporains de toute la tête, et s’il
vivait
parmi nous, il serait bien haut encore; cependant
is Lucile se sent encore de la mauvaise compagnie où le théâtre avait
vécu
jusqu’à elle. Lucile donne un soufflet à un valet
e n’est pas femme à se vêtir de serge, comme le veut Sganarelle, et à
vivre
dans la compagnie des dindons d’une basse-cour ;
l’esprit. Fouquet, le surintendant, grâce à ses généreux défenseurs,
vivra
toujours ; la poésie, qu’il sut enrichir et flatt
ompue vénale, et tout infatuée d’elle-même on n’y a pas la liberté de
vivre
en homme d’honneur ? » Si l’auteur eût tenu ce la
ient de s’écouler. Figurez-vous, eu effet, qu’Alceste et Philinte ont
vécu
âge de patriarches, et voyez s’ils ont conservé q
tre le bout de son nez. Sotie condition que celle d’un esclave, de ne
vivre
jamais pour soi, et d’être toujours tout entier a
re le bout de son nez ! Sotte condition que celle d’un esclave, De ne
vivre
jamais pour soi, Et d’être toujours tout entier A
daignait pas de faire asseoir le poète à sa table, afin d’apprendre à
vivre
à ses officiers, ne crut pas déroger non plus en
isans ! Ce serait une grande absurdité, surtout dans le temps où nous
vivons
, de prendre à la lettre les plaisanteries de Moli
appant du pouvoir moral de la capacité, lui qui, fils d’un tapissier,
vivait
dans l’intimité du monarque le plus orgueilleux e
en bas ; tantôt sous la forme grossière de M. Harpin, il apprenait à
vivre
aux comtesses infatuées de leur rang. Le fils du
s plument les gens de robe et de finance, pendant que les gens d’épée
vivent
aux dépens des bourgeoises. Ouvrez la pièce du Ch
un ridicule à cette honorable compagnie. Vieilles ou jeunes, elles ne
vivent
que d’intrigues, et, dans la Parisienne, une peti
e celui du poète des satires de Régner. La plupart des auteurs qui ne
vivaient
pas dans la familiarité de la cour étaient pauvre
apivardière qui, s’étant mystérieusement éloigne de sa femme, afin de
vivre
avec une autre, apprit que la première était soup
ait sur elles l’espérance de sa réputation à venir : cependant il n’a
vécu
que pour les pièces qu’il regardait comme des bag
e sont reflétées fidèlement les mœurs du temps dans lequel l’auteur a
vécu
; et le bas de la figure, empreint d’une certaine
isi, de le situer dans son temps et dans le monde particulier où il a
vécu
; de reconnaître son tempérament et son caractère
e les idées générales et d’atteindre l’ intimité même de l’auteur, de
vivre
, autant qu’il est loisible, avec lui. Je voudrais
e je n’espère pas, mais que je souhaite. E. F. Le temps N’ayant
vécu
(à l’âge d’homme) à Paris que de 1658 à 1678, Mol
intelligent. Celte époque est essentiellement différente de celle où
vécut
La Bruyère, de l’époque de la vieillesse de Louis
ce temps, l’un des très rares où la France a été vraiment heureuse de
vivre
et qu’elle a désiré qui durassent indéfiniment-.
à-dire donnant l’impression, non d’une chose écrite, mais d’une chose
vécue
et qui commence à être vécue du moment même où la
non d’une chose écrite, mais d’une chose vécue et qui commence à être
vécue
du moment même où la toile se lève, sans prémédit
sort. » — Fort bien… — Oui, j’aime mieux, n’en déplaise à la gloire,
Vivre
au monde deux jours, que mille ans dans l’histoir
le à Molière, un homme à différents âges de sa vie, mais ceux qui ont
vécu
un peu longtemps savent que ce n’est pas loin d’ê
Son idéal, c’est lui. Quoi qu’il dise ou qu’il fasse, II se regarde
vivre
et s’écoule parler. Car il faut que demain on di
re le bout de son nez. Sotte condition que celle d’un esclave ! De ne
vivre
jamais pour soi… Voilà encore sur quoi nous auro
messes de ces connaissances sublimes. Transformer tout en or, faire
vivre
éternellement, guérir par des paroles, se faire a
dresse Myrtil me puisse chérir, Avec toi, je le confesse, Je voudrais
vivre
et mourir. Cela est dans les intermèdes ; comme
comme il est naturel, d’être berné, exploité, dupé par tous ceux qui
vivent
de la vanité des autres. Tout le monde a remarqué
rels et je serais curieux qu’on démêlât lequel l’est le plus. Vouloir
vivre
de bonne soupe, comme Chrysale, est très naturel
pas Molière. Ce n’est pas bête ; il a raison. Il sent que si Molière
vivait
il se moquerait de lui. » Rousseau est absolument
il se moquerait de lui. » Rousseau est absolument sûr que si Molière
vivait
en 1770 il se moquerait de Rousseau et il est trè
he (presque toujours inspiré de Corneille). Nietzsche dit : « Il faut
vivre
dangereusement ». Corneille dit par toutes ses pi
ou par la plupart ou par les plus belles : « Il n’y a de beau que de
vivre
dangereusement et il n’y a de beau que d’agir con
u que d’agir contrai-renient à ses intérêts. »Molière dit : « Il faut
vivre
prudemment et conformément à ses intérêts bien en
avis, auprès de cette tache ; Et, de quelque façon qu’on puisse avoir
vécu
, On est homme d’honneur quand, on n’est point coc
es privations que vous lui aurez imposées et par le sombre chagrin de
vivre
avec vous ; votre fille vous méprisera, pareillem
tion. Il faudrait un peu adoucir ces brusques chagrins si vous voulez
vivre
un peu avec les hommes ce qui est forcé, car il n
Et l’on ne voit pas qu’il les eût aperçus bien davantage s’il avait
vécu
; car on a un programme de ce qu’il se proposait
ce bouffon célèbre en vont être bannies ; Et nous4, bientôt réduits à
vivre
en Tabarins, Allons redevenir l’opprobre des huma
de conscience et pour ne croire pas qu’avec vous davantage je puisse
vivre
sans péché. Il m’est venu des scrupules, Madame,
pas être autrement, où l’on s’y résigne et où l’on a pris le parti de
vivre
honnêtement avec les hommes sans les corriger ni
t jamais dit, avec La Rochefoucauld, que les hommes ne pourraient pas
vivre
un jour ensemble s’ils n’étaient pas dupes les un
C’est un homme qui croit que l’on peut, en ce monde (et en France !),
vivre
de sa propre vie et selon son propre goût et qui,
e goût et qui, de plus, ne laisse pas de vouloir obliger les autres à
vivre
comme lui et à avoir le même caractère que lui. L
il a pensé à exploiter la terreur de l’enfer ? « Tant que les hommes
vivront
et aimeront à vivre, le médecin sera raillé, mais
r la terreur de l’enfer ? « Tant que les hommes vivront et aimeront à
vivre
, le médecin sera raillé, mais payé » ; tant que l
nt à vivre, le médecin sera raillé, mais payé » ; tant que les hommes
vivront
et aimeront à vivre, ils croiront à l’immortalité
sera raillé, mais payé » ; tant que les hommes vivront et aimeront à
vivre
, ils croiront à l’immortalité de l’âme, et l’expl
pas depuis 1550. Orgon doit être du même genre à cet égard. Il a donc
vécu
ainsi depuis son enfance, pieux, marié jeune par
e, comme tous les avares, ne se croit pas avare et ne renonce pas à «
