che de plusieurs personnages qui par des motifs différents ou opposés
viennent
successivement ou plusieurs ensemble entretenir d
ns titre, en cinq actes en vers, dans laquelle la plupart des acteurs
viennent
uniquement pour faire parler d’eux dans le Journa
, & quitte les amants pour visiter la maison. Plusieurs personnes
viennent
se faire inscrire pour occuper un chapitre dans l
grand compositeur d’énigmes, qui, avec toute la prétention possible,
vient
lire celle-ci, dont le mot est est un vent échapp
infidelle ; il se livre seul à ses réflexions jalouses, quand Léandre
vient
fort mal-à-propos chanter & danser devant lui
aise de savoir son avis. La Montagne annonce à son maître qu’Orphise
vient
à lui. Elle arrive, elle calme aisément sa jalous
nant de quitter la promenade. Eraste commence à se rassurer. Alcandre
vient
rompre brusquement le tête-à-tête, demande excuse
un bon quart-d’heure, j’ai entendu critiquer précisément ce que nous
venons
d’admirer : « Puisque Moliere, disoit-on, a fait
Orphise. Scene II. Mais vois-je pas Orphise ? Oui, c’est elle qui
vient
. Où va-t-elle si vîte ? & quel homme la tient
en ce lieu vous devez vous tenir, Assuré que dans peu vous l’y verrez
venir
. . . . . . . . . . . Eraste. Laisse-moi méditer.
r un air où je la vois se plaire. . . . . . . . . . . (Deux fâcheuses
viennent
l’interrompre. Orphise arrive : elle est jalouse
ittez pas un si doux entretien. A tort vous m’accusez d’être trop tôt
venue
, Et vous avez de quoi vous passer de ma vue. (Ell
y trouver plutôt avant qu’après. . . . . . . . . . (Plusieurs fâcheux
viennent
successivement l’arrêter.) Scene IV. Quels ma
n traître sein. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Va-t’en faire
venir
ceux que je viens de dire, Pour les mettre en emb
s. Quoi ! celui dont j’avois résolu le trépas, Est celui qui pour moi
vient
d’employer son bras ! . . . . . . . . . Je rougis
priver d’aucune des parties qui lui sont essentielles, & que nous
venons
d’admirer en elle. On me soutiendra que la chose
un Auteur de se borner à des pieces dans le genre de celles que nous
venons
d’analyser, & de les étendre sur-tout au-delà
rbieri), s’étant séparé des Fedeli, forma une troupe avec laquelle il
vint
à Paris où il reçut un très favorable accueil de
qui voit clair toutefois, et qui prend sa revanche quand l’heure est
venue
. Il est moins facile à duper que Pantalon, mais i
ut il avait conçu ce projet. ACTE DEUXIÈME L’étudiant Cintio Fidenzio
vient
acheter Celia ; il dit à Mezzetin de remettre la
Au moment où il a compté l’argent et où il va emmener Celia, un sbire
vient
mettre le séquestre surtout ce que possède Mezzet
pin, qui a été averti du projet par son ami Spacca, prend l’avance et
vient
au lieu de Cintio, en criant : « O chi conza chia
Celia, dans laquelle il annonce au marchand qu’il est sur le point de
venir
la chercher et le prie de la garder chez lui au m
Bellorofonte entre en scène. Fils d’un correspondant de Pantalon, il
vient
toucher une lettre de change de trois cents ducat
le sait, au milieu de la guerre de Trente Ans, et l’Électeur palatin
venait
, en effet, de perdre ses États. Fulvio, en le voy
x mains des sbires, se porte garant du capitaine. Quand il sait qu’il
vient
encore de ruiner un stratagème de Scapin, il s’en
é faire de nouvelles acquisitions, passe avec une autre esclave qu’il
vient
d’acheter. Le capitaine reconnaît sa fiancée Laud
t comique suivait une marche ascendante continue. Après Hardy étaient
venus
Théophile, Racan, Mairet et Gombault, puis Rotrou
s s’il réussira : suivons-le pas à pas. (Valere le salue encore). Ne
vient
.... Que diable !.... Il se tourne, & voit Erg
. Il se tourne, & voit Ergaste qui le salue de l’autre côté.) Ne
vient
.... Que diable !....Encore ! que de coups de chap
er j’avois un grand desir. Sganarelle. Soit. Valere. Soit.Et de vous
venir
, mais sans nul artifice, Assurer que je suis tout
ller chez lui ; d’un autre côté Sganarelle ne devinant pas où veut en
venir
le godelureau, la scene qu’ils ont ensemble doit
Célimene. Voici les deux Marquis qui montent avec nous. Vous l’est-on
venu
dire ? Célimene. (A Basque). Vous l’est-on venu
nous. Vous l’est-on venu dire ? Célimene. (A Basque). Vous l’est-on
venu
dire ?Oui. Des sieges pour tous. (A Alceste.) Vou
ctueuse. Lisons, & nous déciderons après. Clitandre. Parbleu, je
viens
du Louvre, où Cléonte, au levé, Madame, a bien pa
avagance. Acaste. Parbleu, s’il faut parler des gens extravagants, Je
viens
d’en essuyer un des plus fatigants ; Damon, le ra
mene. Le pauvre esprit de femme, & le sec entretien ! Lorsqu’elle
vient
me voir je souffre le martyre, Il faut suer sans
sur mes pas Je reviens en ce lieu pour vuider nos débats. Peut-être
viendra-t
-il en effet pour faire décider Célimene entre lui
, sautant par la fenêtre. M’y voilà on ne peut pas plus vîte. Colin
vient
parcequ’on l’appelle : c’est là sa raison. Il ign
n vient parcequ’on l’appelle : c’est là sa raison. Il ignore ce qu’il
vient
faire ; il ne peut pas nous le dire : c’est à son
ere & ma belle-mere, & dis que je les prie très instamment de
venir
tout à l’heure ici. Il en est de même des person
est de même des personnages qu’un acteur conduit sur la scene ; ils y
viennent
parcequ’on les y amene. Dans l’Avare, Cléante, El
s d’autre raison à nous donner. ACTE III. Scene I. Harpagon. Allons,
venez
çà tous. Harpagon va nous dire présentement pou
enez çà tous. Harpagon va nous dire présentement pourquoi il a fait
venir
tout son monde ; pour leur donner des ordres dict
& non pas, selon la coutume de certains impertinents laquais, qui
viennent
provoquer les gens, & les faire aviser de boi
. . . . . . . . . . . . . . Enfin Harpagon nous apprend qu’il a fait
venir
son Intendant pour l’aider à ordonner un repas ;
il peut aussi, il doit même, ne pas nous dire, en rentrant, ce qu’il
vient
faire : nous le savons. L’AVARE. ACTE I. Scene VI
dispense, avec raison, de nous dire ce qui le ramene à nos yeux ; il
vient
y continuer ce qu’il y faisoit auparavant. Enfin,
ille. Le jeune homme lui raconte toute son histoire avec Agnès, &
vient
ensuite très exactement lui faire confidence de t
ur réciproque, cependant qu’ils étoient en ces propos amoureux, voici
venir
Maître Raimon, qui frappe à la porte. Jeanneton,
ainsi que Nérin se promenoit par la place, par fortune, Maître Raimon
vint
à passer, & Nérin lui fit signe qu’il vouloit
femme, mais épier le temps qu’ils fussent ensemble. Le jour ensuivant
venu
, Nérin retourna vers Jeanneton : cependant qu’ils
ant qu’il n’y avoit rien, se partit un peu plus content qu’il n’étoit
venu
, & s’en alla en pratique. Nérin pareillement
ordre. Le jour ensuivant, ainsi que Nérin s’en alloit aux champs, il
vint
, par fortune, à rencontrer Maître Raimon, & l
Dit en son cœur, elle est des nôtres. Il retourne au logis : vieille
vient
; rendez-vous. D’en conter le détail, vous vous e
ge qu’elle avoit appris à faire au couvent. Un gentilhomme de Cordoue
vint
en ce temps-là pour suivre un procès à Grenade :
m’ont dit qu’un jeune homme inconnu Etoit en mon absence à la maison
venu
, Que vous aviez souffert sa vue & ses harangu
ôt repartant, D’une troisieme aussi j’y repars à l’instant. Il passe,
vient
, repasse, & toujours de plus belle, Me fait à
érence aussi je lui rendois : Tant que si sur ce point la nuit ne fût
venue
, Toujours comme cela je me serois tenue, Ne voula
, vos yeux ont fait ce coup fatal, « Et c’est de leurs regards qu’est
venu
tout le mal ». Hé, mon Dieu ! ma surprise est, f
rs, dis-je ; &, puisqu’il est ainsi, Il peut tant qu’il voudra me
venir
voir ici. Arnolphe, à part. Ah ! sorciere maudite
nsa en homme libéral, & attendit la nuit avec impatience. La nuit
vint
, il entra dans le jardin, & monta le plus dou
, tout violent qu’il étoit, & il s’enfuit plus vîte qu’il n’étoit
venu
, s’imaginant qu’il ne pouvoit assez tôt gagner la
er Laure, qui lui demanda d’abord pourquoi le gentilhomme n’étoit pas
venu
, & s’il étoit malade. Il n’est pas malade, di
ade. Il n’est pas malade, dit la vieille, & il n’a pas manqué d’y
venir
; mais il trouva un homme armé dans votre chambre
, & admira avec lui la sottise du mari & de la femme. La nuit
vint
, il entra dans le jardin, monta le petit escalier
sa coutume, & fut bien étonné de voir sa femme en chemise qui se
vint
coucher auprès de lui. Il lui demanda, tout troub
s, car depuis la derniere lettre que vous m’avez écrite, il n’est pas
venu
me voir. . . . Le malheureux Don Pedre feignit d’
. Il ordonne à ses domestiques de lui fermer la porte au nez quand il
viendra
, &, s’il résiste, de lui donner des coups de
he recommande à Georgette & à Alain de repousser Horace lorsqu’il
viendra
. ACTE IV. Scene IV. ARNOLPHE, ALAIN, GEORGETTE.
oris. Ah ! si vous le saviez ! . . .Je brûle de l’entendre. Léandre.
Venez
avecque moi, je pourrai vous l’apprendre. (Ils so
raître, en ce moment ; Je retarde sa mort d’une heure seulement. Mais
venez
là, traîtresse : où sont, où sont vos armes ? Clo
t. Devant nous querelle s’est mue Pour une piece assez connue, Et qui
vient
d’Auteur assez bon, Moliere, notre mignon. Les un
’en offense, Voulons que cette piece ait cours ; Qu’en ce lieu19 l’on
vienne
toujours, Et sans craindre que Moliere Se lasse j
tabac, en fait l’éloge, en donne à Gusman, & lui demande ce qu’il
vient
faire. Gusman lui répond qu’il est l’Ecuyer d’Elv
couvent ; qu’il a feint de l’épouser & qu’il l’a délaissée : elle
vient
lui reprocher sa perfidie. Sganarelle prévoit qu’
r un faux jour. On lui annonce M. Dimanche, son marchand drapier, qui
vient
lui demander de l’argent ; mais il l’accable de t
mort d’un pere si fâcheux, quand Elvire voilée, & vêtue de noir,
vient
lui annoncer une punition céleste s’il ne se corr
ocrisie que pour mieux se livrer à toutes sortes de vices. Don Carlos
vient
lui demander si sa résolution est prise, & s’
ire parler. Le Temps, armé d’une faulx, lui succede. Enfin, la Statue
vient
sommer Don Juan de tenir sa parole. Le tonnerre t
s soldats. Isabelle prend la fuite. Don Pedre, Ambassadeur d’Espagne,
vient
à la tête de quelques soldats. Le Roi lui ordonne
tte occasion. Je veux te faire voir combien je t’estime. Tu n’as qu’à
venir
ce soir à onze heures, tu trouveras ma porte ouve
de flambeaux : il va voir ce que c’est. Don Diego, pere de Don Juan,
vient
, suivi de la garde, & arrête le Marquis, que
ent. Le valet de Don Juan se mêle parmi les gens de la noce. Don Juan
vient
, voit la mariée, la trouve à son gré, s’assied au
la chambre de la mariée. Bélisa y dit à la belle Aminta que son mari
viendra
bientôt la joindre. Elle l’exhorte à se déshabill
u couvent où elle s’est retirée. Il veut la marier à Don Juan. Le Duc
vient
demander au Roi la permission de se couper la gor
ison de l’affront que Don Juan leur a fait en les déshonorant. Aminta
vient
se joindre aux autres malheureuses que Don Juan a
oître, il n’en veut rien faire. Isabelle, désespérée, crie. Don Pedre
vient
avec une bougie : sa fille prend la fuite. Don Ju
obéit. Plusieurs lazzis interrompus par l’arrivée de la Statue. Elle
vient
prendre un couvert, invite à son tour Don Juan. L
ndeur. Le Roi donne des ordres pour qu’il soit arrêté mort ou vif. On
vient
demander justice au Roi contre Don Juan qui a séd
ades plaisanteries hors de saison. L’Ombre invite les deux convives à
venir
souper dans son tombeau : Don Juan promet, s’amus
de débauche de Don Juan. Ils périssent à table en sa présence, &
viennent
après leur mort l’avertir de changer de vie. Ajou
pour la plupart, méprisent les paysans. Il se cache, parcequ’il voit
venir
Elisa avec un autre homme. C’est Don Juan vêtu en
ntend que la personne arrivée avec Octave est une femme déguisée, qui
vient
demander justice d’une offense : elle saisit ce p
une personne extravagante, qui ne sait ce qu’elle veut. Don Alphonse
vient
reprocher à Don Juan sa perfidie pour une beauté
r. Isabella met l’épée à la main ; ils se battent de rechef. Alphonse
vient
avec la garde, arrête Don Juan : Elisa sort. Don
viter il fuit dans une autre ville, où il trouve un de ses freres qui
vient
d’épouser une femme fort riche, & qui le prés
i donnant sa niece. Pour en être certaine, elle feint de partir &
vient
le soir au bal de Géronte avec un domino pareil à
n, mon cher Duc, c’est ce soir que je m’encanaille ; ne manque pas de
venir
à ma noce, & d’y amener le Vicomte, le Cheval
vous y verrez un Commissaire, un Notaire, une accolade de Procureurs.