vivre
noblement », mais aux moindres frais possibles. I
rclés de ceintures de laine, qui craignent tous les courants d’air et
vivent
calfeutrés comme des prisonniers, qui, pour évite
redouter à la fois et pour être chatouillé d’en être atteint et pour
vivre
dans la délicieuse terreur de les avoir. Argan et
reste, nous a peint si souvent en peignant ses jeunes filles. Elle a
vécu
isolée dans cette maison d’Orgon, ayant perdu sa
isant que cet homme de mauvaises mœurs, ce rouleur, ce cabotin, qui a
vécu
entouré des femmes que vous savez, ait eu l’espri
evée dans une grande épargne de bouche ; c’est une fille accoutumée à
vivre
de salade, de lait, de fromage et de pommes, et à
us les jours et où il y a trois jeunes femmes et cinq jeunes gens qui
vivent
en commerce continu ; dans Tartuffe, trois généra
tre le bout de son nez. Sotte condition que celle d’un esclave, De ne
vivre
jamais pour soi. […] Et parce qu’il est amoureux
homme dans sa sphère véritable, s’il est habitué, depuis longtemps, à
vivre
ainsi au milieu des élégants mensonges de la cour
que, c’est-à-dire de paraître mal élevé, ou de paraître trop facile à
vivre
, c’est-à-dire de rien retrancher de la rudesse et
lle Mars a enseigné à parler et à se taire, à s’habiller, à saluer, à
vivre
, enfin ; que disons-nous, les moindres choses de
re qui n’est pas douteuse ? C’est que chez les Romains, les femmes ne
vivaient
pas en société avec les hommes ; que les dames ro
s ne vivaient pas en société avec les hommes ; que les dames romaines
vivaient
retirées ; que recevoir des hommes chez soi, c’ét
n grand homme souvent N’expia que trop cher le tort d’être vivant. Tu
vécus
sérieux, toi qui nous fais tant rire. Austère phi
tu subis l’essai, Le temps vieillit le faux et rajeunit le vrai ; Tu
vivras
donc toujours, et ton riche domaine N’est pas moi
s de Henri IV, qui n’ont cessé de troubler la France, tant qu’ils ont
vécu
, ne faisaient que suivre la vocation naturelle de
ne ; le roi avait recommencé la guerre contre la France. Mademoiselle
vécut
dans ses terres, n’ayant pas la permission de ren
: « Il y a cinquante pauvres diables qui n’ont que leur journée pour
vivre
, dit Molière ; si je ne joue pas, qui leur donner
lui qui allait devenir Molière. Nous avons, du reste, sur la façon de
vivre
du grand comique à cette époque, un témoignage in
s. Le famélique Dassoucy conte gaiement dans ses Aventures comment il
vécut
, bien nourri, gros et gras, avec les Béjart et Mo
italiens si fort applaudis alors à Paris. « Molière, écrit Palaprat,
vivait
dans une étroite familiarité avec les Italiens, p
n le père était ruiné. Sa maison des Petits-Piliers était vendue ; il
vivait
, retiré chez son gendre. Pauvre, il avait peine à
éjart, c’est l’amour du misanthrope pour Célimène. « Je suis décidé à
vivre
avec elle comme si elle n’existait pas, disait, e
sans y croire même, tant il était bon) l’homme un méchant animal ! Il
vécut
avec une meute à ses trousses. Au lendemain des r
t que ce nous soit une gloire d’être sorti d’un sang noble quand nous
vivons
en infâmes ? Non, non, la naissance n’est rien où
ce bouffon célèbre en vont être bannies ; Et nous, bientôt réduits à
vivre
en Tabarins, Allons redevenir l’opprobre des huma
lissent à travers la vie comme une barque sur un lac, et, après avoir
vécu
méconnus, ils meurent oubliés, demandant la grand
ON FUNEBRE DE MOLIÈRE. « Ma femme est morte, je la pleure ; si elle
vivait
, nous nous querellerions (acte premier de L’Amour
sujet que nous traitons : Ma femme est morte, je la pleure ; si elle
vivait
, nous nous querellerions. Molière est mort, plusi
nous querellerions. Molière est mort, plusieurs le pleurent, et, s’il
vivait
, ils lui porteraient envie. Il est mort, ce Grand
sement. Il faut quelquefois reprendre haleine, c’est ce qui nous fait
vivre
. » Cléante s’occupe alors de Molière auteur, pu
Peintres, et trop tôt enfin pour toute la Terre. Il est mort, et nous
vivons
; cependant il vivra après nous ; il vivra toujou
enfin pour toute la Terre. Il est mort, et nous vivons ; cependant il
vivra
après nous ; il vivra toujours et nous mourrons ;
rre. Il est mort, et nous vivons ; cependant il vivra après nous ; il
vivra
toujours et nous mourrons ; c’est le destin des g
raiment des femmes, vivantes, aimantes, mères, sœurs et filles. Elles
vivent
non de la vie du rêve, mais de la vie de l’humani
stis, Mme de Sotenville, Mme Pernelle, Mme Jourdain, d’autres encore.
Vécut
jusqu’en 1700. Baron (Michel Bayron, dit). — On
m. Raymond, enlever par M. Claude Rachet de Montalant qui l’épousa et
vécut
avec elle à Argenteuil, où elle mourut le 23 mai
: il se détache de ce moi tyrannique, si difficile à soumettre, pour
vivre
de la vie d’autrui et pour la reproduire. L’étern
t d’intrigues à suivre ; On les voit pour tous soins se mêler de bien
vivre
. Jamais contre un pécheur ils n’ont d’acharnement
voir ce qu’il convient d’accorder aux défauts des hommes si l’on veut
vivre
avec eux, et si Philinte, pour plus de sûreté, po
urgeoise, il n’épargne pas les ridicules de la bourgeoisie, obligé de
vivre
avec les grands, il ne ménage pas davantage les v
ugalité ; & que, suivant le dire d’un Ancien, il faut manger pour
vivre
, & non pas vivre pour manger : tout cela cess
suivant le dire d’un Ancien, il faut manger pour vivre, & non pas
vivre
pour manger : tout cela cesse d’être comique, si
ts. (A Scapin.) Son cœur prend feu dès ce moment ; il ne sauroit plus
vivre
qu’il n’aille consoler son aimable affligée. Ses
bonne intention, n’auroit il pas été attrapé plus d’une fois s’il eût
vécu
de nos jours ? Les comédies qui réunissent le com
er son bien ; & avec Lucile sa maîtresse, demoiselle très aisée à
vivre
, qui a une grosse maison, des habits magnifiques,
lier Ménechme, un agréable du siecle, compte pour rien l’ignominie de
vivre
aux dépens d’une femme. Il promet à la vieille Ar
eurer, puisque je n’ai pas tort81 ? Mille personnes se ruinent &
vivent
malheureuses toute leur vie, par la maudite manie
eilleux. Il dit à chacun que, pour couler des jours fortunés, il faut
vivre
paisiblement avec ses égaux. La même foiblesse, p
éréglée : il y démasque les prudes, qui, se souciant fort peu de bien
vivre
, ne mettent toute leur étude qu’à cacher leurs dé
n de plaire à la multitude, sans laquelle une pareille Troupe ne peut
vivre
: il était même souvent obligé d’amuser la Cour,
Thibaudier « Ce n’est pas ce Martial-là, Madame ; c’est un Auteur qui
vivait
il y a trente ou quarante ans »30. Ce Martial, qu
Que n’ai-je un licol pour me pendre ? Car j’aime mieux mourir que de
vivre
ainsi. Hélas ! Elle est toute vide, vrai Dieu ! Q
que je suis : que ce jour m’a été malencontreux ! A quoi veux-je plus