Venez
vous réjouir aux dépens de ces animaux-là, &
asse. » Le Marquis de Moncade. Le Coureur s’apperçoit de sa méprise,
vient
reprendre la lettre, la porte à son adresse. Monc
, qu’est-ce ? qu’y a-t-il de nouveau, Monsieur Pot-de-vin ? Quoi ! me
venir
relancer jusqu’ici ? En vérité, vous êtes un terr
amene ? Pot-de-vin. Monsieur le Marquis, c’est par votre ordre que je
viens
ici. Le Marquis. Par mon ordre ? Ah ! oui, à prop
eu d’argent qu’il a. Stukéli avoit promis de l’argent à Béverley, il
vient
lui dire qu’il n’en trouve point, qu’il s’est rui
iner. Stukéli envoie à Béverley une lettre conçue en ces termes : «
Venez
me voir le plus promptement que vous pourrez ; c’
tantôt. Ainsi n’en dites rien à Madame Béverley ; & hâtez-vous de
venir
recevoir les adieux de votre ami ruiné ». Stukél
une dette pressante. Stukéli a su que la fortune rit à Béverley, il
vient
le féliciter, lui conseille de ne plus jouer, &am
excuses. Béverley se peint sa malheureuse situation. Béverley voit
venir
Leuson, contre lequel Stukéli l’a aigri, en lui d
fait avec son époux. Mais cet acte est beaucoup plus long : Jarvis y
vient
annoncer que Stukéli a obtenu une sentence contre
a maîtresse, sur le bonheur dont son maître eût pu jouir : il le voit
venir
pâle, défiguré. Béverley feint d’être plus calme
qu’accroître son désespoir : quand Stukéli, feignant de le plaindre,
vient
l’accuser d’avoir assassiné Leuson. Les garants d
ent de Jacinthe.) Don Lope ayant appris l’affront fait à Don Sanche,
vient
offrir son bras à son amante. Si ton frere vivoit
e à Cassandre sa sœur la résolution que Jacinthe a prise, lorsqu’elle
vient
elle-même dire à son amant qu’elle a changé d’avi
prie Don Alvar d’empêcher qu’elle ne soit suivie par le cavalier qui
vient
. Don Alvar exécute ses ordres : Enrique indigné l
e lave auparavant d’un affront fait à sa famille. Dans ce temps-là on
vient
dire à Don Lope que Jacinthe l’attend chez elle :
ar des lâches, & que pour modeler la réparation sur l’offense, il
vient
d’aposter des assassins, qui le délivreront de so
Don Lope avoue qu’il doit la vie au meurtrier de son frere. Don Alvar
vient
lui dire que s’il tient de lui la vie, il lui a r
prend la fuite : le vieillard projette d’écrire à son fils pour qu’il
vienne
bien vîte punir l’insolent qui les déshonore. Ac
’instant même le Commissaire frappe à sa porte, lui apprend qu’Arnest
vient
d’être tué, & que le meurtrier est dans sa ma
amour la fait bien vîte changer de sentiment ; elle souhaite qu’il ne
vienne
point, quand il arrive. Don Pedre reconnoît sa ma
pprend qu’Arnest n’est pas mort : elle fuit à l’approche du Comte qui
vient
d’obtenir l’élargissement de Don Pedre : ils reme
sans cet homme noir je n’aurois pu t’aimer ! Je ne me trompe pas, Je
viens
d’ouir du bruit, des paroles, des pas, Je veux m’
y trouve du danger, Et se munit ainsi d’un secours étranger. Un homme
vient
à moi l’épée toute nue. Défendons notre poste....
uoi ! mon pere, & mon frere ! Le Comte. Don Pedre, à vos côtés je
viens
vaincre ou mourir. Léonore. Cher Comte, à tes côt
nt. Fanni montée au rang des Ladis leur sert de modele. 50. Brave
vient
du mot espagnol bravo, qui signifie un homme brav
rappeller Mariane & de renouveller ses transports jaloux. Marton
vient
demander à Moncade s’il veut passer la nuit à cri
chose : apprends...Ah ! je vous jure... Moncade. Que ce nom, dont tu
viens
ici m’entretenir, Est un nom dont je veux perdre
voilà tout prêt à t’écouter. Pasquin. Il faut donc qu’un démon me le
vienne
dicter. Mais, ce conte... (Ma foi, je ne sais que
la triste connoissance, Voilà de mon amour la fatale naissance. Et tu
viens
dans mon cœur, malheureux ! retracer Des objets q
lle est éprise de Moncade. Marton paroît, Julie lui ordonne de faire
venir
Mariane. Julie soupçonne que Moncade est aimé, p
lle croit Moncade indigne de grace, & déchire le billet. Moncade
vient
lui-même jurer de mourir aux pieds de Mariane, si
ve, fait ôter ses coeffes, ordonne à Marton d’appeller Mariane ; elle
vient
à point nommé. Julie dit à sa fille qu’elle va t
; qu’elle ne fît pas la moindre réflexion là-dessus. Acte IV. Marton
vient
sur le théâtre pour respirer, elle est lasse de v
ens plus d’amour pour Mariane. Damis. Si son cœur innocent à vos yeux
vient
s’offrir... Moncade. Que ne la puis-je voir innoc
. . Julie jure à Moncade de garder son courroux contre lui. Marton
vient
dire qu’on ne peut appaiser Clitandre. Julie ordo
: soixante vers pour vingt-neuf. L’ANDRIENNE LATINE, Scene IV. Simon
vient
savoir quelle est la résolution de son fils, &
s ; je vois bien que je vous romps la tête. Simon. Hé, non, bourreau,
viens
çà, je te veux parler. Dave. Hé, non, bourreau,
non, bourreau, viens çà, je te veux parler. Dave. Hé, non, bourreau,
viens
çà, je te veux parler.Bon ! Simon. Oui, je te veu
n demande. Dave croit plaisanter le vieillard en le pressant de faire
venir
l’accordée. Simon lui avoue que Chrémès ne vouloi
Chrémès consent à donner sa fille, après cela il le renvoie. Chrémès
vient
dire à Simon qu’il a changé d’avis, & qu’il c
e extrême ? Il se fait déja tard. C’est se moquer aussi ! L’épouse ne
vient
point, & devroit être ici. Nous sommes de la
. Va, Dave, elle y sera plutôt que l’on ne pense. Dave. Elle n’y peut
venir
assez tôt. Simon. Elle n’y peut venir assez tôt.
ne pense. Dave. Elle n’y peut venir assez tôt. Simon. Elle n’y peut
venir
assez tôt.Je le crois. Et Pamphile ? Dave. Et Pa
arer. Cette derniere scene est plus vive que la latine : Baron y fait
venir
Carin, qui dans l’original commence le quatrieme
t adroits ; au lieu d’alarmer Chrémès par la vue de l’enfant, il fait
venir
Glycerie, qui, toute abattue par sa maladie, &
t citoyenne, & le conjure de ne pas faire son malheur. Alors Dave
vient
soutenir que rien de tout cela n’est vrai : Glyce
sa parole. Dave sort de chez Glycerion, exhorte encore Simon à faire
venir
la mariée : il rapporte qu’un homme arrivé de l’i
Glycerion est citoyenne : Pamphile lui répond qu’on l’assure. Criton
vient
certifier la chose, en donne des preuves : Glycer
ête : enfin, ce n’est nullement par hasard que le Souverain des Dieux
vient
, au bruit du tonnerre, avouer sa supercherie amou
lla & sa suivante qui écoutent, sont alarmées ; heureusement l’on
vient
interrompre les Cavaliers. Marcella projette de f
s fortunes. Scene IV. Célia, suivante de Laura amante de Dom Félix,
vient
lui dire que sa maîtresse est fort en colere cont
la jalousie à sa rivale : c’est encore moins par hasard que Dom Félix
vient
chez Laura, puisque Célia l’y conduit, par l’ordr
l’ignore. Voyons ; continuons. Seconde Journée. Scene I. Marcella
vient
avouer à Laura qu’elle a un amant à l’insu de son
verte : on lui dit que c’est pour épargner des pas à Marcella qui est
venue
voir son amie. Fabio demande excuse à Marcella de
e qu’il ne l’a pas apperçue d’abord. Scene VII. L’Ecuyer de Marcella
vient
l’avertir qu’il est huit heures & demie, qu’i
commence à le croire. Scene XVII. Célia, qui ne voit pas Dom Félix,
vient
dire à sa maîtresse que le Cavalier est sorti. Do
ra, de lui dire qu’elle s’est brouillée avec son frere, & qu’elle
vient
passer quelques jours dans sa maison : il espere
al qu’on lui préfere. Scene III. Laura, persécutée par sa jalousie,
vient
prier Marcella de lui céder son appartement pour
n maître qui a des secrets pour lui. Scene inutile. Scene V. Silvia
vient
dire à Lisardo que sa belle l’attend dans la mais
voir. Précis de la Cistelaire. Démiphon, jeune marchand de Lemnos,
vient
à Sicyone pour les affaires de son commerce. On y
se d’Escarbagnas de Moliere, & l’on verra que tous les Financiers
venus
après ce petit Receveur des Tailles, même les Fer
s progrès avant qu’il s’en apperçût. Que ne se dit-il point lorsqu’il
vint
à se reconnoître ? & quels combats ne sentit-
nelle, se voyant la confidente de sa maîtresse, ne se gêne plus, fait
venir
dans sa chambre un jeune homme dont elle est amou
. Lothaire le voit sortir un soir avec mystere, se persuade qu’il est
venu
pour Camille, est furieux, ne songe qu’à se venge
de ce soin. Léandre est impatient de savoir si Damon a parlé. Damon
vient
dire à Léandre qu’il ne peut se déterminer à parl
les trouvent moins coupables, mais ne veulent plus les voir. Léandre
vient
apprendre à Damon, d’un air joyeux, que Julie le
’accorde point avec le mensonge qu’a fait l’Olive. Nérine & Julie
viennent
demander à Damon & à Crispin ce que tout cela
soupçonnent leur tendresse de n’être que feinte. Nérine & Julie
viennent
accabler de reproches Crispin & Damon ; elles
on lui persuade que ce sont des savants qui disputent : mais le Baron
vient
le détromper. Le Baron. Allez, vous radotez, s’i
ter Timon & à profiter de sa prodigalité. Les Sénateurs Athéniens
viennent
l’encenser & rendre hommage à ses richesses.
’aidera ; elle passe, évite ses regards & fuit bien vîte. Evandra
vient
au contraire offrir à son amant tout ce qu’elle p
faire publier dans Athenes qu’il ne fut jamais plus opulent. Evandra
vient
joindre Timon, elle lui porte toutes ses richesse
Timon, & veut partager avec lui son honnête misere. Le Philosophe
vient
se moquer encore de Timon. « Superbe imbécille, l
te, le Musicien & Mélisse ont appris que Timon a trouvé un trésor
viennent
lui faire la cour, & font exécuter une sympho
bjet : nous citons en passant un exemple qui s’offre de lui-même pour
venir
à l’appui de cette vérité. LE TRIPLE MARIAGE,
te ce qu’il veut faire de tant de chanteurs, de danseurs. Il les fait
venir
, dit-il, pour célébrer la convalescence de sa fil
it jours. Pasquin annonce à Valere que la Comtesse de la Trufardiere
vient
d’irriter son pere contre lui ; Valere déteste la
déteste la vieille folle qui veut absolument l’épouser. La Comtesse
vient
elle-même se plaindre à Valere de ce qu’il n’a pa
our elle. Pasquin a beau lui représenter qu’elle a tort de n’être pas
venue
au monde vingt ans avant son maître, elle n’enten
dans l’Etourdi, acte ii, scene xiii. Hé bien, à la malheure est-il
venu
d’Espagne, Ce courier que la foudre & la grêl
Turqueta, & qu’il va la remettre entre les mains de Scapin, Gélio
vient
, par ses plaintes, s’opposer à la vente, & dé
n Turc, qui, sachant que sa sœur est esclave sons le nom de Turqueta,
vient
la racheter. Il demande à Scapin la maison du mar
a lui-même avec la lettre d’avis retirer Turqueta, au moment où Gélio
vient
empêcher Arlequin de la livrer, en disant que ce
tel garni sur la porte d’une maison dont il peut disposer : l’Etourdi
vient
tout gâter. Scapin met adroitement un pistolet à
meilleures dans l’original que dans la copie. L’aventure du Turc, qui
vient
tout naturellement avec une lettre d’avis retirer
uelle illusion penses-tu m’éblouir ? Traître ! peux-tu nier ce que je
viens
d’ouir ? Mascarille. Non. Mais il faut savoir que
cipe, autre amant de Lucrece, qui est arrivé avec elle & sa mere,
vient
reconnoître l’appartement où elles doivent loger.
le servir. On le présente, il plaît : on va le garder, quand Cléandre
vient
dire que ce domestique est à lui. Acte IV. Phili
uvert seulement avec de vieux haillons qui lui servoient de chausses,
vint
trouver le marchand drapier, à qui il dit qu’il a
nt il le faisoit exécuteur, & tuteur de ses enfants, le priant de
venir
en diligence à Paris pour donner ordre à leurs af
prendre une si mauvaise nouvelle ; &, sachant que cet homme étoit
venu
exprès de Paris, envoyé par sa belle-sœur, il lui
ris, & Philippe de Chartres, pour faire leur voyage, & qu’ils
vinrent
tous deux coucher à Bonnelle, qui est environ la
é. Le Pédant donne une leçon à son éleve, & le laisse seul. Diana
vient
lui parler de son amour. L’écolier résiste ; mais
in écolier dont il est jaloux. Silvio promet : ils sortent. Brighella
vient
au rendez-vous avec son sac ; Colombine lui dit d
les charmes d’Arlequin, & lui dit de s’habiller en Revenant, pour
venir
lui parler auprès de sa maison, à deux heures apr
le dit un moment après à Brighella de se déguiser en Diable, & de
venir
la joindre au même lieu & à la même heure : e
Pantalon, à condition qu’il s’habillera comme un Mort. Tous les trois
viennent
au lieu indiqué, se font peur mutuellement &
ombine a voulu se moquer d’eux, & projettent de se venger. Silvio
vient
, & reconnoît Pantalon. Il lui apprend que l’E
elle appelle Colombine, qui laisse le Docteur seul. Pantalon, masqué,
vient
se mettre à côté de lui : le Docteur crie ; Panta
r croit s’être trompé. Colombine sort : Brighella, déguisé en Diable,
vient
prendre sa place, épouvante le Docteur, & pre
n voyant revenir Colombine. Arlequin, couvert d’un grand linge blanc,
vient
aussi se mettre à table. Enfin les trois masques
in les trois masques prennent séance. Le Docteur crie : tout le monde
vient
au secours. Diana reste à l’Ecolier, Silvio épous
où est cet ami : Célio lui montre son bâton. Arlequin, rassuré, fait
venir
la fausse Tiennette, qui reconnoît Célio : Célio
s’y rencontra dans ce temps-là un gentilhomme de Madrid, qui y étoit
venu
pour ses affaires particulieres. Il avoit été des
les habitants de Séville. ORGON, DAMIS, TARTUFE. Orgon. Ce que je
viens
d’entendre, ô Ciel ! est-il croyable ? Tartufe. O
me ?... Mariane. Votre pere, Madame ?...A changé de visée ; La chose
vient
par lui de m’être proposée. . . . . . . . . . . .
r.) Valere. Holà, Seigneur Valere.Hé ! que veux-tu, Dorine ? Dorine.