vivre
, puisque j’ai perdu mes écus que j’avais si soign
Diffère de Trissotin ? Cotin* a fini ses jours, Trissotin
vivra
toujours. À l’égard de Vadius, le Public a été p
ieillard de soixante et quinze ans, qui n’a plus que quelques jours à
vivre
». Le compliment de cet Acteur qui avait profité
en lettres d’or cette Sentence qui le charme : « Il faut manger pour
vivre
, et non pas vivre pour manger »130. Un moment apr
ette Sentence qui le charme : « Il faut manger pour vivre, et non pas
vivre
pour manger »130. Un moment après, il songe qu’il
e Paris, où il avait une Maison. Ses amis l’y allaient voir ; et il y
vécut
en fort honnête homme, se faisant estimer de tout
n de plaire à la multitude, sans laquelle une pareille Troupe ne peut
vivre
: il était même souvent obligé d’amuser la Cour,
uvrait la tombe. Tome III, p. 467 Somaise*, (Antoine Bodeau de)
vivait
du temps de Molière, dont il se déclara l’ennemi
nité des superstitions de la magie ». La Lena (carnaval de 1528) fait
vivre
le monde authentique des faubourgs de Ferrare, où
ses côtés à Philippes (-42). Après la défaite, il revint à Rome où il
vécut
obscurément, composant des vers lyriques (épodes)
dien, vaillant, honnête homme, entendu... fort amoureux. Cependant il
vivait
avec la Létoile dans le plus grand respect du mon
tendres, les plus sensées, sur la conduite qu’elle devait tenir pour
vivre
heureux ensemble : elle ne l’écouta point. Assuré
n enfant, d’être moins coquette, moins étourdie, moins dépensière, de
vivre
moins en dame de la cour, de se renfermer un peu
ns laquelle il l’accusait d’avoir épousé sa propre fille, après avoir
vécu
en concubinage, autrefois, avec la mère, qui étai
déclarée un attentat contre la souveraineté de Dieu; et, si on laisse
vivre
l’auteur, si le roi ne protège pas le ciel contre
y, il sauva Orgon de la même manière des manœuvres de Tartuffe. Nous
vivons
sous un prince ennemi de la fraude. Il fit du to
ec tant de soins une compagne suivant son cœur, il se voyait réduit à
vivre
seul, sans repos, sans consolations domestiques,
toujours si durement traité par les gens au milieu desquels il avait
vécu
jusqu’alors. Mais Molière était touché de voir un
nt vingt mille francs de rente de notre temps. Cela lui permettait de
vivre
grandement et d’avoir, à Auteuil, une maison fort
f à la campagne, lui avoua que ce chagrin lui venait d’être obligé de
vivre
éloigné de sa femme et de ne pouvoir s’en faire a
augnac que le Misanthrope, on se trompe. » XVI. À mesure qu’il
vivait
plus éloigné de sa femme, il devenait plus tendre
it besoin de le voir et de lui parler encore. Molière ne pouvait plus
vivre
sans le théâtre ; il voulut y donner jusqu’à son
il, il y a cinquante pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
vivre
; que feront-ils si l’on ne joue pas ? Je me repro
ir quelle était la situation, l’état d’esprit des écrivains qui y ont
vécu
, et, puisque je dois vous parler de l’un des plus
eur accorde une pension qui leur est presque toujours nécessaire pour
vivre
philosophiquement. En voyant toutes les flatterie
es, qui la portera jusque sur la scène, mais aussi dont le théâtre ne
vivra
pas, dont le théâtre est mort. Je sais, mesdames
, et, en effet, quelle délicatesse pouvait-on attendre d’un homme qui
vivait
dans ce milieu de théâtre où les mœurs sont si ma
ut-on espérer de connaître Molière, si l’on n’étudie le temps où il a
vécu
, les livres où il a puisé, sa société, sa vie, se
éressant sur la vie et les ouvrages de Molière dans le siècle où il a
vécu
22. Un pareil ouvrage, pour être complet, devai
e ne fut pas sans se faire une grande violence que Molière résolut de
vivre
avec elle dans cette indifférence.Il y rêvait un
rvait plus depuis son infidélité. Je pris, dès lors, la résolution de
vivre
avec elle comme un honnête homme qui a une femme
endant mes bontés ne l’ont point changée. Je me suis donc déterminé à
vivre
avec elle comme si elle n’était pas ma femme ; ma
e vieillard de soixante-quinze ans, qui n’a plus que quelques jours à
vivre
. » Le compliment de ce jeune comédien, qui avait
our sa troupe et pour les plaisirs du roi, il aurait tout quitté pour
vivre
dans une mollesse philosophique, dont son domesti
tion, qu’il était devenu très valétudinaire ; et il était réduit à ne
vivre
que de lait. Une toux, qu’il avait négligée, lui
vous êtes bien plaisant. Il vous est aisé de vous faire ce système de
vivre
; vous êtes isolé de tout, et vous pouvez penser
quarante ou cinquante personnes qui n’entendent point raison, à faire
vivre
et à conduire, un théâtre à soutenir, et des ouvr
à souffrir la rusticité de la plupart des gens avec qui nous avons à
vivre
, et à captiver les bonnes grâces d’un public qui
rtées119. J’ai assez fait connaître que Molière n’avait pas toujours
vécu
en intelligence avec sa femme ; il n’est pas même
s de leurs sentiments, et éloigné de la vérité sur cet article-là. Il
vivait
en vrai philosophe, et, toujours occupé de plaire
il se mettait peu en peine des humeurs de sa femme120, qu’il laissait
vivre
à sa fantaisie, quoiqu’il conservât toujours pour
amis essayèrent de les raccommoder, ou, pour mieux dire, de les faire
vivre
avec plus de concert. Ils y réussirent ; et Moliè
l ; il y a cinquante pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
vivre
; que feront-ils si l’on ne joue pas ? Je me repr
de Paris, où il avait une maison. Ses amis l’y allaient voir, et il y
vécut
en fort honnête homme, se faisant estimer de tout
congé et une pension de mille livres. Retirée dans son ménage, elle y
vécut
avec une conduite exemplaire, et mourut le 3 nove
Au reste, mademoiselle Beauval était d’un caractère assez difficile à
vivre
avec ses camarades, aussi bien que dans son domes
stoles de reste du débris de mon naufrage, comme un joueur ne saurait
vivre
sans cartes, non plus qu’un matelot sans tabac, l
et l’a donnée au roi : il l’accuse d’avoir épousé la fille et d’avoir
vécu
autrefois avec la mère ; mais Montfleury n’est po
e, dit-il, ce grand comédien, et mille fois encore plus grand auteur,
vivait
d’une étroite familiarité avec les Italiens, parc
ux comédien de l’antiquité, lui aurait cédé le premier rang, s’il eut
vécu
de son temps. C’est avec justice qu’il le méritai
ssé une actrice (mademoiselle Poisson, fille de du Croisy), qui avait
vécu
longtemps auprès de lui. « Il n’était ni trop gra
euf ans, et la reine dix-huit ; leur jeunesse ne les empêchait pas de
vivre
ensemble très froidement. Le roi eut successiveme
étaient dans la maison du roi comme dans l’État, et que la manière de
vivre
adoptée à l’hôtel de Rambouillet s’embellit et s’
beaucoup de confiance, et monseigneur une déférence totale tant qu’il
vécut