Venez
ici. Valere. Venez ici.Non, non, le dépit me dom
eigneur Valere.Hé ! que veux-tu, Dorine ? Dorine. Venez ici. Valere.
Venez
ici.Non, non, le dépit me domine. Ne me détourne
e revoir, se revirent, & ne se furent pas plutôt revus, qu’ils en
vinrent
aux éclaircissements, des éclaircissements aux ex
e ces protestations à toutes les grimaces qu’il faut faire avant d’en
venir
au baiser de paix. . . . . . . . . . . . . . Le
x, trois, à vous, & rendez-moi les armes, » Nous dit-il. Un fusil
vient
à frapper ses yeux, Il le met sur l’épaule, &
est de si peu de chose, qu’elle ne doit pas en être vaine. M. Lisban
vient
railler sa femme sur sa migraine, sur le refus qu
rton entraîne Lindor pour le cacher. M. Lisban se trouve bien bon de
venir
causer avec sa femme ; il lui demande si elle ne
il a surpris Lindor dans le plus vif tête-à-tête avec Marton : il est
venu
fort heureusement pour la petite, & souhaite
uriers que je vais cueillir ? . . . . . . . . . . . . . . . La guerre
vint
donner l’alarme aux amours. . . . . . . . . . . .
; mais toujours de la sagesse ! Comme elle faisoit ces réflexions, on
vient
lui dire que les négociations de la paix étoient
peut-être, & je ne le verrai plus ! Lindor arrive en uniforme. Je
viens
vous dire mes adieux, ma belle Cousine ; je pars
ce qu’on aime. Mais il n’est pas temps de vous faire des reproches ;
venez
, embrassez-moi. Lindor transporté usa de cette pe
ement, Madame ! — Oh ! très heureusement, je l’avoue : jamais mari ne
vint
plus à propos. Nous étions troublés ; ma rougeur
e dit-il, te voilà bien contente ! tu me revois ! Je suis bien bon de
venir
passer la soirée avec cet enfant ! Tu ne rougis d
te ? Je me retire. Ce n’est qu’en supposant que tu sois libre, que je
viens
passer la soirée avec toi. Quoi qu’il en soit, lu
ême avec la plus jeune de mes femmes. Il est vrai, disoit-il, je suis
venu
pour la Marquise ; mais le hasard me sert mieux q
M. le Chevalier, vos galanteries pour Madame, & songez qu’elle va
venir
. — Hé non ! elle est avec son mari ; ils sont le
antôt qu’ils se disoient des choses tendres. Il seroit plaisant qu’il
vînt
passer la nuit avec elle ! Quoi qu’il en soit, el
rilas de le prendre chez lui, & le sacrifie ensuite au Gascon qui
vient
faire la scene suivante. Scene XII. FORLISE, L
m’eût privé du plaisir ... Le Gascon. Eh donc ! jé lé crois bien. Jé
viens
vous rendre un pétit service. Forlise. A moi, Mon
des connoissances : jé né suis pas un sot, un ignorant. Eh bien ! jé
viens
mé présenter. Forlise. Vous ? Le Gascon. Moi-même
lise. Assurément . . . . Voyons donc . . . Mais voici M. Dorilas ; il
vient
fort à propos pour admirer un chef-d’œuvre. Il y
ais tour à tour les conditions et les professions les plus diverses y
viennent
étaler leurs ridicules et leurs vices. D’où vient
plus diverses y viennent étaler leurs ridicules et leurs vices. D’où
vient
donc qu’il en est une—la profession d’avocat — qu
e instant la scène de M. Desfonandrès et de M. Tomès 5 ? Tout cela ne
vient
pas des individus, mais bien de la profession ell
l’audience ne sont pas ouvertes pour que des esprits oisifs ou blasés
viennent
chercher le plaisir dans le scandale, l’intérêt d
incre les autres, voilà sa tâche; et ceux qui, au fond de l’audience,
viendraient
l’entendre comme orateur, ne seront jamais un pub
ndividu ? En quoi cela touche-t-il la profession ? Qu’y a-t-il là qui
vienne
d’elle ? Sont-ce des caractères communs à tout le
contumace, j’ai la voie et conflit de juridiction pour temporiser, et
venir
aux moyens de nullité qui seront dans les procédu
édure (acte II, scène XII) ; et encore prétend-il que ces mots-là lui
viennent
sans qu’il les sache, ou qu’il les a retenus en l
credi, jeudi et samedi de chaque semaine. Le 3 novembre, les nouveaux
venus
commencèrent à représenter en public. Les deux tr
nseil, il prendra un parti. scène ii. Tebaldo et Pandolfo. Tebaldo
vient
à ses ordres. Pandolfo, après avoir rappelé la co
étant, lui Pandolfo, en partie de plaisir avec Ricciardo son ami, ils
vinrent
sur le propos de sa femme qui était grosse. Ricci
, celui-ci voulait l’appeler en duel. Il lui avait offert, avant d’en
venir
là, de lui faire voir la vérité, soit en l’accomp
st convaincu qu’elle aime. Lelio l’assure que toute son inquiétude ne
vient
que de la nécessité de se voir obligée à soutenir
ls blâment Flaminio de vouloir aimer toujours Virginia, et, le voyant
venir
, ils se proposent de le détourner d’une passion q
s ont vu la nuit. Lorsque tous les deux l’ont assuré que Virginia est
venue
ouvrir la porte à Fabio qui est entré et qui est
l a passé la nuit tout entière en conversation avec Virginia, qui est
venue
lui parlera la fenêtre grillée à côté de la grand
Fabio l’épée à la main. scène v. Flaminio, Zucca. Flaminio, voyant
venir
le valet de Fabio, lui demande comment vont les a
ond qu’il y a trop de témoins pour que cela soit possible. Ils voient
venir
Pandolfo et Virginia et se tiennent à l’écart. s
n et sachant le commerce, elle lui rendra de grands services. Il voit
venir
son fils ; il se retire à l’écart, ne voulant pas
Ricciardo répond qu’il attend Tebaldo, et que, dès que celui-ci sera
venu
, Fabio aura le mot de l’énigme. scène v. Flamin
e l’énigme. scène v. Flaminio, Tebaldo, Testa, les précédents. Ils
viennent
tous en riant et en complimentant Tebaldo de l’he
ise sur cette promesse. Tous entrent au logis de Pantalon. Un acteur
vient
dire aux spectateurs que tous les personnages son
Pandolfo, consterné, comprend enfin tout ce qui s’est passé. Tebaldo
vient
à son aide et découvre à Ricciardo et à Fabio que
derniers venus de la comédie de l’art, à Beltrame, à Trufaldin. D’où
venait
ce type de Sganarelle ? Molière l’avait déjà empl
de campagne de laquelle dépend une vigne qu’on nomme Malcrais. Il lui
vint
dans l’esprit de forcer l’inflexible la Roque, ma
aisément quel fut l’étonnement des soupirants, lorsque M. des Forges
vint
à Paris se montrer à tous ses adorateurs. Que d
méditerent. Conaxa invita le lendemain ses filles & leurs maris à
venir
dîner chez lui, leur disant qu’il vouloit les rég
n deux, de l’argent ? Je ne vous en demanderai point, lui dit Conaxa,
venez
seulement : ils se rendirent tous dans son appart
frais du repas, le vieillard avança de l’argent au Traiteur qui étoit
venu
prendre ses ordres. La chere fut délicate & s
s vins exquis en furent l’ame. Après le repas, un facteur du Banquier
vint
demander le vieillard, qui le fit approcher. Mons
A peine fut-il de retour, qu’il s’apperçut du résultat du conseil. On
vint
au devant de lui : Ah ! mon pere, lui dit sa fill
nent le mot à Grégoire, métayer de Géronte & pere de Pasquin, qui
vient
la larme à l’œil annoncer à son maître que le feu
coffret plein de neuf ou dix mille pistoles : & quand ils pensent
venir
recueillir le fruit de leur fausse générosité &am
à toutes ces conquêtes ; il faut abandonner ce vaste royaume ! Il est
venu
enfin le dernier jour ! — Et cependant voyez-la s
is aussi, dans cette foule attentive et studieuse du Théâtre-Français
venue
, chaque soir pour l’entendre, quand elle paraît,
jeune femme se sont donné rendez-vous tous les oisifs de la cour. On
vient
, tout exprès chez cette beauté à la Mode, pour la
s qu’ils puissent montrer à tout venant ; et quant au reste, le reste
viendra
, si veut Célimène. — Et justement voilà pourquoi
expliquée. Quelle est, je vous prie, votre opinion sur Alceste ? D’où
vient
-il, ce gentilhomme qui ne sait ni flatter, ni men
der à pas une des nombreuses exigences de la vie de chaque jour ? Que
vient
-il chercher dans ce monde de courtisans, de flatt
, à vivre ainsi au milieu des élégants mensonges de la cour, d’où lui
vient
cet emportement subit ? Pourquoi tant de colère à
de Célimène qu’en passant et par hasard, de quel droit, je vous prie,
vient
-il dire à chacun ces vérités inattendues ? De que
issante qui célébrait la Saint-Charlemagne, la fête des écoliers. Ils
venaient
, eux aussi, saluer la grande comédienne. De là, g
t aux pieds de sa maîtresse, et comme ses deux laquais tardaient à le
venir
relever, quelques étourdis du parterre se mirent
areille somme au Docteur. Le jour de l’accouchement arrive, une fille
vient
au monde ; Magnifico, ne voulant point donner la
it qu’il l’a accompagné à son rendez-vous ; que Béatrix elle-même est
venue
ouvrir la porte du jardin, & qu’elle a tenu à
resse, cherche par-tout Fédéric : elle le rencontre enfin, le prie de
venir
voir Victoire, l’entraîne en appellant Victoire,
le prie de venir voir Victoire, l’entraîne en appellant Victoire, qui
vient
déclarer sa passion au faux Fédéric. On se doute
nd désespoir de Béatrix qui proteste de son innocence, quand Flaminio
vient
demander Béatrix en mariage, & prie Magnifico
ucindo, ce fils bien aimé, qu’il laissa au maillot à Naples, quand il
vint
s’établir à Rome. Béatrix répond qu’elle se déter
Brighella, qui gémit sur le sort de son maître, & qui, le voyant
venir
, lui annonce que son frere est son rival, & s
grand désespoir, & sort. Un instant après, Diane & Colombine
viennent
sur la scene : elles se réjouissent en voyant Bri
seul. Diane & Colombine qui ont observé tout ce qui s’est passé,
viennent
lui enlever la lettre de Flaminio. Dans le temps
consent, & sort pour s’habiller. Pantalon est enchanté. Flaminio
vient
troubler sa joie, en lui disant qu’il va incessam
entrer Flaminio chez lui. Dans ce temps-là le Docteur & son fils
viennent
armés ; ils se saisissent de Pantalon, qui appell
. Lucile. Ne me soupçonne pas d’être foible à ce point. Marinette. Il
vient
à nous. Eraste. Il vient à nous.Non, non, ne cra
pas d’être foible à ce point. Marinette. Il vient à nous. Eraste. Il
vient
à nous.Non, non, ne craignez pas, Madame, Que je
re. Pancrace. Donc tous ces vieux Savants n’ont pu nous exprimer D’où
vient
cet ascendant qui nous force d’aimer. Les uns dis
mort. Il faut, pour en avoir l’entiere connoissance, Savoir que l’ame
vient
d’une immortelle essence, Et qu’en nous animant,
’un savant qui se tait.Parbleu, tu te tairas. Métaphraste, seul. D’où
vient
fort à propos cette sentence expresse D’un Philos
as travailler à la réputation de son maître. Comment ! lui dit-il, je
viens
à Venise exprès pour défier un rival, pour me cou
que me’muero, de amor... et celui de : Dulce muerte es el amor...
vient
du Bourgeois gentilhomme. La 2e entrée : Le Barba
ès son chant), avec les paroles : Soyez Adèle. Le soin d’un amant..
vient
, comme l’Introduction, du Carnaval de 1668. La 10
rigueur naturelle... Mêlons à la danse la douceur de nos chansons...
vient
aussi, comme l’introduction et la 9e entrée, du C
e n’a qu’une importance secondaire.) Pourceaugnac, bourgeois italien,
vient
demander justice sur ce que deux femmes veulent l
r ! Che t’o fattio ! (bis) Deux opérateurs italiens et six matassins
viennent
pour réjouir » Pourceaugnac dans sa mélancolie, e
. Les paroles qui suivent sont celles des éditions ordinaires ; puis
vient
la poursuite des matassins, mais cette poursuite
successifs d’une même plaisanterie, qui fatigue, — après les avocats,
viennent
les suisses, — après les suisses, les sergents. —
gnac que les avocats ne peuvent s’exprimer sans chanter, mais rien ne
vient
avertir qu’ils connaissent d’avance la question d
c. Lully, après avoir couru longtemps sur le théâtre pour les éviter,
vint
sauter au milieu du clavecin qui était dans l’orc
Scapin, ou turc : Hali. — Sbrigani fait seul exception : la raison ne
viendrait
-elle pas de ce qu’il était destiné à renouer conn
deux musiciennes. — Une danse pour deux mariés; 3° Après la sérénade
viennent
les airs de danse pour les maîtres à danser. — Le
ance à supposer un livret en un acte, avec les modifications que nous
venons
d’indiquer et fourni de musique comme nous le dis
ur la fin de l’acte, le païsan est interrompu par une bergère qui lui
vient
apprendre le désespoir des deux bergers ; mais co
té d’autres inquiétudes, il la quitte en colère, et Cloris entre, qui
vient
faire une plainte sur l’amour de son amant. » Qu
ue faisait ici Georges Dandin ? Après la plainte amoureuse de Cloris,
venait
le deuxième acte: « C’est une suite des déplaisi
ïsan marié, qui se trouve encore interrompu par la mesme bergère, qui
vient
luy dire que Tircis et Philène ne sont pas morts,
arbacola (bis). BARBACOLA. Bona sera, Barbacola (bis), Cosi tardi si
vienne
à la schola ? (bis). LES ECOLIERS. Pardonate noi,
ndre chez Orphise pendant l’absence de son tuteur ; plusieurs fâcheux
viennent
encore à la traverse, & font manquer l’entrev
l’intrigue, & l’on ne se trompe point. Tantôt un homme sans bras
vient
se dire un excellent maître d’armes, & prie P
t : je suois à grosses gouttes. . . . . . . Il me dit tout ce qui lui
vient
dans l’esprit. — Que cette ville est grande ! voi
amis, & qui connoissoit mon homme à merveille. On s’arrête. D’où
venez
-vous ? où allez-vous ? Je commence à le tirer par
elevé de moustache, De galoche, de botte & d’un ample panache, Me
vint
prendre, & me dit, pensant dire un bon mot :
’approuver mon petit jugement. . . . . . . . . . . . . . . . . . . Il
vint
à reparler dessus le bruit qui court, De la Royne
nt-neuf s’acheve ; Si plus en paix qu’en guerre un Empire s’éleve. Il
vint
à définir que c’étoit qu’amitié, Et tant d’autres
. Mais comme Dieu voulut, après tant de demeures, L’horloge du Palais
vint
à frapper onze heures ; Et lui qui pour la soupe
u’il s’en garde, estant grand, s’il est sage. . . . . . . . . . Voici
venir
quelqu’un d’assez pauvre façon. Il se porte au de
ut ce que vous voudrez... Voici l’arrest signé... Non, Monsieur, vous
viendrez
... Quand vous serez dedans, vous ferez à partie..
ne : Je sais par quelles loix un ouvrage est parfait, Et Corneille me
vient
lire tout ce qu’il fait. Là-dessus de la piece il
Reine Mere, Monseigneur d’Orléans son frere, Et Madame pareillement Y
vinrent
par ébattement. . . . . . . . On alla sous une fe
l’Amour frappa la nuit à ma porte. Qui est là, m’écriai-je, & qui
vient
interrompre mon sommeil ? Ouvre, me dit-il, n’app
e vous avez dessein de me faire du mal ? Aglaé. Non, en vérité : nous
venons
vous chercher pour vous emmener avec nous, &
laircir. A peine fut-elle en liberté avec la blonde, que d’abord elle
vint
au fait : elles ne se cacherent rien ; la conclus
gentilhomme qui est un fat, dont nous voulons nous divertir ; il doit
venir
cette après-dînée, il couchera même ici ; il ne f
venoient voir de temps en temps. Sur les onze heures du soir elles me
vinrent
trouver. La brune me dit : Voici ce que nous avon
sommes convenues que nous vous posséderions tour à tour ; ainsi nous
venons
coucher avec vous sans façon. Ah ! scélérates, le
me mirent dans mon lit entre deux draps, équipé comme j’étois : elles
vinrent
ensuite tranquillement se coucher auprès de moi ;
r l’espérance de me venger. Sur les huit heures du matin, une vieille
vint
me démaillotter ; & lorsque je lui demandai o
augure Connoissoit les secrets plus secrets de nature, Qui la chose à
venir
à chacun prédisoit, Par le vol des oiseaux lesque
alheurs Changeront tes chansons en tristesses & pleurs : Le temps
vient
, le temps vient, (Dieu ! faites, je vous prie, Qu
nt tes chansons en tristesses & pleurs : Le temps vient, le temps
vient
, (Dieu ! faites, je vous prie, Que ce que je prév
ous prie, Que ce que je prévois soit pure menterie !) Le temps est jà
venu
, que (ô malheur !) l’étranger, Possesseur de nos
-ci leur apprend que Charles de Lorraine s’est sauvé de prison, qu’il
viendra
bientôt, à la tête de ses amis, délivrer le royau
e lui faire violence. Il se cache auprès d’une fontaine où la Bergere
vient
quelquefois se baigner. Tyrse & Daphné vienne
ntaine où la Bergere vient quelquefois se baigner. Tyrse & Daphné
viennent
sur la scene, & parlent ensemble de l’amour d
atigué de ses grandes occupations, s’échappe d’auprès de Vénus, &
vient
habiter parmi des Bergers. Fortunian est un des p
es, il fut découvert dans le bourg de Tourailles. Le Seigneur du lieu
vint
avec quelques gentilshommes & des soldats pou
ui le cherchent. Elle enferme dans un autre le valet de Rodomont, qui
vient
pour la séduire. Sur ces entrefaites, Tabarin arr
farce Tabarin persuade aussi à Rodomont de se mettre dans un sac pour
venir
chez sa maîtresse, sans être vu des voisins. Les
lla de répondre tac ; ce qu’elle fit. Le galant charmé ajouta : Quand
viendrai
-je ? La femme, instruite par son mari, répondit,
c enchanté, que d’abord qu’on y est enfermé, on a le pouvoir de faire
venir
sa maîtresse. Arlequin, fort amoureux d’Argentine
e pendant la nuit devant les fenêtres d’Argentine. Scapin, son rival,
vient
, entend du bruit, met l’épée à la main. Arlequin,
une famille, & vous vous rendez la fable de la ville. Après cela
viendront
M. Léonard & sa fille. Le premier vous dira :
Léandre. Je saurai me souvenir en temps & lieu de tout ce que je
viens
d’apprendre. Mais je veux venir au fait, & qu
en temps & lieu de tout ce que je viens d’apprendre. Mais je veux
venir
au fait, & que tu me confesses ce que tu as d
inambous, qui demeurent quatre ou cinq cents lieues au-delà du monde,
vinrent
bien autrefois à Paris ; & l’autre jour encor
écumeurs impitoyables ne me vouloient pas accorder la liberté de vous
venir
trouver, si je ne me fusse jetté aux genoux du pl
entendre encore quelque chose de plus fâcheux, ou que le diable ne me
vînt
emporter étant en la compagnie de ces excommuniés
tient au cœur. Géronte. Tiens, Scapin, je ne me souvenois pas que je
viens
justement de recevoir cette somme en or, & je
est encore absurde de vouloir lui persuader qu’une galere turque est
venue
jusqu’au quai de l’Ecole : Moliere sauve cette ex
II. GRANGER, PAQUIER, GENEVOTE. Granger. Mademoiselle, seriez-vous
venue
autant à la bonne heure, que la grace aux pendus
vous en ordonne, c’est de rire avec moi d’un petit conte que je suis
venue
ici pour vous faire. Ce conte toutefois se peut a
ut appeller une histoire, car rien ne fut jamais plus véritable. Elle
vient
d’arriver, il n’y a pas deux heures, au plus facé
c’est l’heure aussi par conséquent que les lambeaux de son manteau se
viennent
rafraîchir aux étoiles. Leur maître ne les expose
les mêmes dans le fond, puisque Zerbinette, à l’exemple de Genevote,
vient
dire au pere de son amant comment on l’a trompé p
es pour un cœur amoureux ! Dures extrémités où je me vois réduit ! Tu
viens
, Sylvestre, d’apprendre au port que mon pere revi
I. Scene IV. Antiphon s’est marié pendant l’absence de son pere : on
vient
lui annoncer que son pere est arrivé, & qu’il
empêtrés de cette... Chrémès. Je sais. Géta. Tout d’un coup il m’est
venu
dans l’esprit de le sonder un peu. Je le tire à p
parler de cette affaire, que cette femme se retire, & que vous ne
veniez
plus nous chagriner. Antiphon. Les Dieux lui auro
voir deux cordes à son arc, c’est-à-dire, deux vieillards à duper. Il
vient
leur dire que Phormion veut bien se charger de la
époux ; &, pour commencer à se venger, elle permet à Phormion de
venir
manger chez elle tant qu’il voudra. Qu’on lise
égligées ? Qu’on me permette de finir cet article par une idée qui me
vient
. Ne seroit-il pas possible à un Auteur de lier to
our solliciter sa grace. Elvire est d’autant plus inexorable, qu’elle
vient
d’apprendre la mort de Dona Ignès, & qu’elle
Ignès, & qu’elle en est au désespoir. Don Alvar se retire. Elise
vient
dire à la Princesse qu’un inconnu demande à être
son amie. Don Garcie, désespéré qu’Alvar n’ait pu obtenir son pardon,
vient
le solliciter lui-même, & veut entrer chez la
ura en effet besoin de combattre, mais que l’heure n’est point encore
venue
. Il lui apprend que la paix est faite, que le bru
mire que la Duchesse de Tyrol l’assure de ses respects, & qu’elle
viendra
lui rendre ses hommages, si elle est sure que sa
endre qu’il est entré un homme dans l’appartement de Delmire. Il voit
venir
Délia, suivante de la Princesse, & Florente ;
le absence. . . . « la mort ! Reviens ici au moins par pitié. . . . «
Viens
trouver celle que ton éloignement. . . . « Adieu,
rtement : il jure que Delmire, Délia & Florente mourront. Il voit
venir
la Princesse, il se contraint pour la mieux confo
ez elle. Elle cherche dans sa mémoire avant que de répondre. Florente
vient
en cherchant sa manchette. Le Roi lui demande ce
era la mort ! Reviens ici, au moins par pitié, si ce n’est par amour.
Viens
trouver celle que ton éloignement fait languir. A
ente le cabinet de Delmire. Elle écrit à la Duchesse de Tyrol. Le Roi
vient
à petits pas. Il brûle de lire ce que son amante
edre entend le bruit des armes, & sort du cabinet en disant qu’il
vient
défendre sa sœur. A ce mot Rodrigue voit qu’il s’
on par l’opinion. Rodrigue. Mais que voulez-vous que je fasse si vous
venez
sur moi avec une attaque imprévue qui déconcerte
âcher quelques maugre-bleu : elle lui fait avouer ensuite qu’elle est
venue
autant pour Don Pedre que pour Delmire. La Duches
. Rodrigue. Parlez donc. Delmire. Loué soit le Ciel ! Ton emportement
vient
d’avoir vu dans ma chambre Don Célidoro, ce jeune
i vient de lui arriver, & Arlequin le croit fâché de l’avis qu’il
vient
lui donner. Enfin Arlequin lui dit que des étrang
e italienne doit nous paroître gauchement amenée ! comme la françoise
vient
naturellement ! comme elle doit confondre le Prin
conduit par le hasard, la soutient, & la porte chez elle. Camille
vient
; elle dit qu’elle va tout préparer pour son mari
. Les deux époux armés restent un instant seuls sur la scene ; Scapin
vient
se jetter entre eux, leur demande quel est le suj
’empare de la lettre qu’elle a fait écrire, & veut la tuer. Célio
vient
la défendre, & rentre avec elle. Arlequin dés
er la main au Docteur, parcequ’elle est piquée contre Célio. Arlequin
vient
lui raconter toutes les perfidies de sa femme ave
l’emmene de force. Arlequin est dans la plus grande colere. Eléonora
vient
, & lui demande ce qui le chagrine ainsi. Arle
re la vraisemblance. Piece Italienne, Acte II, Scene III. Arlequin
vient
au secours d’Eléonora, & l’emporte chez elle.
enne, Acte II, Scene X. Eléonora reconnoît de sa fenêtre Célio : elle
vient
demander ce qu’il est devenu à Arlequin. Celui-ci
aimerois bien autant boire de la ciguë. Un œil crevé ! Mon Dieu ! que
viens
-je faire ici ! Que je suis un grand sot de m’hasa
çons. Mon cartel est reçu, je n’en fais point de doute : Mon homme ne
vient
point ; peut-être il me redoute. Hélas ! plaise a
ème acte de L’École des femmes, de L’Avare, des Fourberies de Scapin,
viennent
plus directement de la comédie italienne que de l
rappelez cette entrée en scène du Dépit amoureux, lorsque Mascarille
vient
trouver Albert et que celui-ci, à chaque parole,
h ! qui te peut amener. Mascarille ? MASCARILLE. Je
viens
, monsieur, pour vous donner Le bonjour. ALBERT.