, et qui bien que peu affligé de sa mort, a conser
, qui n’est pas sans mérite : « La propreté de M. de Montausier, qui
vivait
avec une grande splendeur, était redoutable à sa
alors de faire un second voyage à Barèges avec le duc du Maine. Elle
vivait
fort mal avec madame de Montespan, qui, par les l
adame de Ludres finit par se retirer dans un couvent à Nancy, où elle
vécut
jusqu’à un âge fort avancé. Après madame de Ludre
à souffrir la rusticité de la plupart des gens avec qui nous avons à
vivre
, et à captiver les bonnes grâces d’un public qui
servait plus depuis son infidélité. Je pris dès lors la résolution de
vivre
avec elle comme un honnête homme qui a une femme
édule. Mes bontés ne l’ont point changée. Je me suis donc déterminé à
vivre
avec elle comme si elle n’était point ma femme ;
and il écrivit le Tartuffe. Il n’avait plus qu’une dizaine d’années à
vivre
et à travailler; mais il était dans toute la forc
, Boileau et Molière, lorsqu’ils avaient quitté Versailles, pouvaient
vivre
entre eux, et, délivrés de l’écrasante nécessité
sentiment que Louis XIV personnifia et qui fit son prestige : en lui
vivait
le génie d’une nation. Aussi les représentants le
t aussi le rapprocher de Narcisse ; et Narcisse et lui, s’ils eussent
vécu
dans d’autres circonstances, n’eussent été que de
le; J’entre en une humeur noire, en un chagrin profond, Quand je vois
vivre
entre eux les hommes comme ils font. Je ne trouve
de fuir tous les humains, Et que dans mon désert où j’ai fait vœu de
vivre
, Vous soyez, sans tarder, résolue à me suivre. C’
le premier mot. Ce n’est pas à un poisson qu’il faut demander comment
vivent
les oiseaux, ni chez les oiseaux qu’il faut aller
ir recours à ses nombreux amis, il n’en trouve pas un, parmi ceux qui
vivaient
de son opulence, pour lui tendre la main dans sa
de sa prospérité. Il lui fallait, comme à don Juan, de l’espace pour
vivre
en grand. Timon n’est pas généreux; il n’est que
mes de La Rochefoucauld, et qui ignorait jusqu’au nom d’Ossian ; il a
vécu
dans le monde plus que dans la solitude; il est d
avec horreur. Hamlet et Alceste ne sont faits ni l’un ni l’autre pour
vivre
ici-bas : ils sont tous deux frappés d’impuissanc
ue dans la mort. Alceste a au moins un refuge en lui-même : il pourra
vivre
dans son désert. Les pensées du premier sont trop
chasse, du commerce : tout cela ne m’appartient plus. Mais si tu veux
vivre
avec moi dans mon ciel, il te sera ouvert toutes
vignes du monastère que du salut de leurs vignerons, et des rois qui
vivent
moins pour le bonheur de leurs peuples que pour c
ie de son héros (je dis la joie, car Argant est un de ces malades qui
vivent
de leurs maux, et qui mourraient s’ils avaient le
joué en France. Ce ne sont pas les déclarations de principes qui font
vivre
les institutions politiques; ce sont les mœurs, l
celle où nous transporte l’avocat Patelin, et où l’auteur s’est plu à
vivre
en imagination. Rien, ni dans les détails ni dans
nu à ce type unique. Il a vu par delà. Dans le monde poétique où il a
vécu
par la pensée, il est des héros de haute taille,
olière : cette œuvre immense, vaste satire, variée comme le siècle où
vécut
le poète, semblait n’être destinée qu’à railler l
non plus seulement l’extérieur immobile de Molière, mais sa façon de
vivre
dans la société de son temps. De très bonne heure
igne bailli nous fait entrevoir un coin de la vieille France, où l’on
vivait
largement, avec bonne humeur, sans rigorisme, heu
ix, était aussi l’ami de Molière, et Voltaire va jusqu’à dire qu’il «
vécut
avec lui comme Lélius avec Térence. »Enfin, le po
t avec une admiration envieuse les splendeurs au milieu desquelles il
vivait
: Ces meubles précieux sous de si beaux lambris,
x domestiques et la familiarité, pleine de bonhomie, dans laquelle il
vivait
avec eux. Remarquons, cependant, qu’il y eut chez
l’ordre régna chez lui. Cependant, même sous cette administration, il
vivait
au jour le jour, sans trop songer au lendemain. L
onté admirable, donna rapidement à sa troupe la force nécessaire pour
vivre
, durer, s’imposer à la tutelle royale et devenir
n ; il y a cinquante pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
vivre
. Je me reprocherois d’avoir négligé de leur donne
[84, p. 128-129] Joly était un prédicateur fameux, qui
vivait
du temps de Molière. Les libertins, ou plutôt les
Italie une étymologie dont il était dispensé par le milieu même où il
vivait
et écrivait. Et, qui plus est ! même en adoptant
eul a-t-il associé ainsi par la mort cet inconnu à de personnages qui
vécurent
dans l’intimité de Molière, et le défunt n’avait-
épite, de deux ou trois étages, qui a été habitée par Molière. Il y a
vécu
, il y a pensé, il y est mort. Cette maison vaut 4
on du respect des habitans de la Brède, s’ils abattaient la maison où
vécut
l’auteur de L’Esprit des Lois ? Que diraient les
œur, vous êtes riche, Il faut vous reposer vous et vos chers enfants,
Vivre
avec quelques morts, vous moquer des vivants, Et
s ma cure est achevée. Depuis assez longtemps de drames abreuvée, Je
vivais
de mes pleurs ; rien n’est moins étonnant, J’avai
es : grâce à Molière, ils savent aujourd’hui, aussi bien que ceux qui
vivaient
il y a deux cents ans, ce qu’on entend par précio
us les jours ne fait que croître et embellir296 : » elle ne peut plus
vivre
sans avoir des soupirants ; il lui faut un M. Tib
l’esprit des jeunes gens ; Et l’école du monde, en l’air dont il faut
vivre
, Instruit mieux, à mon gré, que ne fait aucun liv
attribuer à Mlle Poisson, qui avait alors quatre-vingt-trois ans, et
vivait
retirée à Saint-Germain-en-Laye, ne s’étant jamai
e rente, dont il joüit jusqu’à sa mort, arrivée vers l’an...68, ayant
vécu
fort vieux. Il jouoit les grands rôles avant Flor
e en 1674125 et seroit arrivé à un haut degré de perfection, s’il eût
vécu
plus longtemps. C’étoit un très bon joueur de pau
René, et joua d’original Loyal dans le Tartuffe. Il étoit difficile à
vivre
et grand bretteur ; Moliere ne l’aimoit point : c
Lauzane, au canton de Berne, avec sa famille, où il a toujours depuis
vécu
noblement ; que Georges de Soulas, son second fil
de Hanovre ; je l’ai trouvé aussi à Rouen, à Metz et à Strasbourg. Il
vivait
encore en 1700. 174. 1669, en vers de huit pieds
e date à Orléans, avec les Champmeslé. Sa femme, Élisabeth De Surlis,
vivait
encore à Dresde en 1724
n quoi Cotin Diffère de Trissotin ? Cotin a fini ses jours, Trissotin
vivra
toujours. 176. Elle figure à la vingt-troisièm
Trivelin était mort en 1671. Aurelia quitta le théâtre en 1683 : elle
vécut
jusqu’à l’âge de quatre-vingt-dix ans et mourut e
l fut le maître de Molière, Et la nature fut le sien. Né en 1608, il
vécut
encore trois années après avoir quitté la scène.
déduction des contraintes réelles et gênantes qu’on s’épargne en n’y
vivait
point : « On n’a point à louer les vers de messi
e vieillard de soixante-quinze ans, qui n’a plus que quelques jours à
vivre
. Les paroles de ce jeune comédien, qui avait prof
it et par son amitié pour Despréaux*, allait souvent chez Molière, et
vivait
avec lui comme Lélius222 avec Térence*. Le grand
e Vieillard de soixante-quinze ans, qui n’a plus que quelques jours à
vivre
. Le compliment de ce jeune Comédien, qui avait p
ble qu’il avait pour les plaisirs du Roi, il aurait tout quitté, pour
vivre
dans une mollesse Philosophique, dont son domesti
ation, qu’il était devenu très valétudinaire, et il était réduit à ne
vivre
que de lait. Une toux qu’il avait négligée, lui a
vous êtes bien plaisant. Il vous est aisé de vous faire ce système de
vivre
; vous êtes isolé de tout ; et vous pouvez penser
uarante ou cinquante personnes, qui n’entendent point raison, à faire
vivre
, et à conduire ; un théâtre à soutenir ; et des o
à souffrir la rusticité de la plupart des gens avec qui nous avons à
vivre
, et à captiver les bonnes grâces d’un public, qui
apportées. J’ai assez fait connaître que Molière n’avait pas toujours
vécu
en intelligence avec sa femme ; il n’est pas même
s de leurs sentiments, et éloigné de la vérité sur cet article-là. Il
vivait
en vrai Philosophe ; et toujours occupé de plaire
, il se mettait peu en peine des humeurs de sa femme ; qu’il laissait
vivre
à sa fantaisie ; quoiqu’il conservât toujours pou
amis essayèrent de les raccommoder, ou pour mieux dire, de les faire
vivre
avec plus de concert. Ils y réussirent ; et Moliè
l, il y a cinquante pauvres Ouvriers, qui n’ont que leur journée pour
vivre
; que feront-ils, si l’on ne joue pas ? Je me rep
tre le bout de son nez. Sotte condition que celle d’un esclave, de ne
vivre
jamais pour soi, & d’être toujours tout entie
re le bout de son nez. Sotte condition que celle d’un esclave, De ne
vivre
jamais pour soi, Et d’être toujours tout entier
ait rien exiger de lui au-delà de sa volonté ; qu’il désirait qu’elle
vécût
avec madame de Montespan comme par le passé, et q
volonté du grand Alcandre servit de loi à madame de La Vallière. Elle
vécut
avec madame de Montespan dans une concorde qu’on
ureux. » Il ne faut pas confondre ce Poète avec un autre Molière, qui
vivait
en 1620 et qui a composé diverses Pièces de Théât
omme, ouvrage distingué. M. Bazin n’était ni vrai ni faux dévot. Il a
vécu
sans culte, il est mort en dehors de toute forme
vée, surtout depuis quelques années, dans le ménage presque commun où
vivaient
Molière, Madeleine Béjart, d’autres encore de la
à rougir. Le père Béjart était mort, on ne sait quand ni où. La mère
vivait
et pouvait avoir soixante ans. Elle ôtait de natu
arité et à la morale publique ; la plupart des œuvres de bienfaisance
vivent
par elle ; l’enseignement du mal n’a pas de contr
t la bénédiction de son père, entra dans la Compagnie de Jésus pour y
vivre
et pour y mourir sous la triple loi de la pauvret
des lieux communs de morale dévote comme ceux-ci : Efforçons-nous de
vivre
avec toute innocence, Et laissons aux censeurs un
es a blessés ; ils sont trop politiques pour cela et savent trop bien
vivre
pour découvrir le fond de leur âme. Suivant leur
ils corrigent les nôtres. On les voit pour tout soin se mêler de bien
vivre
. Molière lui-même parle ici, nous disent tous le
sa voix ; il se mêlait sans doute d’un peu d’autre chose que de bien
vivre
. Quelle comédie on ferait de son personnage ! Que
si le scélérat avait l’habileté de son rôle, ou si par aventure on ne
vivait
point « sous un prince ennemi de la fraude ». Cel
plus ferme et plus pratique, ce que dit Cléante : Efforçons-nous de
vivre
avec toute innocence. ..., Faisons toujours ce qu
ais enfin ces vrais dévots, que font-ils ? quelle est leur manière de
vivre
? Ah ! ce qu’ils font ? Premièrement, ils ne gêne
. de Molière joue les dévots, les médecins et les maris ! Comment ils
vivent
? Ils vivent cachés, ils se dérobent, ou ils ferm
joue les dévots, les médecins et les maris ! Comment ils vivent ? Ils
vivent
cachés, ils se dérobent, ou ils ferment les yeux
d’intrigues à suivre ; On les voit, pour tout soin, se mêler de bien
vivre
. Jamais contre un pécheur ils n’ont d’acharnement
é. A ces prudents et à ces sages qui se mêlent pour tout soin de bien
vivre
, c’est-à-dire qui veillent à ne point payer de le
au contraire, une invincible pente à se jeter dans la farce. Il faut
vivre
et céder au goût populaire qui a plus d’attrait p
manifestement les effets annoncés, il conduit si bien les Arsinoés à
vivre
avec la belle franchise des Célimènes, et il ense
que j’avais à dire : Liberavi animam meam. Ceux qui sauront que j’ai
vécu
, sauront que je n’ai pas fait partie du parterre
our manger, il faut avoir une bouche ; pour avoir une bouche, il faut
vivre
; pour vivre, il faut naître ; pour naître il fau
l faut avoir une bouche ; pour avoir une bouche, il faut vivre ; pour
vivre
, il faut naître ; pour naître il faut sortir du s
ienne Bejard, qu’il accusa Molière d’avoir épousé la fille et d’avoir
vécu
autrefois avec la mère25, parce que Molière avait
avoir vécu autrefois avec la mère25, parce que Molière avait en effet
vécu
intimement avec cette comédienne. On alla même ju
légitime, la mère de l’héritier de la couronne, sera-t-elle obligée à
vivre
avec la femme coupable qu’un double adultère met
ontespan, par sa naissance et par sa charge, doit y être. Elle peut y
vivre
aussi chrétiennement qu’ailleurs. M. l’évêque de
t il ne peut provenir Que des enfants pesants, & qui ne sauroient
vivre
. Vois, si mon cœur n’eût su de froideur se munir,
, C’est un étrange cas. Faut-il que la jeunesse Apprenne maintenant à
vivre
à la vieillesse, Et qu’on trouve des gens avec de
r pompeuse tête Résiste, en se touchant, aux coups de la tempête. Ils
vivent
l’un pour l’autre, ils triomphent du temps, Tandi
les aberrations les plus funestes ; mais ils existent quand même, et
vivent
immortels au milieu des erreurs et des misères, m
ils trouveront ce qui manque à leur solitude : la joie d’être deux à
vivre
, à souffrir434. Regardez Henriette et Clitandre 4
té de l’âme, Qui, jouissant an ciel de solides plaisirs, Laisse
vivre
le corps an gré de ses désirs. Ramenez donc au
pour tenir maison chez elles ? avec Armande Béjart, les Célimènes qui
vivront
jusqu’à la fin des siècles ? Et ainsi de tous les
stoles de reste du débris de mon naufrage, comme un joueur ne saurait
vivre
sans cartes, non plus qu’un matelot sans ubac, la
; ce qui ne parait pas douteux, c’est qu’à l’époque de sa mort, elle
vivait
bien simplement, dans un intérieur qui ne rappell
de l’autre enfant de Madeleine, ce qui indique une mère bien facile à
vivre
, puisque Madeleine ne mettait au monde que des en
e sourire perpétuel qui le consola toujours ; on sent qu’elle n’avait
vécu
que pour Molière dès le premier jour de leur renc
auriers que Mignard ou Lebrun peignait sur ce front glorieux, elle ne
vivait
pas de cet idéal. Lauzun ou Richelieu lui paraiss
maux se passèrent, Son feu s’évanouit, ses déplaisirs cessèrent ; Il
vécut
sans la dame et vécut sans ennui. Comme la dame a
n feu s’évanouit, ses déplaisirs cessèrent ; Il vécut sans la dame et
vécut
sans ennui. Comme la dame ailleurs se divertit sa
ais si la dame ailleurs se divertit sans lui, Pierre Corneille ne put
vivre
sans elle ; aussi joua-t-il un tour de Normand à
toles de reste des débris de mon naufrage, comme un joueur ne saurait
vivre
sans cartes, non plus qu’un matelot sans tabac, l
é enterrer sans lui, ce qui n’est pas bien. Mais avait-il le temps de
vivre
celui qui n’eut pas le temps de mourir ? Pourquoi
se trouve citoyenne, qu’il l’épouse ; que Lachès permet à Phædria de
vivre
avec Thaïs. Il annonce cette nouvelle à Phædria l
ait l’accord entre les deux rivaux ; ce pere qui permet à son fils de
vivre
publiquement avec sa concubine. Je demande à mes