MASCARILLE. Oui ; mais je
viens
encore Vous saluer au nom du seigneur Polidore. A
antalon l’argent dont Oratio, fils de Pantalon, a un besoin pressant,
vient
lui raconter que ce fils est tombé entre les main
ascarille, et par elles la dernière période de la carrière de Molière
vient
se rattacher à son commencement. Molière ne se ra
vaguement, tant l’intérêt présent nous occupe. Quelque autre Molière
viendra
peut-être, qui, dominant de son regard ce vaste t
où cessa l’intime liaison du roi avec madame de La Vallière, et où de
vint
exclusive celle qu’il eut avec madame de Montespa
e de Tournay, le 6 juillet suivant. Après la prise de Tournay, le roi
vint
passer quelques jours à Compiègne. Pendant ce séj
elles il mêle madame de Montausier. Elle n’eut pas achevé cela, qu’on
vint
lui dire qu’elle (madame de Montausier) la demand
tiers lorsqu’elle (madame de Montausier) lui conta que son mari était
venu
lui dire mille injures, dont elle paraissait si o
quis de Montespan trouva sa femme chez madame de Montausier, quand il
vint
faire avanie à celle-ci : et au contraire le réci
ur les nobles admirateurs du grand poète, si de nouvelles lumières ne
viennent
en détruire l’effet. Et il sera plus fâcheux enco
rdinairement un flambeau en plein jour, elle vit une grande femme qui
venait
droit à elle, et qui, lorsqu’elle en fut proche,
sier qui était malade à Paris depuis longtemps : l’origine de son mal
venait
d’une peur qu’elle avait eue dans un passage derr
bertinage ; il la bat. Elle projette de se venger. Valere & Lucas
viennent
seconder ses desirs : ils cherchent un Médecin po
onte veut faire pendre le docteur, qui gémit sur son malheur. Martine
vient
le consoler, & ne veut le quitter que lorsqu’
orsqu’il sera pendu. Heureusement pour lui Léandre ramene Lucinde. Il
vient
d’apprendre que son oncle est mort, qu’il est son
que son époux avoit un remede infaillible pour la goutte : on le fit
venir
. Cet homme, étonné, eut beau protester qu’on le p
t pas tant donné ». Tandis qu’elle se plaignoit de la sorte, elle vit
venir
deux couriers de Cour qui lui demanderent à dîner
ès avoir enlevé Lucinde, la ramene à son pere. Léandre. Monsieur, je
viens
faire paroître Léandre à vos yeux, & remettre
que je veux la recevoir. Ce que je vous dirai, Monsieur, c’est que je
viens
tout-à-l’heure de recevoir des lettres par où j’a
senta pour défendre la prétention des comédiens français, et Arlequin
vint
pour soutenir celle des Italiens. Après le plaido
nt moins, que la ressemblance fut plus grande entre eux. En effet, il
vint
un moment, et ce moment coïncide à peu près avec
ent tout le reste. » Bon ou mauvais, vrai ou faux, tout cela ne nous
vient
pas d’au-delà des monts. Nos aïeux, du treizième
ur dû. À cela, mot, point de réponse. Ils s’assemblent, ils vont, ils
viennent
, ils se tourmentent. À la fin, désolés de votre a
yant appris que vous vouliez pourvoir à toutes ces petites choses-là,
viennent
vous offrir un million ou douze cent mille livres
. Voilà une plaisante bagatelle. Laquais, ne vous avisez jamais de me
venir
interrompre pour des gueuseries de cette nature-l
. St, st, st, monsieur de La Ressource, dites-moi, je vous prie, d’où
vient
que ces messieurs-là sont en grand deuil ? ARLEQU
e empire, les maris sont-ils commodes ? ARLEQUIN. La mode nous en est
venue
presque aussitôt qu’en France. Dans les commencem
s. Et puis, sur les quatre ou cinq heures après minuit, les femmes se
viennent
coucher dans un appartement séparé de celui du ma
Sa Majesté ne jugeant plus à propos de les garder à son service. D’où
venait
cette soudaine et brutale mesure ? On prétend que
trajet d’un siècle et demi que nous avons accompli. Il est temps d’en
venir
aux conclusions que nous avons eues principalemen
la plume, en dehors de toute ambition littéraire ; où en voulez-vous
venir
, avec tout votre style ? à prouver que vous êtes
intelligences médiocres. Une des fêtes de l’esprit, c’est d’aller, de
venir
, d’être écouté, d’être suivi, d’être obéi, applau
omédien-Français eût appris plus facilement dix mille vers du premier
venu
, que Le Festin de Pierre, tel que l’écrivit Moliè
ie de Molière, mademoiselle de Brie, sa fidèle conseillère, celle qui
venait
en dernier ressort, après la vieille Laforest. J’
ion funeste, j’ai évoqué un monstre pire que toi, un abominable démon
venu
du fond de l’abîme, le démon de l’hypocrisie, et
ime de tes désirs impuissants ! Va-t’en ! va-t’en ! pauvre diable mal
venu
au monde, horrible avorton dont je ne sais que fa
« que les libertins et les esprits forts passeront, parce qu’un jour
viendra
où tout sera tenu dans l’indifférence, excepté le
ance, livré à toutes les corruptions de l’esprit et des sens. Laissez
venir
seulement ces deux corrupteurs de la morale et de
eulement ces deux corrupteurs de la morale et de l’innocence, laissez
venir
Louis XV et Voltaire, alors Don Juan le scélérat,
e siècle était en suspens, dans l’attente du chef-d’œuvre qui allait
venir
, bref, on ne savait rien de Tartuffe, sinon dans
sien veut rire à tout prix ; mais cette fois, ce Don Juan, ce nouveau
venu
dans le domaine de la comédie, n’est pas et tant
a que Don Juan fit peur à ces timorés et timides esprits. Ils étaient
venus
au théâtre tout exprès pour y voir une statue qui
endre sa revanche sur ce monde catholique qui a proscrit la comédie !
venir
les chercher, jusqu’au pied de l’autel, ces homme
. Ce qui fut dit fut fait. Thomas Corneille fut humblement supplié de
venir
en aide à l’esprit, à la prose de ce pauvre Moliè
Don Juan dans la tombe du Commandeur et la terrible péripétie qui va
venir
? In flammas et in arma feror. Pourtant, en dé
ces obstacles aux fureurs de Don Juan, le véritable avertissement lui
vient
du fantôme ; une fois que le fantôme pénètre dans
s ; il vient de faire profession publique d’hypocrisie religieuse, il
vient
même de refuser un duel, et vous voulez nous fair
Propriété c’est le vol. C’était le 11 décembre 1848, — la France
venait
d’entrer dans une nouvelle fièvre électorale, et
u’est-ce que cela, le pauvre ? Cela, c’est un obstacle imprévu ? D’où
vient
cette montagne qui soudain s’oppose à nos volupté
pas, à vous, à enseigner au pauvre qu’il n’y a pas de Dieu ! Un temps
viendra
où d’autres seigneurs, des catéchistes plus hardi
e ; qui se garda bien de nous ramener ce mendiant qui était le si mal
venu
dans ce drame de joie, de duels, de dettes non pa
oilà la voix sépulcrale qui s’écrie : — « Don Juan ! je vous invite à
venir
souper demain avec moi ! En aurez-vous le courage
eure aura sonné, M, Dimanche arrivera avant le pauvre ; le premier il
viendra
pour vous dépouiller de vos habits d’emprunt, pou
ns, et quand enfin les devoirs et les droits de l’art étaient sauvés,
venait
la leçon qui n’était que plus profitable pour êtr
plein d’embûches, ce destructeur de nos plus chères libertés, ce mal
venu
qui a fait reculer trente-deux millions d’hommes,
’outre d’Éole, ne sera pas fâché de lire ce chœur d’Aristophane où la
venue
du communisme était prédite, il y a tantôt trois
i votre maître vous a prêté sa gousse d’ail pour frotter votre pain ;
venez
, accourez tous ; notre affaire est au point où vo
que nous veux-tu ? Proudhon. Ce que je veux ? Êtes-vous sourds ? Je
viens
vous dire et je vous répète que je viens changer
veux ? Êtes-vous sourds ? Je viens vous dire et je vous répète que je
viens
changer votre misère en opulence, votre travail e
est la fortune, elle est la force, elle est la gloire ; d’elle seule
vient
le charme du foyer domestique ; elle donne la pui
ause grasse, et leurs discours étaient un peu gras de saupiqué. Puis,
venait
dame Poucette, qui chantait une chanson restée à
s que M. Alexandre Dumas, qui voulut bien, pour cette fois seulement,
venir
en aide à l’esprit de Molière. Cette mise en scèn
cène, la sauce et le poisson ! Inde mali labes ; de cette confusion
vint
tout le mal, car, pour ce coup-là, il n’y avait p
trée par bonheur, une adorable comédie ! Eh bien ! un homme de talent
viendrait
aujourd’hui qui arrangerait, de bonne sorte, les
! représente l’intérieur de ce couvent des Carmélites de Chaillot où
vinrent
expirer tant de haines, où furent expiées, si cru
andeur de Louis élève l’âme au-dessus d’une vile tentation. Il semble
venir
sur la terre pour élever et pacifier nos pensées
La Vallière. Au second acte, Bragelone, inquiet pour sa fiancée, s’en
vient
dans les jardins de Fontainebleau pour savoir que
« Belle dame quand tu parles, je rêve ce que devrait être l’amour. Tu
viens
implorante et tu restes juge ; oh ! je m’agenouil
e personne que rencontre le moine chez la duchesse, c’est le roi, qui
vient
voir comment vont les amours de Lauzun ? Alors, v
du grand roi, M. Bulwer aurait bien dû interroger le premier écolier
venu
; celui-ci lui eût rappelé la conduite du roi, qu
contenait l’injure avec la réparation. » Voilà un poète anglais bien
venu
à faire dire à Louis XIV : On n’a jamais dit que
own anglais en récitant, à propos de mademoiselle de La Vallière, qui
vient
d’entrer aux Carmélites, une longue plaisanterie
, très actif, très varié, très compliqué. Peut-être bien ce défaut-là
vient
-il justement de cette louange que nous donnions t
riage. Quand il a dit à sa victime : Je vous épouse ! il a tout dit ;
vienne
un accident qui mette quelque bâton dans la roue
dans la roue de ses projets, aussitôt il s’en console, et la première
venue
, pourvu qu’elle le veuille épouser, lui fait oubl
rlotte se défendait si bien contre Pierrot ! La scène suivante, quand
vient
Charlotte, est encore d’une grâce achevée ; mais
om de l’humanité, de même Don Juan peut se faire tuer pour le premier
venu
, au nom de ce point d’honneur qui remplace tous l
d’épouvante, et maintenant voici que Dona Elvire, une dernière fois,
vient
chez vous, et, chose étrange, vous la trouvez bel
où j’écris ces pages funèbres, dans ce cabinet où si souvent elle est
venue
, et dans ce fauteuil où elle aimait à s’asseoir,
rs. Voilà le seul fil par lequel seront reliées les comédies qui vont
venir
; seulement il faut prévenir le lecteur que madem
elle se retrouvera dans les œuvres modernes, avec les poètes qui vont
venir
, Hélas ! elle appartenait non seulement à Molière
, que les juges donnèrent gain de cause à l’Hôtel de Bourgogne. Ordre
vint
aux Confrères de la Passion de fermer leur théâtr
elui-là qui avait fait agir à son gré la comédie des anciens âges, il
venait
dans les entractes, presque à genoux, pour ranime
parlent, on pourrait aisément s’y tromper), ce maudit Prince des Sots
viendra
nous enlever les applaudissements, l’attention et
our des vendanges ? Il vécut ainsi sept jours encore. Le dernier soir
venu
, ces messieurs et ces dames de l’Hôtel de Bourgog
glissait derrière ces grandes toiles une foule oisive et curieuse qui
venait
chercher, à l’entour de ces tréteaux, comme un so
s marionnettes ont la bouche close, par arrêt même du Parlement. D’où
vient
cette fête ? et pour qui, juste ciel ! et pour qu
assait dans les travaux ou dans l’oisiveté de sa profession ; le soir
venu
, vous retrouviez l’amateur à sa place accoutumée,
ve de ce digne homme, que si par hasard un curieux de la province fût
venu
pour s’asseoir dans cette stalle réservée, Hermio
riés : — Arrête ! profane, tu es assis à la place de l’amateur qui va
venir
! Comprend-on, je vous prie, que la vie d’un homm
meux, Tancrède, Gengis-Kan, Zamore, Vendôme ; que dirait Lekain, s’il
venait
à apprendre qu’Orosmane aujourd’hui s’appelle Oth
il a repris son nom primitif ? Avec Lekain, après lui, à côté de lui,
venaient
plusieurs tragédiennes dont on parle encore, made
ple. La première obéissait à l’inspiration, et quand l’inspiration ne
venait
pas, tant pis pour vous et tant pis pour elle ; l
profane cimetière des comédiens évanouis, je préfère, eh oui ! quand
vient
la semaine sainte, à l’heure où le printemps va s
n cheveux blancs, les Dugazon en retraite, les Elleviou à la réforme,
viennent
chercher une planche, garnie d’un quinquet, afin
’un autre pauvre diable de leur espèce, un directeur de province, les
vienne
passer en revue, comme ferait un amateur de cheva
s gens, braves gens, que rien n’abat, que rien ne décourage. Ils sont
venus
au monde apportant, pour tout capital, beaucoup d
firme, délaissé, abandonné, privé de sa beauté qui était sa force, ne
vienne
encore se traîner sur les bancs du Café des Coméd
rdu, ou, si vous aimez mieux, un enfant trouvé de Molière. Elle était
venue
au monde dans la propre maison de M. Orgon ; Dami
les mains d’une jeune dévote priant le bon Dieu pour son amant qui va
venir
. Hélas ! et sitôt est venue à la suite de la prem
priant le bon Dieu pour son amant qui va venir. Hélas ! et sitôt est
venue
à la suite de la première jeunesse, de la vraie,
ie, une seconde jeunesse, et avec cette jeunesse de seconde main sont
venus
les rôles de la grande coquette ! Célimène a frap
jeunes qu’elle rencontre, elle sourit en leur disant : — Jeunes gens,
venez
en aide à votre grand-mère ! Prêtez-lui un peu de
s de ce dieu-là, nous sommes à peine ses bâtards, à soixante. Allons,
venez
à mon aide, enfants, je n’ai rien à me reprocher,
bles que nous trouvions en chemin, les mains gelées sur leur fusil. —
Venez
à mon aide, je sais par cœur tout le répertoire d
suis vieille et rieuse, parce que je suis pauvre et seule. Une autre
viendra
demain, riche, jeune et jolie, vous demander ce q
ne ! » Il exécrait la bassesse et les basses œuvres ; d’un poète bien
venu
à la cour : — « Le roi, disait-il, dont il faisai
médiocre qui soit excellent tous les jours, à toute heure, au moment
venu
, quand tout est bien mesuré, combiné, appris, ord
out au rebours, la Dumesnil déchaînée ! À peine lâchée, elle va, elle
vient
, elle fait bondir la planche ébranlée. Elle s’arr
entre vos bras. Quoi de plus juste, à tout prendre, et de quel droit
viendriez
-vous exiger de cette créature à part qu’elle se p
oui ! À quoi la voisine répond : — Parme, n’est-ce pas l’endroit d’où
viennent
les violettes qui n’ont pas d’odeur ? Mais qui vo
duc de Parme compte parmi ses comédiens un certain Mégani, qui est de
venu
très amoureux d’une jeune ouvrière nommée Paula.
ut-être sifflés la veille, à coup sûr inquiets pour le soir ! Et vous
viendrez
vous dire ensuite tout naturellement, en présence
eau ? cette petite Paula, à qui nul n’accordait un regard, quand elle
venait
aux premières galeries pour rire ou pour pleurer
embarrassées à écumer leur pot, à acheter leur poisson à la halle, à
venir
à pied au théâtre, à faire dégraisser leurs gants
me à accepter un petit rôle dans ces comédies ainsi montées ! — L’été
venu
, quand toute chose est en fleurs, il dresse son t
dorable commencement de la comédie ; Le Mariage forcé. — Enfin, quand
vient
l’automne, à l’anniversaire de l’art dramatique d
rospere que hoc die operis processit mihi31. La perte de M. Odry lui
vint
d’une tentative assez malséante, qui lui fut tour
me politique, à force d’être naïf. Puis, enfin, la vieillesse lui est
venue
tout d’un coup, comme elle arrive aux pauvres dia
pitaine a tout supporté sans trop se plaindre ; son heure n’était pas
venue
. Mais, juste ciel ! comme il a pris sa revanche d
plus vieux médecins ? — Monseigneur ! répond Gillette, songez que je
viens
à vous par la volonté de Dieu. Rappelez-vous que
ent défaillir. Quand le parterre put comprendre enfin à quel drame il
venait
d’assister, le parterre applaudit à outrance… il
peine trente-six ans, il avait, lui aussi, gardé tout son esprit, il
venait
d’entrer dans la grande fortune de son père ; il
uvres hères qui perdent la raison avant de perdre la vie, et qui s’en
venaient
, naturellement, sous ce toit hospitalier, pour ch
t des corps qui les subissent ! Jeune encore, le docteur Blanche a vu
venir
à lui, à demi fous d’épouvante, les vieux poètes
médie lui prodiguait ses plus folles et ses plus enivrantes caresses.