-nous pas chez les Cypris modernes Mars & Plutus, quoique rivaux,
vivre
en bonne intelligence par les soins de Mercure en
rs études spéciales : ils connaissent Molière mieux que personne, ils
vivent
avec lui dans un commerce familier, dans une inti
d’original, et pour bien des gens, c’est un cruel reproche. Pour bien
vivre
, c’est-à-dire pour vivre tranquillement, il faut
des gens, c’est un cruel reproche. Pour bien vivre, c’est-à-dire pour
vivre
tranquillement, il faut s’appliquer à copier tout
is, puis perdu une assez grande fortune, et qu’il ait été réduit pour
vivre
à tourner la meule aux gages d’un meunier. Les op
nces qu’ils représentent tous les jours sur le théâtre. » Après avoir
vécu
trois mois à Lyon, avec eux, parmi les jeux, la c
t l’a donnée au roi : il l’accuse d’avoir épousé la fille, et d’avoir
vécu
autrefois avec la mère ; mais Montfleury n’est po
itement avec la tradition publique qui remonte jusqu’au temps même où
vivait
Molière ; tandis que le système fondé sur les act
oisin, le musicien Descosteaux : Ne nous moquons pas du bonhomme ; il
vivra
peut-être plus que nous tous 78. Molière avait di
r où il en descendit pour n’y plus remonter : on peut donc dire qu’il
vécut
et mourut victime de l’intérêt tout paternel qu’i
ne vie dont elle aurait pu faire les délices ? Il consentit bien à ne
vivre
que de lait et à s’abstenir des sociétés que form
ont, dit-il, tant de pauvres ouvriers qui n’ont que leur journée pour
vivre
? Je me reprocherais d’avoir négligé de leur donn
fs-d’œuvre, et courir en foule aux bouffonneries de Scaramouche, n’en
vivait
pas moins en bonne intelligence avec les comédien
« Ce grand comédien, et mille fois encore plus grand auteur, dit-il,
vivait
d’une étroite familiarité avec les Italiens, parc
Martines ont en leur vogue depuis. J’oserais croire, si Molière avait
vécu
, qu’insensiblement il n’aurait pas fait grand fon
la place de ces mots, il l’accuse d’avoir épousé la fille et d’avoir
vécu
avec la mère, on lit ceux-ci, il l’accuse d’avoir
se mettant du nombre de ceux qui, suivant lui, pourraient bien ne pas
vivre
aussi longtemps que La Fontaine dans la postérité
s qu’il fit pour cracher, il se rompit nue veine dans le corps, et ne
vécut
pas demi-heure ou trois quarts d’heure depuis lad
ut pas sans se faire une fort grande violence, que Moliere resolut de
vivre
avec elle dans cette indifference ; & si la r
p; après quelques réflexions il ajoûte. b Je me suis donc determiné à
vivre
avec elle comme si elle n’étoit pas ma femme. Mai
êtes riche, à voir ? Toutabas. Vous êtes riche, à voir ?Le jeu fait
vivre
à l’aise Nombre d’honnêtes gens, fiacres, porteur
z ? Je puis avoir quelque secours encore : nous les ménagerons, &
vivrons
sagement. Stukely. Non, je chercherois encore à v
e pût bien passer de cette occupation et qu’il eût assez de bien pour
vivre
honorablement dans le monde. Il fit quelque temps
’il travaillait sous les gens de qualité, pour leur apprendre après à
vivre
à leurs dépens, et qu’il était en ce temps, et es
pour comprendre notre littérature, lui a voué une sorte de culte. Il
vivait
encore qu’elle traduisait plusieurs de ses pièces
a collectivité opposés aux prétentions de quelques « Fils de rois » à
vivre
sans contrainte leur vie aux dépens de leurs semb
lus belles choses Ont le pire destin ; Et rose, elle a
vécu
ce que vivent les roses, L’espace
hoses Ont le pire destin ; Et rose, elle a vécu ce que
vivent
les roses, L’espace d’un matin ?
du logis cessât de hanter son cerveau de poète ; il savait l’y faire
vivre
en paix avec la raison et la science. En dehors d
e Théâtre (30 juin 1643). Les preuves abondent que le comte de Modène
vécut
jusqu’aux dernières années de leur vie dans une é
’accusait pas précisément Molière d’avoir épousé la fille après avoir
vécu
avec la mère. La calomnie n’y perdra rien. Ce que
e et la touche légère de l’écrivain spirituel et sagace qui se plut à
vivre
en familiarité complète avec les profonds philoso
ard et Beaumarchais, et dont le nom, protégé par ces morts illustres,
vivra
longtemps dans la mémoire de ? lettrés. Auguste V
donnée au roi ; il l’accuse d’avoir épousé la fille et d’avoir aussi
vécu
avec la mère. » Que fit le roi ? On ne sait. Peut
ans ce reflet une revanche. Il est, d’ailleurs, certain que, tant que
vécut
Catherine Fleurette, le petit Poquelin, au moins
ens de me convaincre de mon erreur… Je pris dès lors la résolution de
vivre
avec elle comme un honnête homme qui a une femme
dule. Mes bontés ne l’ont point changée ; je me suis donc déterminé à
vivre
avec elle comme si elle n’était pas ma femme ; ma
mort plus pauvre qu’aucun poète, et sa veuve avait dû se faire, pour
vivre
, fabricante de verroterie ; ce n’est pas la noble
air et en os ; il ne fallait donc pas, pour les enfanter et les faire
vivre
ainsi, qu’il s’en fiât à son seul génie, aux seul
ses comédies. » III. M. Dimanche Comme tous les caractères qui
vivent
si bien et sont si complets dans les comédies de
ceux dont la cupidité fait rafle. Tout prestre, dit saint Paul, doit
vivre
de l’autel. Oui, vivre, c’est bien dit, c’est le
ait rafle. Tout prestre, dit saint Paul, doit vivre de l’autel. Oui,
vivre
, c’est bien dit, c’est le droit naturel ; Mais vi
de l’autel. Oui, vivre, c’est bien dit, c’est le droit naturel ; Mais
vivre
, est-ce voler tant de riches bigottes, Et plus qu
evoir et nier des dépôts ? Non, non, ce n’est pas là ce qu’on appelle
vivre
. Ces vers sont du père Sanlecque, dans sa satire
donnée au roi ; il l’accuse d’avoir épousé la fille et d’avoir aussi
vécu
avec la mère119. » Si Louis XIV connut cette requ
haine d Alceste, qui le dit hautement son ennemi, l’anime et le fait
vivre
; cet homme, qu’un seul vers peint tout entier da
bitude. Comme s’il n’eût été qu’un évêque in partibus, il continua de
vivre
et d’intriguer à Paris et à Versailles. Il ne par
ne le comprend pas : « Sotte condition que celle d’un esclave, de ne
vivre
jamais pour soi, et d’être toujours tout entier a
honnête mari. Pendant que tous ses pareils, sauf Turlupin toutefois,
vivaient
à la diable, « épars çà et là, n’ayant, ni feu ni
u’il avait achetée, à deux pas de la Porte Montmartre. Cette façon de
vivre
modeste et décente fait certes un bien singulier
arais, on ne l’eût plus connue à Paris, que de nom. En province, elle
vivait
encore, mais si mal ! Un garçon (Tallemant le dés
entations théâtrales, n’avait même pas d’autres ressources pour faire
vivre
son esprit et renouveler ses malices. Celui qui s
gue italienne, il tourna son esprit au vent du succès, car il fallait
vivre
malgré tout, et il avait avec lui une grosse Trou
ait vivre malgré tout, et il avait avec lui une grosse Troupe, qui ne
vivait
que de ce qu’il trouvait, qui n’avait pour gagne-
nnée au roi. Il l’accuse d’avoir épousé la fille et d’avoir autrefois
vécu
avec la mère. Mais, ajoute-t-il, Monfleury n’est
te condition, dit Hali, sotte condition que celle d’un esclave, de ne
vivre
jamais pour soi, et d’être toujours tout entier a
aies mêler, à les fondre dans l’ensemble d’un personnage, qui paraît
vivre
de sa vie propre, tandis que, par le détail, il v
ote, que nous allons nous faire un guide, pour voir comment naquit et
vécut
la pièce du Bourgeois gentilhomme. On savait qu’
Bornier, où l’Ombre de Molière joue le grand rôle, et qui méritent de
vivre
au delà du jour qui les a vues naître. On ne s’es
d’arbitre des plaisirs et du bon goût, dans le siècle galant où j’ai
vécu
. Comme j’avais besoin d’un musicien pour exécuter
est en elle, ou plutôt c’est elle-même, c’est sa vie, et elle en fait
vivre
le rôle dès qu’elle y entre ; être d’autre sorte
bouffon — on ne le prit, en effet, jamais pour autre chose tant qu’il
vécut
; — plus il amusa avec ce qui le torturait, plus
créé, et quel homme ! Il faudrait, en ces conditions de personnalités
vécues
et immortellement vivantes, il faudrait, pour jou
tte grande vérité, depuis longtemps acquise, que les types de Molière
vivent
toujours et que sa comédie pourrait recommencer,
Ce pauvre homme, dont la plume à calligraphier était le métier, n’en
vivait
, un le voit, que fort malaisément. Cinq mois aprè
rop là ou je n’aurais voulu que des palmes. L’homme qui doit toujours
vivre
ne se voit pas assez sous le malade qui meurt ; l
ert Poquelin était le chef qu’il s’agit certainement. Le vieux Robert
vécut
jusqu’en 1668, et fit assez de bruit, à cause du
ouffrir les grossièretés de la plupart des gens avec qui nous avons à
vivre
, et à captiver les bonnes grâces d’un public qui
es rôles le plus de l’homme qu’il peut, et c’est assez pour les faire
vivre
. On rit du rôle, et on reconnaît la vigoureuse et
rre auquel l’imagination de chaque auteur avait ajouté une pièce, ils
vivent
, car ils sont possibles. Si la race en est perdue
tour de certains fils de famille qui se sont ruinés galamment, et qui
vivent
sur le bien des autres, toujours courant derrière
ille, vicieux comme son maître et par la faute du maître, larron pour
vivre
, et toutefois attaché, non par dévouement, mais p
hésitait. On sait ses touchantes résistances. N’avait-il pas à faire
vivre
sa troupe ? Ne fallait-il pas trop de temps pour
complet, mais l’homme y était ; et il n’avait qu’à parler, et l’homme
vivait
, vivait et charmait. Merveille, je le répète, qu’
mais l’homme y était ; et il n’avait qu’à parler, et l’homme vivait,
vivait
et charmait. Merveille, je le répète, qu’il pouva
t jeune homme, est un Delaunay. Et Delaunay épouse Agnès, avec qui il
vivra
heureux et aura. beaucoup d’enfants. Molière l’a
grande école, le monde : Et l’école du monde, en l’air dont il faut
vivre
, Instruit mieux à mon sens que ne fait aucun livr
vre. Les livres pour apprendre à penser : le, monde pour apprendre à
vivre
. C’est l’éducation anglaise, me dira-t-on, et l’é
rt. Mais il y a à cela bien des explications : le milieu où tous deux
vivaient
; le caractère vain et futile d’Armande, qui n’av
nues du trône ! Il est donc heureux pour la scène française qu’il ait
vécu
dans les premières années de Louis XIV ; c’est un
œuvre mérite bien autant de recherches que le nom d’un homme, et nous
vivons
dans un temps où il n’est peut-être pas hors de p
Cléante : Modérez, s’il vous plaît, ces transports éclatants ; Nous
vivons
sous un règne et sommes dans un temps Où par la v
elui que Molière a fait au dénouement, dans ce fameux passage : Nous
vivons
sous un prince ennemi de la fraude. L’exempt le
sait le Seigneur, et ne pouvait trop s’étonner de ce que des gens qui
vivaient
austèrement avaient meilleur visage que ceux qui
es gens qui vivaient austèrement avaient meilleur visage que ceux qui
vivaient
dans le luxe et l’abondance. » Telles sont, aprè
9185] 1705, Grimarest, p. 82-89 Sur la fin de ses jours, Molière ne
vivait
que de lait ; mais lorsqu’il allait à sa maison d
e Vieillard de soixante-quinze ans, qui n’a plus que quelques jours à
vivre
. Le compliment de ce jeune Comedien, qui avoit pr
ble qu’il avoit pour les plaisirs du Roi, il auroit tout quitté, pour
vivre
dans une mollesse Philosophique, dont son domesti
on, qu’il étoit devenu très-valetudinaire, & il étoit reduit à ne
vivre
que de lait. Une toux qu’il avoit negligée, lui a
seulement un recit fidelle de mon embaras....* Je me suis determiné à
vivre
avec elle comme si elle n’étoit pas ma femme, mai
fuir tous les humains, Et que dans mon desert, où j’ai fait vœu de
vivre
, Vous soyez sans tarder resolue à me suivre ;
vous êtes bien plaisant. Il vous est aisé de vous faire ce systême de
vivre
; vous êtes isolé de tout ; & vous pouvez pen
uarante ou cinquante personnes, qui n’entendent point raison, à faire
vivre
, & à conduire, un Theâtre à soutenir ; &
à souffrir la rusticité de la plûpart des gens avec qui nous avons à
vivre
, & à captiver les bonnes graces d’un Public,
e, il se mettoit peu en peine des humeurs de sa femme, qu’il laissoit
vivre
à sa fantaisie, quoiqu’il conservât toûjours pour
amis essayerent de les racommoder, ou, pour mieux dire, de les faire
vivre
avec plus de concert. Ils y réussirent, & Mol
; il y a cinquante pauvres Ouvriers, qui n’ont que leur journée pour
vivre
; que feront-ils, si l’on ne joüe pas ? Je me rep
que le misanthrope de théâtre, ayant à parler de ce qu’il voit, doit
vivre
dans le monde et par conséquent tempérer sa droit
ite. Je pense et vois le monde et dis, de vous à moi Qu’il faut, pour
vivre
heureux, se replier sur soi. Et il refuse à sa f
egel n’aime pas Molière. Ce n’est pas sot. Il comprend que si Molière
vivait
de son temps, il se moquerait de lui. » Rousseau
jeune ! » Cette très amusante première édition du fameux : « Je veux
vivre
! » des femmes du théâtre de 1880-1900 n’est sans
heure, assassinée sans doute par vos abstinences et l’ennui sombre de
vivre
avec vous ; votre fille vous méprisera, pareillem
x, séduit par une apparence de raison. Il paraît assez raisonnable de
vivre
: 1° de telle sorte qu’on ne soit pas ridicule ;
honnêtes gens. Lui-même est au moins très partagé entre son désir de
vivre
toujours indépendant chez un grand seigneur et le
rs indépendant chez un grand seigneur et le désir plus raisonnable de
vivre
en homme du peuple, dans un petit logement, et d’
plus éloigné de ce défaut-là qu’il ne serait naturel au siècle où il
vécut
. Remarquez-vous que là où une pensée religieuse s
reprennent les nôtres… On les voit, pour tous soins, se mêler de bien
vivre
; Jamais contre un pécheur ils n’ont d’acharnemen
s l’enseigne des vrais dévots est de n’en pas avoir, et pourvu qu’ils
vivent
bien, ils laissent les autres vivre à leur guise.
n’en pas avoir, et pourvu qu’ils vivent bien, ils laissent les autres
vivre
à leur guise. La marque de la vraie piété est de
l’esprit des jeunes gens ; Et l’école du monde, en l’air dont il faut
vivre
, Instruit mieux, à mon gré, que ne fait aucun liv
oter quelque bas par plaisir. Il serait même bon que l’honnête femme
vécût
loin de la ville, dans une sorte de solitude endo
t d’avec un haut-de-chausse. Les leurs ne lisaient point ; mais elles
vivaient
bien. Leurs ménages étaient tout leur docte entre
cela des mœurs publiques très simples, très saines ou une manière de
vivre
très retirée. Dans de grandes villes et parmi des
inconnus ne vienne un jour égarer leurs cœurs. En France, les filles
vivent
dans des couvents et les femmes courent le monde.
omme je l’ai dit, beaucoup de jeux et de fêtes publiques ; les femmes
vivaient
retirées. Cet usage était plus raisonnable et mai
s, les bals, les comédies… Et l’école du monde, en l’air dont il faut
vivre
, Instruit mieux, à mon gré, que ne fait aucun liv
st avisé que le monde existe ; que, quoi qu’on puisse faire, Sophie y
vivra
, que pour se garder des pièges qu’il peut vous te
sante ? Mon Dieu, tous les deux sont des mouvements naturels. Vouloir
vivre
de bonne soupe est très naturel ; avoir de la cur
ce. Ce rôle admirable étincelle de splendeurs cachées. Il faut avoir
vécu
avec cet homme pour le connaître. Entre les court
othèse, elle est fausse, nous ferons comme si elle était vraie, et je
vivrai
sur elle. Vous mentirez, je ne m’y tromperai pas,
ient bien venus. Quoique son temperament très-délicat l’ait obligé de
vivre
de lait pendant plus de dix années, il restoit ce
ieux traitez de la fortune, & par conséquent hors d’état de faire
vivre
les Comédiens en allant souvent aux Spectacles oc
vant 1661 ; Poussin mourut quatre ans après cette date, à Rome, où il
vivait
depuis plusieurs années, loin de l’envie et des c
il est inutile d’insister sur ce point. Bornons-nous à rappeler qu’il
vécut
si bien en dehors de son siècle, que son siècle n
eté dans le monde toutes les idées fécondes sur lesquelles nous avons
vécu
depuis. Dans cet enfantement laborieux et sanglan
ion de leurs Pères, et que ceux qui n’étaient que Bourgeois voulaient
vivre
en Gentilshommes et ne rien faire ; ce qui ne man
cheux vice, Qu’il vaut bien mieux mourir de rage ou de regret, Que de
vivre
à la gêne avec un indiscret. . . . . . . . . . .