Venez
… cela sera curieux de voir comment le souvenir de
s malicieux et le plus charmant peut surgir de toute cette misère ! —
Venez
, vous verrez l’abîme dans lequel se débat ce malh
! Alors il reparaît. À l’instant où il reparaît, à l’instant où il va
venir
, on tremble ; le frisson se répand dans la salle.
, les comprend-il ? Et si aucune de ces finesses ne lui échappe, d’où
vient
que demain, tout à l’heure, il lui sera impossibl
, j’allais me mettre en colère. Le maître tailleur. « Je n’ai pu
venir
plus tôt et j’ai mis vingt garçons après votre ha
on aise, et même le prologue, en guise d’invocation au jeune Roi, qui
venait
d’ajouter la Franche-Comté à la France, atteste u
au peuple romain ; il ne veut pas d’autre client, d’autre protecteur.
Venu
dix-huit ans après Térence, ce digne enfant de Mé
les. Cette comédie est la fille des vendanges et du hasard ; elle est
venue
à Rome du fond de l’Étrurie, colportée sur tous l
icatesse française. Il est riche ! la belle excuse pour un public qui
vient
d’applaudir Le Misanthrope ! — Mais, reprennent l
, quelquefois même son sommeil à ses côtés ! » Au même instant l’idée
vient
au jeune homme de prendre l’habit de l’esclave ;
ils de la comédie de Térence, quoi de plus facile aux traducteurs qui
venaient
à la suite de Molière, que de donner une physiono
! Comment souffrir que l’insulte, en présence de la multitude avide,
vienne
salir vos traits, votre honneur, votre famille et
Providence divine, l’immortalité de l’âme, les espérances de la vie à
venir
; il est mort pour avoir parlé à cette république
ns trêve aux accusations de meurtre, et, s’il se peut, cherchons d’où
vient
donc la gaieté de cette incroyable comédie qui fa
d’Aristophane ! Quelle est cette belle courtisane athénienne qui s’en
vient
sur les bords de la mer Égée prendre un bain dans
tacle peu consolant des ridicules et des vices de l’humanité. « Cela
vient
, dit Aristote, que la comédie peint l’homme plus
e la comédie peint l’homme plus laid qu’il n’est en effet. » — « Cela
vient
, dit Platon, que les fables des poètes sont les m
ances approche ; il est temps de compter ses ressources. Alors l’idée
vient
au vieillard d’aller frapper à la porte d’une éco
ompeur. — Mais, direz-vous, de quel droit votre nouveau poète comique
vient
-il ainsi passer la comédie de Molière à l’alambic
cin imaginaire. Anna arrive chez le docteur Loewe comme si elle était
venue
à la nage. L’eau ruisselle de ses habits ; ses ch
ait dit : Je vous aime ! ce qui est un grand point ; mais quand elle
vient
à savoir que le baron aimait autrefois une jeune
Amélie a regretté quelquefois cette lourde couronne, son regret n’est
venu
qu’aux mauvais jours, quand à la place de la cour
esprit et de ses sens. Était-ce la faute de Molière ? Eh ! donc, cela
venait
tout simplement de ceci : ce beau siècle était en
nouvelle, on s’inquiète, on s’informe, on s’agite. De quel côté nous
viendra
le nouveau poète ? Quel est son nom ? Où se tient
ont les petits enfants avaient peur. — Vive la joie autour du nouveau
venu
! Vive le vin, la bonne chère, les coups d’épée,
ir d’une comédienne c’est d’être jeune et d’être belle ; que le reste
vient
tout seul, et qu’après tout, deux beaux yeux bien
ent ces gens-là qui restèrent bien surpris, quand Regnard, ce nouveau
venu
, les força à rire de si bon cœur ; quand dans ses
ible. Sa gaîté partait de l’âme, non des lèvres ; sa bonne humeur lui
venait
tout simplement de ce qu’il était tout à fait et
mac, sans autre ambition que celle qu’il pouvait satisfaire, laissant
venir
à lui la gloire sans faire un pas au-devant d’ell
ertain pressentiment qui lui faisait deviner les mœurs d’une époque à
venir
, et cette époque était proche. En effet, les comt
Joueur de Regnard. Vous vous rappelez peut-être une sombre tragédie,
venue
des pays du Nord : Trente ans ou la Vie d’un joue
jeune encore, mais pâle et déjà ridée, attendait un homme qui devait
venir
. Autour de cette femme, quelle misère ! Décente m
er, cette chaîne d’une montre absente, tout indiquait chez le nouveau
venu
l’élégance et la fortune. — Signes trompeurs ! de
itive. L’une résiste aux siècles, l’autre est emportée comme elle est
venue
, par la mode. Tartuffe, Alceste, Célimène s’en vo
e ce M. Charles qui s’en va ; une autre fois, c’est la belle-mère qui
vient
en aide à la belle-fille ; toutes les complaisanc
s savez ce que disait ce gentilhomme anglais au roi Louis XV : — Vous
venez
faire l’amour à Paris ? disait le roi. — Non Sire
jouer sa comédie, ne fût-ce que pour chercher à s’expliquer d’où lui
venait
l’amitié de Molière, le mépris de La Bruyère et l
ouveauté ? Cet homme à bonnes fortunes, ce Moncade, qui est-il ? D’où
vient
-il ? C’est un nommé Moncade, un beau, d’un certai
on, à Moncade : Faites-vous réponse ? — Moncade : Non ! — Le grison :
Viendrez
-vous ? — Moncade : Non ! » — La galanterie du xvi
pour y chercher Moncade. De quel droit, je vous prie, cette Araminte
vient
-elle ainsi, chez sa voisine, pour y prendre, de f
Lucinde n’a-t-elle pas bien le droit de dire à madame Araminte : Que
venez
-vous faire ici, je suis chez moi ? Araminte arriv
x dames abusent étrangement de l’abnégation de madame Lucinde ! Elles
viennent
chez cette dame, uniquement pour se disputer l’am
de Moncade devait le prévoir, l’affaire des diamants et de la montre
vient
à se découvrir. Aussitôt Cidalise et Araminte, qu
pour battue. On appelle un certain grison qui promet d’être exact, de
venir
, sur le minuit, chez Moncade, et de lui bander le
, savant, hardi, qui vivait dans Paris comme un Bohémien, qu’il était
venu
au monde pour attirer à soi la comédie et pour la
pour les guérir de leur amour, de les laisser mourir de faim. La faim
vint
, plus tard qu’on ne l’eût espéré ; mais quand ils
notre chevalier ; mais, d’autre part, la vieille baronne en est déjà
venue
à donner des arrhes ; madame Patin a quarante mil
sse, on s’y tue. L’hôtellerie voisine est encombrée de militaires qui
viennent
tout exprès pour apprendre comment on pressure un
mmes lui ont rompu la tête. — Arrive à son tour M. Bonaventure : s’il
vient
un peu tard, c’est que deux mille carrosses qui r
oup sur coup, trois poètes comiques contemporains, on se demande d’où
vient
donc un pareil succès, et comment il se fait que
t confusément que Don Juan et Don Quichotte, deux héros du même pays,
venaient
mettre un terme, celui-ci par ses insolences et c
, quand il insulte une femme, voit au moins les frères de cette femme
venir
lui demander raison de leur honneur ; nos chevali
e Don Juan de Molière est de 1665 ; celui de Regnard est de 1690 ; il
venait
quatre ans après celui de Baron ! Mais quoi ! il
cteur peut se rappeller le Festin de Pierre : & la Religieuse qui
vient
y faire deux scenes larmoyantes, n’est-elle pas b
. On a mis du complot un subtil Napolitain nommé Sbrigani, qu’on voit
venir
, & qui nous apporte des nouvelles ; nous les
stances de son rival, & va avec Sbrigani chercher ses hardes pour
venir
bien vîte se jetter entre les mains de ses ennemi
eaugnac le prie de lui enseigner le logement de M. Oronte, parcequ’il
vient
épouser sa fille. Sbrigani feint d’être surpris ;
lui dit ; il veut voir le Médecin l’épée à la main, lorsqu’une femme
vient
, & augmente encore son embarras. Scene VIII.
consulter des Avocats, & l’acte finit. Les Avocats chantants, qui
viennent
sur la scene, tiennent encore absolument à l’inte
lez le voir, & vous serez surpris. Scene VIII. Sbrigani, voyant
venir
Oronte, feint d’être désespéré, & lui annonce
chant des Auteurs comiques, mais qu’il auroit pu l’être davantage. Je
viens
, je crois, de faire voir clairement l’une de ces
son masque une gaze très légere. Quatre exemples vont successivement
venir
à l’appui de ce que j’avance. LE LACS D’AMOUR DIV
il n’effectue rien de ce qu’il promet, elle le renvoie, & en fait
venir
un autre appellé Faire, qui tient tout ce qu’il a
cela. Ce mal la prit avec violence. Marille. C’est un air empesté qui
vient
, dit-on, de France. . . . . . . . . . . . . . . .
Ha ! que l’on me soutienne ! Je sauterai bien mieux avant que l’hiver
vienne
. N’a-t-on rien qui me pût fortifier le cœur ? Mar
sur les secours du Médecin Allemand : par malheur il a la goutte ; il
vient
trop tard. Enfin, les Médecins concluent à faire
. . . . . . . . . . . . . . . . . . La Hollande. Que mes violons donc
viennent
dans le sallon. Le François. Hé ! nous vous feron
des champs & une houlette, dès que sa rose seroit fleurie : elle
vient
d’éclore. La mere surprise de voir la rose si-tôt
e, défend à sa fille d’y laisser toucher, jusqu’à ce que l’Hymen soit
venu
la cueillir sur le rosier. Elle va le chercher. R
famille. Soixante-quinze documents authentiques, entièrement inédits,
venaient
éclairer d’un jour nouveau la personne de Molière
risme. Et voilà qu’au lendemain des Recherches d’Eudore Soulié, Jal y
vint
apporter un supplément de premier ordre en publia
tre aimé. Nul rapport saisissable entre Arnolphe et Molière : Molière
venait
d’épouser, et Arnolphe n’épouse pas. Et quelle re
moments n’étaient pas des sœurs de Sainte-Marie, « mais de celles qui
viennent
ordinairement à Paris quêter pendant le carême »
ur ce fut pour lui, quand son fils aîné, à peine à vingt-un ans, s’en
vint
lui réclamer une part de sa légitime ! Ne lui ava
avons pas à parler ici, les ayant longuement racontées ailleurs. Elle
venait
.retrouver le baron de Modène, délivré d’exil par
avec son frère Joseph, sa sœur Geneviève et sa mère, Marie Hervé, qui
venait
elle-même d’accoucher d’une fille, le père de tou
ureur au Châtelet, et, suivant d’autres, huissier des eaux et forêts,
vint
à mourir. Comme il ne laissait rien que des dette
se fait bientôt sentir, et les actes en témoignent. Les honneurs sont
venus
, mais l’argent est resté en route. L’oncle du jeu
eux enfants. Avec Corneille, avec Racine, avec La Fontaine,, qui nous
venaient
, l’un, d’une grande ville normande, les deux autr
belle, et, qu’en cela, Paris courait risque d’être surpassé. Molière
vient
, et il suffit pour rétablir l’équilibre. Avec lui
tain temps fixée à Paris, n’en était pas originaire. On a dit qu’elle
venait
d’Écosse, et que Molière aurait eu pour ancêtre u
appartient par ses racines, comme par le reste. C’est de Beauvais que
vinrent
les Poquelin. Dès la fin du XVIe siècle, ils y ét
vanité. En 1769, sur une invitation de l’Académie française, il était
venu
assister à la lecture de L’Éloge de Molière par C
princes de la Maison royale, et c’est ce qui parait l’avoir décidé à
venir
à Paris. Malgré son titre, malgré ses armoiries,
ût, cette fois, à se plaindre d’une mésalliance. Marie Cressé, qui ne
venait
que d’avoir vingt ans, • quand il l’épousa, était
at les plus vantées de Paris ; les valets fripons, comme La Flèche, y
venaient
en fourniture chez Francœur, l’illustre épicier ;
e, l’amusaient aussi, par tout ce qu’il entendait dire aux valets qui
venaient
faire les commandes. Ces très grands seigneurs lu
taines circonstances, moitié de galanterie, moitié de politique. Elle
venait
retrouver le baron de Modène, délivré d’exil par
tat de se payer, même à bas prix, le plaisir du théâtre ; personne ne
vient
donc. La gêne se fait bientôt sentir. De nouveaux
udore Soulié, n’en témoignent que trop. Les honneurs, toutefois, sont
venus
, si l’argent est resté en route. L’oncle du petit
pur, aussi vrai que celui des hommes primitifs à qui l’idée en était
venue
, aurait pu la trouver de lui-même. Cette chanson,
n est de l’instruire, la confidence de ce qu’il souffre ; mais il lui
vient
du cœur je ne sais quelle crainte de communiquer
de la consolation par les larmes, l’occasion d’en répandre était déjà
venue
pour lui. C’est cette année-là que commencèrent s
us saviez ce que je souffre, vous auriez pitié de moi. Ma passion est
venue
à un tel point, qu’elle va jusqu’à entrer avec co
esse, sans en pouvoir triompher ? » Ne vous semble-t-il pas que vous
venez
d’entendre parler Molière lui-même ? Quant à moi,
r, du temps que Molière faisait les Femmes savantes, Boileau, l’étant
venu
voir, le trouva qui sortait pour s’aller promener
oses se passèrent, d’après l’auteur de la Fameuse comédienne. Molière
venait
d’achever son Malade. Dans l’intention d’offrir à
mes désirs. O célestes plaisirs, doux transports d’allégresse !