e année, le 22 Octobre 1613. Il composa lui-même son épitaphe : J’ai
vécu
sans nul pensement, Me laissant aller doucement A
e chicane sur rien : du moins, usez-en de même avec moi ; laissez-moi
vivre
, laissez-moi respirer. Pot-de-vin, tirant un papi
ges qu’elle faisoit jadis pour s’amuser, serviront, dit-elle, à faire
vivre
ce qu’elle aime. Un Sergent paroît, arrête Béverl
ères ont transmis de grandes richesses connues du public, ne peut pas
vivre
avec la même lésine que l’obscur usurier, unique
notoriété de son opulence et l’obligation qui en résulte pour lui de
vivre
à peu près selon son état ? Quelles occasions ne
e la rudesse, de l’arrogance et de la tyrannie féodale ; c’est là que
vivaient
, dans des manoirs délabrés, ces gentilshommes d’a
héroïque où l’avait élevé Molière, et le ramenant à l’époque où nous
vivons
, mais conservant soigneusement les moyens de l’ac
la grâce singulière De Célimène, dont il devait tant souffrir, Et qui
vécut
son Œuvre, — hélas ! Pour en mourir ! » [1880-02
d’Ablancourt ; et comme ils étaient à peu près du même âge, le valet
vivait
fort familièrement avec son maître, qui quelquefo
s sans exception, été exhumés de leurs tombeaux pendant les années où
vivait
, collectionnait, et régnait le Baron Denon. Qu’y
s ruelles antiques, les tourelles qui se font rares, les logis où ont
vécu
les grands hommes. Naguère il avait acheté d’un e
ant peu, doit disparaître. La salle du Jeu de Paume, où Molière joua,
vécut
, lutta (il était pauvre alors), est encastrée dan
e vins. Et cette question nous venait à tous deux : Où Molière a-t-il
vécu
? Car il a vécu là, dans quelque mansarde de l’un
question nous venait à tous deux : Où Molière a-t-il vécu ? Car il a
vécu
là, dans quelque mansarde de l’un de ces vieux lo
une, Molière essayant de vaincre, Molière débutant, Molière endetté a
vécu
. La mansarde est le cerveau du logis, et c’est là
on de celui qui écrit ces lignes, et sur laquelle on écrirait : « Ici
vécut
Molière » ? Le logis où il est mort marque le reg
esque : — « Ce n’est pas ce Martial-là, madame ; c’est un auteur qui
vivait
il y a trente ou quarante ans. » Dans Les Fâcheu
hôtels célèbres de Paris à cette époque : JULIE. On sait bien mieux
vivre
à Paris dans ces hôtels dont la mémoire doit être
e nom de Scarron ne paraît-elle pas signifier que l’auteur de Jodelet
vivait
encore au moment où les Comédiens du Marais allai
ut point de gloire ; C’est ma devise. On est à son aise chez moi ; Et
vivre
comme on veut, c’est notre unique loi. Viens, &am
n. Les Auteurs ont la sotte maladie de vouloir faire croire qu’ils ne
vivent
que dans le grand monde. Quel travers ! quelle pe
rebours. Le fils, depuis dix ans... Lisimon. Je suis plus glorieux de
vivre
à ses dépens Que s’il vivoit aux miens. Oui, ma v
eur, quand on parle de lui dans un temps peu éloigné de celui où il a
vécu
, et que ses enfants vivent encore. C’est une règl
i dans un temps peu éloigné de celui où il a vécu, et que ses enfants
vivent
encore. C’est une règle de politesse que l’on pou
étaient composés, auraient pu abréger les moments qui lui restaient à
vivre
. S’il satisfait l’envie qu’il avait de manger du
hinée à ses frais. Les réparations prirent beaucoup de temps, et pour
vivre
dans l’intervalle, les comédiens ordinaires de Mo
e quinze années devait s’accomplir toute sa destinée. Il se hâtait de
vivre
, et le roi se bâtait d’utiliser son génie au prof
uper d’Auteuil, lorsqu’au point du jour, Chapelle et ses amis, las de
vivre
et de se plaindre, ivres par-dessus le marché, vo
as tant à corriger les hommes que de montrer ce qu’il faut faire pour
vivre
avec les hommes incorrigibles. Il n’arrive pas to
conseil ma fantaisie à suivre, et me trouve fort bien de ma façon de
vivre
. ARISTE. Mais chacun la condamne. SGANARELLE.
rtin, pour un être insupportable avec lequel il lui est impossible de
vivre
. Ce caractère est malheureusement d’une vérité ac
e. Il faut que chacun ait son tour, et j’enrage de voir des pères qui
vivent
autant que leur fils. » Voilà bien la pensée qui
habitude d’un travail professionnel obligatoire qui leur permettra de
vivre
honnêtement une fois libérés. La société, qui dev
que prononce Alceste, paroles par lesquelles il déclare son projet de
vivre
désormais isolé de la société, Philinte, touché d
que qui ne dit rien : « Je vous dis qu’il me faut apprendre d’elle à
vivre
! » Ces réponses ironiques ou évasives sont émin
honnête homme de père qu’il vous a donné. Il sait ce que c’est que de
vivre
. Lorsqu’on s’offre de prendre une fille sans dot,
pour subvenir à leurs besoins, à changer par conséquent de manière de
vivre
. Les préceptes exposés par Molière ont été mis en
imacer. Ah ! combien j’en connois qui, par ce stratagême, Après avoir
vécu
dans un désordre extrême, S’armant du bouclier de
aît que les romans qu’elle fit plus tard lui étaient nécessaires pour
vivre
. (Biographie.) 34. Note de Voltaire, sur son épî
les, au milieu desquels il semble que notre grand poète se soit plu à
vivre
en esprit, comme s’il s’en fut fait une sorte de
d à Orgon qui s’écrie : Je vous dis qu’il me faut apprendre d’elle à
vivre
! elle répond : Vous n’en feriez que mieux de s
injustice de ses parents, elle vint en ces lieux, où elle n’a presque
vécu
que d’une vie languissante. Anselme. O ciel ! que
MOCRITE. ACTE IV. Scene VII. Strabon. Depuis quand, s’il vous plaît,
vivez
-vous sans époux ? Cléanthis. Depuis près de vingt
paules. Il arriva dans le cours de son voyage que l’Achille manqua de
vivres
, & qu’il entra dans un petit Port-brute sur l
raintes & à ces alarmes qui les agitoient alors. Ils avoient déja
vécu
plusieurs mois au milieu de leurs tendres amours,
t de changements de langage, de mœurs et d’idées, il semble destiné à
vivre
toujours jeune parmi les Français, ainsi qu’Homèr
et raffinées ; mais elles ont pénétré la masse d’un grand peuple. Il
vivait
sous la monarchie et dînait à la table d’un roi :
passion, dit-il ; il se propose de vendre son régiment & d’aller
vivre
dans ses terres. Il offre sa sœur à Damis. On veu
aut partir incessamment pour rejoindre : Moncade frémit, il ne pourra
vivre
loin de ce qu’il aime. Il n’y a rien dans le Prin
e refuser : Marton parle pour elle, & déclare que Mariane ne peut
vivre
sans Moncade. Damis sollicite la grace de Moncad
s, après tout, un principe et une méthode ne suffisent pas pour faire
vivre
même une école. Il y avait aussi quelque chose de
ses saintes violences est à peu près inconnu à notre auteur. Il faut
vivre
le plus doucement possible, cédant et résistant t
, mourant presque, à la vue de ses compagnons qui n’avaient plus pour
vivre
que son travail et ses souffrances, il n’hésite p
▲