Viens
, Mort, quand tu voudras, Me donner le trépas
ur que nous nous intéressions à elle ; mais la lettre de Chapelle est
venue
éveiller cet intérêt et le rendre fort vif. On y
ecture et de faire même trêve à tout autre entretien ; car le nouveau
venu
était homme à se rendre tout d’abord maître de la
de Grignan. Après de longs saluts et d’interminables politesses, qui
vinrent
heureusement en aide au noble comte pour cacher s
. Mais cria ne conclut pas que cette statue ait remué la tète et soit
venue
se mettre à table chez le don Juan de la comédie,
effet, et fort bien. L’envie nous prend, cependant, d’expliquer d’où
vient
l’erreur ; pourquoi Molière fut obligé de l’admet
ançaises surgir et graviter autour de la pièce italienne. La première
venue
est la comédie que Dorimond fit jouer, à Lyon, en
deur, dont la statue s’anime, le nom de Pierre, ainsi que de Villiers
vient
déjà de vous le dire. De là l’erreur du spectateu
le public routinier n’eût pas reconnu le sujet en vogue et ne fût pas
venu
voir la pièce ; Molière fit le contresens, comme
L’occasion était bonne, car justement alors la reine-mère, en faisant
venir
en France une troupe de comédiens espagnols, aux
’il n’invente rien. Comment la scène présente a-t-elle pu survivre et
venir
jusqu’à nous ? C’est ce qui nous reste à prouver
quelque peu raccourcie et amendée. La précaution fut inutile : ordre
vint
du lieutenant de police, M. de la Reynie, d’avoir
ène, d’eux-mêmes, et sans attendre les ciseaux de la Police, qui n’en
vinrent
pas moins pour cela. L’éditeur de Hollande, au co
eption qu’on lui donne ici ; j’en pourrais citer vingt exemples. D’où
viendrait
alors que Molière ne l’aurait pas connu et n’aura
u sujet de cette scène, et peut-être pour expliquer comment l’idée en
vint
à Molière. Un jour, il revenait d’Auteuil à Paris
laindre à M. le comte d’Aubusson, père de M. de la Feuillade : — « Je
viens
, monsieur, lui dit-il, de voir monsieur votre fil
ibution, détestables, comme tout le reste de la vie à laquelle on les
vient
mêler. M. de la Feuillade, s’il est vrai, comme j
et de la même manière que Georges Dandin, car sa déconvenue conjugale
venait
aussi d’un gentilhomme, le marquis d’Erva56. Ains
chants tours ; c’était lui qui recevait les coups de bâton. Dominique
vint
, qui changea tout cela. Tous savez qu’il jouait l
dre les coups de canne obligés ? Qui donc, enfin, l’Arlequin déniaisé
viendrait
-il agacer de la pointe et du plat de sa batte ? I
dire, le succès de la pièce des Italiens ; celui qu’obtint sa comédie
vint
les tenter à leur tour. Il s’était inspiré d’eux,
ours, et, de plus, non débaptisé. On ne comptait guère sur ce nouveau
venu
; aussi, Pavait-on, à tout hasard et comme par ch
ait supérieur, les génies sans pair, comme on les appelait autrefois,
viennent
au monde avec la prédestination de ce qu’ils doiv
e dramatique, avait à subir ces arrogances boutiquières, dont l’ennui
viendrait
ajouter pour lui aux autres épreuves du métier, s
faiseur de comédies : le mal était caché, souterrain, et, de là même,
venait
son plus grand danger. Pour qu’il commençât d’êtr
sorte de fatalité qui voulait que le ? personnages de ses comédies à
venir
ne cessassent de poser devant lui, fit tout cela,
par les applaudissements des bateliers du port Saint-Paul65. Poquelin
venait
enfin de s’adjuger ce baptême66, et les spectateu
à merveille. Claude Busset fait lecture, à Molière, d’une Irène qu’il
vient
d’achever, et qui a fait crier miracle à tous les
de Molière et de la Béjard était en Languedoc ; je leur mandai qu’ils
vinssent
à la Grange. Pendant que cette Troupe se disposai
qu’ils vinssent à la Grange. Pendant que cette Troupe se disposait à
venir
sur mes ordres, il en arriva une autre à Pézenas,
dé qu’on lui payât au moins les frais qu’on lui avait fait faire pour
venir
, je ne pus jamais l’obtenir, quoiqu’il y eût beau
ressé par Sarrasin, que j’avais intéressé à me servir, accorda qu’ils
viendraient
jouer une fois sur le théâtre de la Grange. Cette
le gouverner ; il se nommait l’abbé Roquette. C’est de Toulouse qu’il
venait
; il y était né, en 1626, et n’avait, par conséqu
le 5 juillet, à l’un de ses amis : « Une troupe de comédiens s’était
venue
établir dans une petite ville proche d’ici ; il l
es dans cette maison de jansénistes, puisqu’il est du parti opposé, y
vienne
pourtant avec une assiduité persistante ; mais bi
ps, il ne quittait plus la Cour de Saint-Germain. Pour s’y faire bien
venir
, il s’ingénia d’un singulier moyen : « Il se vant
ent de haut sur lui. A quoi bon prendre souci de cette attaque ? Elle
venait
des faux dévots, et les bons n’y étaient pour rie
affermir dans le dessein de son œuvre, peut-être est-ce par ici qu’il
vint
chercher de courageux conseils ; les prêtres écla
ces foudres toutes prêtes pour écraser l’œuvre maudite, quelques-unes
viendraient
jusqu’à lui, et comment pourrait-il les braver, l
parties de son économie, et surtout dans son dénouement ? Celui qu’on
vient
d’indiquer pouvait être bon, dans un temps ordina
retourna, bien étonné de l’empressement qu’on avait eu pour le faire
venir
et de celui qu’on avait eu pour le renvoyer. » Q
el, qu’il est foudroyé à la fin du drame ; mais Molière, qui en était
venu
à considérer l’athéisme comme quelque chose de mo
r des Innocents, et y décapite un squelette, qu’il prie, en riant, de
venir
reprendre sa tête le lendemain et de souper avec
i dit ; « Marchons au plus tôt, Compère, allons vite à table ; Je
viens
avec toi souper, Comme tu m’as invité. » L’étudi
s exorcismes, et le charme cesse : Dieu exauça leur prière, Et quand
vint
le point du jour, Le mort s’éloigna tout court, E
el, mais seulement avec celle de se défendre, si celui qui l’a appelé
vient
l’y attaquer injustement. Et son action sera tout
hamp, de s’y promener, en attendant un homme, et de se défendre si on
vient
l’y attaquer ? Et ainsi il ne pèche en aucune man
déclaration », que d’autres suffrages avaient d’ailleurs appuyée. Ils
viennent
, en effet, disait-il, « et de M. le légat et delà
’avons dit, avait voulu être le parrain de son enfant ; or, une fille
vient
encore de naître de ce mariage calomnié, et c’est
ble à la fois. La cabale, excitée encore par les bontés que Louis XIV
vient
d’avoir pour Molière, et qui sont autant de démen
le sait, et nul n’y contredit. Cependant sa grimace est partout bien
venue
; On l’accueille, on lui rit, partout il s’insinu
ême contre Molière ? Il avait assez de fureur, pour que l’idée lui en
vînt
, et assez de puissance pour croire qu’il pourrait
tendre adresser, il se priva pendant longtemps du plaisir de le faire
venir
à la cour. Il se sentait embarrassé vis-à-vis de
t à bout d’efforts ; ces fêtes, où il avait tant payé de sa personne,
venaient
à peine de finir, qu’il se mit au lit et n’en sor
aient pas fort enrichie, on vit arriver un huissier du Parlement, qui
venait
, de la part de M. le président de Lamoignon, défe
ère, que ses bonnes grâces lui étaient plus que jamais acquises. D’où
venait
donc que l’interdit était maintenu et que le béné
joua le Malade imaginaire, de même qu’après l’École des femmes était
venu
le Mariage forcé, et Georges Dandin après Tartuff
écit de quelques spectateurs. On savait toujours qu’après la tragédie
viendrait
la farce, mais on ignorait quelle serait cette fa
quais, et les forcèrent tous deux de s’y mettre aussy, et puis ils me
vinrent
prendre avec Perrette, et, comme si, nous désiran
us quand l’occasion se présenteroit. Nous n’attendismes pas qu’ils en
vinssent
là, et, pour nous mettre à l’abry du malheur, nou
eût été dit qu’elle cesserait après la première année, Henri IV étant
venu
à l’Hôtel de Bourgogne, c’est une farce renouvel
t, les bouffons 1 ayant amusé, il voulut leur en tenir compte. Il lit
venir
les principaux de la Troupe de l’Hôtel de Bourgog
a Comédie des Comédiens, il ne le dément pas. Lorsque son Beau-Soleil
vient
nous dire : « Ils pensent que la farce est l’imag
et bonne vie dans son logis de la rue Pavée-Saint-Sauveur, et, quand
venaient
les beaux jours, dans la petite maison à colombie
e Bruscambille, ou bien assaisonnée au sel grivois des chansons qu’il
venait
dire pour terminer le spectacle ; soit encore que
eurent représenté de leur mieux le Nicomède de Corneille, notre homme
vint
sur le théâtre ; il « remercia Sa Majesté, en des
ste de son répertoire. Désespérant de pouvoir tenir contre ce nouveau
venu
, qui, larron complet, tuait son homme après l’avo
nié fut le Médecin malgré lui ; la scène de Gorgibus dans le sac, qui
venait
des tabarinades, passa dans les Fourberies de Sca
, J.-B. Rousseau possédait une copie du Médecin volant. Peut-être lui
venait
-elle de Baron, qu’il avait beaucoup connu, et qui
t de le mener, il vous mène. Molière eut son tour avec lui. Une heure
vint
où il en fut le maître. Au moment dont il s’agit,
outa, plus on applaudit. C’est à Lyon que cela se passait. Il y était
venu
en acteur nomade, en comédien de campagne, après
’il y donna une ébauche de son Malade imaginaire, car un des types en
vint
, tout baptisé : c’est celui de l’Apothicaire. Un
ce sujet à Luigi Groto ; et Molière, car c’est là que nous en voulons
venir
, Molière se dit, à son tour, qu’il avait tous les
e son temps. Molière ne la devait qu’aux habitudes parisiennes, quand
venait
l’époque des libertés du carnaval. …...Je suis a
pleine comédie italienne. Le nom même, fait de maschera, masque, lui
venait
d’Italie. Pour son nouveau type, il ne chercha pa
les bien jouer, avec leur véritable allure, leur mouvement vrai. Ils
viennent
d’Italie, ne l’oubliez pas : jouez-les donc à l’i
ine, pour satisfaire, tout ensemble, le surintendant qui l’avait fait
venir
à Vaux et le public qui le redemandait à Paris. C
s’entendre avec lui au sujet de la fête qu’il méditait, l’avait fait
venir
à son château, et l’y avait retenu cinq jours, sa
son répertoire, et avoir promis d’y ajouter une pièce nouvelle, qu’il
viendrait
jouer toute fraîche, le mois suivant. Il n’y manq
omprendre parmi les Fâcheux celui qui avait demandé la pièce, rien ne
vint
faire croire que Molière en voulait au surintenda
ation de Fouquet, par l’ordre de ce jeune roi, que la mort de Mazarin
venait
à peine de mettre hors de page, on trouve, à ces
le plus noble possible. Or, noblesse est ennui dans le comique. De là
vient
que les comédies de Boisrobert, par exemple, avec
udir tout ce qu’il tentait, tout ce qu’il créait. Quand bientôt après
vint
L’École des Femmes, sa première grande bataille,
anteau dans la boue, Quand auprès de sa porte, accablé de chagrin, Il
vient
interroger Georgette avec Alain… C’est fort pla
ns les boues ?… ORIANE. L’auteur devoit, avant cette scène… les faire
venir
avec chacun un ballai pour nettoyer la rue, puisq
citer Aristote et Horace. » Malheureusement, quoiqu’il eût dit : Il
viendra
! ce temps n’est pas venu, et nous avons ainsi pe
Malheureusement, quoiqu’il eût dit : Il viendra ! ce temps n’est pas
venu
, et nous avons ainsi perdu le Code dramatique le
e, où il dirait bel et bien leur fait à ces braillards. L’idée, ainsi
venue
, ne tarda pas à grandir, à prendre corps, puis à
e dut passer la petite scène de lecture et d’échange d’idées, dont il
vient
d’être parlé ; cette maison bien modeste, mais bi
temps ; peut-être même l’avait-il connue en Poitou, — d’où elle était
venue
assez tard, — lorsqu’il y était allé, en faisant
mise pour Clitandre, il l’était encore bien moins pour Alceste. D’où
vient
donc qu’il le porte, et tout chamarré de rubans,
dévots, qu’il avait fait taire jusqu’alors. D’un autre coté, la paix
venait
d’être signée, pour un temps du moins, avec le pa
plus bruyante qu’à l’ordinaire, quelqu’un lui ayant demandé d’où lui
venait
ce surcroît d’admiration : « Ah ! mon ami, dit-il
jouer ainsi. O routine ! ô routine, rouille du progrès ! Les nouveaux
venus
devraient, au moins, faire ce que les anciens déd
ne si courte joie. A l’époque de L’Amphitryon, cette peine était déjà
venue
et l’avait brisé. Le corps souffrant, l’âme plus
ain pour qu’elle fût complète. L’à-propos du nouvel amour du roi sera
venu
l’y engager, et les deux mois qui s’écoulèrent, e
allut une impérieuse invitation de Sa Majesté, pour qu’il consentît à
venir
égayer de ses comédies le carnaval de Versailles,
ir au maître combien il lui en coûtait de sortir de ses chagrins pour
venir
l’amuser. Écoutez un peu dès la seconde scène le
da Molière, et qui le rengagea, comme il va nous le dire lui-même. Il
vient
avec son Amphitryon, mais, pour bien faire voir q
mais de faire rire aux larmes, quand, à l’Hôtel de Bourgogne, Jodelet
venait
à s’en mêler, avec ses « bonnes rencontres », — c
tant de réminiscences de ce répertoire lui jaillissent au cerveau, et
viennent
d’elles-mêmes sous sa plume, c’est que, pendant l
au plus vite, de bâcler, une grande pièce. C’est l’Avare. Avant d’en
venir
à cette extrémité si douloureuse pour lui, qui n’
me, dont le goût, il est vrai, en valait bien un autre ; Boileau, qui
vint
plusieurs jours de suite le soutenir de sa présen
r, frère du Roi, et Madame, qui voulaient grand bien à Molière, étant
venus
voir la pièce, il dit : Ces jours-ci, Monsieur et
te qu’on donna même au chef-d’œuvre de Lesage, à Turcaret. D’où cela
venait
-il ? De ce que la prose n’avait longtemps servi q
gon ne jetterait pas de si grands cris, si on lui disait qu’on a fait
venir
une corbeille de mandarines. C’est ainsi que s’ap
l’à-propos ou des personnalités, il ne manquait pas d’indiscrets, qui
venaient
lui conter des histoires, et l’approvisionnaient
ery m’avoua qu’il avait peine à croire ce qu’il avait vu, et ce qu’il
venait
d’entendre. Il m’a dit quelquefois, depuis, qu’ét
Boileau ajoutait un détail : « Quand le cocher était dehors, et qu’il
venait
un plaideur, c’est lui qu’on chargeait de panser
remier, et ne nous en plaignons pas : le Bourgeois gentilhomme en est
venu
. On avait logé ces nouveaux arrivés de Turquie, c
qui ne se défiaient pas, et posaient en plein naturel pour la farce à
venir
. Elle ne tarda pas à germer, à grandir dans l’esp
tendre encore, lorsqu’une curieuse aventure de l’ambassadeur lui-même
vint
ajouter à la comédie ce qu’il fallait de romanesq
ucher lui-même dans ses sentiments de gentilhomme, et qui sait… de là
venait
peut-être son hésitation à applaudir là terrible
sa paresse, pour terminer ce livre, dont la longueur l’effrayait ? Où
vint
-il le lire, fragment par fragment, et prit-il, ch
i avaient semblé fort propres pour être contées agréablement. » Il ne
venait
pas leur demander s’il continuerait, mais comment
beur, en ce qu’il a de matériel, et qui tient du prodige, quand on en
vient
à l’appréciation de son mérite. Corneille n’a jam
t pas, et qui font insulte aux presses qui les impriment, un libraire
venait
, comme celui de Molière, dire naïvement : « Ceci
e joie du pauvre vieux Corneille. Le bruit que fit ce brillant réveil
vint
l’égayer un peu, dans l’oubli tout attristé de mi
nsi bien plus naturel. Une montre, lorsqu’alors on en avait une, vous
venait
toujours d’un grand-père ou d’un grand-oncle. Dès
si pièce il y a, — l’historique complet des douze fragments. Les uns
viennent
d’une découverte faite, il y a neuf ans, à Avigno
embre 1666148, et qui ne nous est pas parvenue tout entière. Ensuite,
viennent
plusieurs scènes de, Don Juan, choisies surtout p
Monsieur, je vous suis bien obligé, et aussi, en récompense, je vous
viens
avertir de quelque chose qui vous touche. LE JUGE
est celui-ci de la première scène d’Orgon : ■ Jusque-là qu’il se
vint
, l’autre jour, accuser D’avoir pris une puce en f
ce qu’on lit dans L’Apologie pour Hérodote 158 et vous saurez d’où il
vient
: « A propos de bêtes, dit Henry Estienne, qui se
ce à première vue que Tartuffe ? Un cuistre, Un gueux, qui, quand il
vint
, n’avait pas de souliers, Et dont l’habit entier
digne ; c’est un cuistre engraissé, voilà tout. D’autres appétits lui
viennent
, le premier étant repu. La vanité de race, si pro
ler en ce temps-là, se montre en lui la première. Comme on n’est bien
venu
que si l’on se dit homme de bonne maison, il se p
avrant et plus philosophique ? Dans cette comédie, complétée comme on
vient
si heureusement de le faire, se cache, en de peti
ité ; mais, avec le temps, j’en suis sûr, cet art surabondant, qui ne
vient
que d’un excès de zèle, se fondra dans le naturel
our ainsi dire ; leur ridicule n’est pas naturel, mais acquis ; il ne
vient
pas d’un défaut , mais, au contraire, d’un excès
mence à s’y former. L’ingénuité du bon temps, la bonne, la vraie, lui
vient
peu à peu. Ses progrès nous ont surpris dans le r
e, à première vue, que Tartuffe ? Un cuistre, Un gueux qui, quand il
vint
, n’avait pas de souliers, Et dont l’habit entier
digne ; c’est un cuistre engraissé, voilà tout. D’autres appétits lui
viennent
, le premier étant repu. La vanité de race, si pro
ler en ce temps-là, se montre en lui la première. Comme on n’est bien
venu
que si l’on se dit homme de bonne maison, il se p
finale, que Mme Campan ne nomme même pas « le vieux médecin » de qui
venait
l’anecdote. Écoutez-la elle-même maintenant, et j
utrefois partie de la belle collection de M gr le cardinal de Lugner,
vient
d’être donné au foyer de la Comédie Française. Il
boni me, et, par conséquent, deux pièces. Avant celle d’Arthaud, qui
viendrait
le second soir, elle en voulait une autre. L’abbé
belles, par l’idée généreuse que, l’avant-veille de la solennité, il
vint
soumettre à ses camarades, et dont ils se montrèr
ortalité, qui l’efface et la rend légère. Par cette inadvertance, qui
vient
d’une trop grande préoccupation de la date funèbr
fforts et de sacrifices qu’il a dû dépenser pour arriver où il en est
venu
, certes, il a bien, contre les malveillants et le
aire son devoir envers Molière, il l’a fait. On ne lui demandait qu’à
venir
: il est venu. Ainsi on ne pourra donc pas dire q
envers Molière, il l’a fait. On ne lui demandait qu’à venir : il est
venu
. Ainsi on ne pourra donc pas dire qu’une solennit
de Saint-Pétersbourg, aujourd’hui directeur du théâtre Cluny, qui est
venu
tenir, avec un entrain de bonhomie merveilleux, l
du bon temps, avec la « patine » de son meilleur métal, qui nous est
venu
dégoiser à neuf les plus alertes rôles de l’emplo
il s’habille, des nuances assorties. La couleur, du reste, quoiqu’il
vienne
chez Célimène un jour où elle reçoit, est celle d
e Vincennes faire au Parlement la belle algarade que l’on connaît, il
vint
, le fouet à la main, etc. — Saint-Simon ne manque
ujet, mais le fait ne doit pas être exact. Racine, en effet, quand il
vint
à Paris, n’avait plus qu’à terminer sa pièce. Voi
Robert Poquelin, son fils, et Jean-Baptiste Poquelin, son frère, qui
viendra
tout à l’heure, formaient une association de comm
de drap & l’emporte, en promettant de la payer lorsque Guillaume
viendra
souper. Guillaume part en effet pour manger l’oie
tent de sa journée, se prépare à se retirer, quand son berger Agnelet
vient
le prier d’être satisfait des coups qu’il lui a d
. Patelin lui dit que son époux est malade depuis long-temps. Patelin
vient
lui-même confirmer le mensonge par mille extravag
donne audience, Agnelet y paroît avec la tête enveloppée : Guillaume
vient
lui-même plaider sa cause ; Patelin est surpris d
au vôtre trois cents écus ; &, comme je suis homme d’honneur, je
viens
vous payer. M. Guillaume. Me payer ! Attendez, Mo
re qualité d’un honnête homme est de bien payer ses dettes ; & je
viens
savoir quand vous serez de commodité de recevoir
ommande Pamphila au dernier. Elle rentre, en ordonnant que si Chrémès
vient
on l’avertisse. Chrémès paroît en effet ; on l’in
s tendre enfance. Il l’exhorte à la défendre contre le Capitaine, qui
vient
avec plusieurs poltrons comme lui assiéger dans l
isement à l’unir avec Zaïde, de l’aveu même de son pere. Le Capitaine
vient
pour recommander à la Comtesse de prendre garde à
lier reste avec Zaïde, il va lui parler : son pere & le Capitaine
viennent
le troubler, il prend la fuite. Frontin se joue d
order Zaïde à son fils : celui-ci ne veut pas la donner à un muet. On
vient
dire au Baron qu’un homme le demande dans la cour
llons, à toi. (Simon tâche de l’imiter.) Eh ! pas mal, pas mal : cela
viendra
avec un peu d’exercice. En voilà assez pour le co
s larcins ; mais elle est trop longue. La scene dans laquelle Frontin
vient
sous la robe d’un Médecin persuader au Baron qu’i
lyriques, aux opéras dont la mode prévalait en Italie. En 1645, il en
vint
une très nombreuse et très remarquable par le tal
cessaire. » Les principaux comédiens faisant partie de la troupe qui
vint
à Paris en 1645, étaient Tiberio Fiurelli jouant
ccia. Tiberio Fiurelli, qui s’incarna dans ce caractère, était déjà
venu
en France en 1639 et en 1640 ; il lui arriva à ce
aient dans l’appartement. Depuis ce jour, chaque fois que Scaramouche
venait
à la cour, il avait ordre de se rendre auprès du
enait à la cour, il avait ordre de se rendre auprès du dauphin ; il y
venait
en habit de Scaramouche sur lequel il mettait un
r un fauteuil, et joue en attendant que son maître arrive. Pasquariel
vient
tout doucement derrière lui, et par dessus ses ép
rices spirituelles et lettrées que nous envoyait l’Italie. Elle était
venue
à Paris en 1639 et 1640, comme nous l’avons vu da
Les principaux acteurs de cette troupe étaient les mêmes qui étaient
venus
précédemment : Scaramouche, Trivelin, Aurelia, Ho
ame. — Mais ne m’aviez-vous pas dit, continua Monsieur, que le roi ne
viendrait
pas à Paris sans prendre des mesures avec moi ? —
, si elle était de mon invention : ce fut Madame elle-même à qui elle
vint
à l’esprit, aussitôt que Monsieur fut sorti du ca
engage, Je me suis doucement assis sur ce nuage, Pour vous attendre
venir
. La Nuit. Vous vous moquez, Mercure, & vous n
ire Jupiter ; & je ne comprends pas Tous les déguisements qui lui
viennent
en tête. Mercure. Il veut goûter par-là toutes so
and honneur aux pasteurs d’aujourd’hui, Que le Prince autrefois étoit
venu
chez lui, Et que, durant ce temps, il avoit l’ava
aie mal votre franchise. Maître Jacques. Morbleu, Monsieur le nouveau
venu
, qui faites l’homme d’importance, ce n’est pas vo
faire : riez de vos coups de bâton quand on vous en donnera, & ne
venez
point rire des miens. Valere. Ah ! Monsieur Maîtr
de mes amis ! M. Dimanche. Monsieur, je suis votre serviteur. J’étois
venu
... Don Juan. Allons vîte, un siege pour Monsieur
ez-vous là, vous dis-je. M. Dimanche. Non, Monsieur, je suis bien. Je
viens
pour... Don Juan. Non, je ne vous écoute point, s
bien ! M. Dimanche. Oui, Monsieur, pour vous rendre service. Je suis
venu
... Don Juan. Vous avez un fonds de santé admirabl
voir ! C’est du plus loin, parbleu, qu’il me souvienne. Mad. Adam. Je
viens
pourtant ici souvent faire ma cour ; Mais vous jo
t.) Vous, Monsieur Galonier, quel sujet vous amene ? M. Galonier. Je
viens
vous demander... Hector, à Monsieur Galonier. Je
Galonier. Je viens vous demander... Hector, à Monsieur Galonier. Je
viens
vous demander...Vous prenez trop de peine. M. Gal
le rompre, & y réussit par le secours d’une fausse nouvelle qu’il
vient
apporter : il annonce que l’oncle de Léandre est
peuple de statues sorties tout à coup des murs de son Hôtel de Ville
vient
aujourd’hui même témoigner de la reconnaissance e
rs de faire aucun service solennel en faveur de celui à qui la France
vient
d’élever une statue. Tel fut le sort de Molière.
es de Molière, mais sans reconnaissance pour son génie. L’idée ne lui
venait
pas que le pays pût devoir quelque chose à ce far
e et puissante se portât en avant de la multitude. L’impulsion devait
venir
d’en haut comme la lumière, et c’est de là qu’ell
lsion devait venir d’en haut comme la lumière, et c’est de là qu’elle
vint
en effet. L’Académie française prit l’initiative.
t en effet. L’Académie française prit l’initiative. Les temps étaient
venus
, et en 1769, dans un concours public et solennel
après une étude consciencieuse de la vie et des ouvrages de Molière,
vint
dire à la France : cet homme qu’on abreuva de mép
par l’Académie française au meilleur poème sur le monument dont nous
venons
d’esquisser l’histoire. Cette muse charmante, il
e sa voix sont brisés par le râle, Un dernier sentiment sur son front
vient
errer : Il écoute, il sourit !… Il venait d’expir
nier sentiment sur son front vient errer : Il écoute, il sourit !… Il
venait
d’expirer, Lorsqu’au pied de sa couche une femme
ent d’autres ont vu ce qu’il croit entrevoir. Alors à quatorze ans il
vient
demander place Sur les bancs du collège ; il éton
et dont il est sorti, Insensé, contre lui le peuple prend parti ; Il
vient
, du fanatisme aveugle auxiliaire, Frapper de ses
n monument Ait convié la France à son couronnement ! Mais cette heure
viendra
; vieille et fidèle amie, Revendiquant sa gloire,
Ce théâtre où sa gloire en naissant prit l’essor ; Là, chaque âge est
venu
, de ce rare génie, Applaudir le bon sens, l’audac
n marche il porte la lumière ; Sentinelle avancée ! il voit les temps
venir
, Et toujours au génie appartient l’avenir ! » MA
oumettre ? Quand vos fonctions vous le permettent, M. le Préfet, vous
venez
assister à nos représentations, vous applaudisses
s me renvoyez toujours à lui, pardonnez si, vous sachant ensemble, je
viens
vous importuner jusques dans cette maison. Le Mar
ontre le pere, qui, le voyant se troubler, a la bonté de croire qu’il
vient
lui parler pour une certaine fille qu’on nomme la
ouse, appelle son pere. Le Chevalier la fléchit ; & quand le pere
vient
, elle lui demande la clef de la cave pour tirer d
e au bal. Elle fait cette confidence à Nanette sa cousine. Le Marquis
vient
lui demander, de la part de ce Prince, une entrev
sa protection. Le Procureur voyant le Chevalier chez lui, croit qu’il
vient
pour le procès de la Comtesse, lui demande encore
fler l’honneur des deux filles. Il voit Catho ; il lui persuade qu’il
vient
pour elle seule, & qu’elle doit se rendre à s
les. L’action se passe dans un sallon qui n’est pas éclairé ; Manon y
vient
pour se jetter dans les bras du Prince, Catho dan
us ses secrets, jusqu’à ceux du lit nuptial. Arnaud du Tilh en abusa,
vint
joindre Bertrande de Rols, à qui il persuada qu’i
réparer sa perte. Ils eurent ensemble deux enfants. Le véritable mari
vint
enfin troubler la fête, & le faux fut pendu p
ille de les flatter toutes l’une après l’autre : il sort. Les Tuteurs
viennent
proposer trois partis à leur pupille : l’un veut
t ensuite. Damis lui fait sa cour, en lui montrant une lettre qui lui
vient
, dit-il, du Mogol, & qui lui est adressée par
ndu un autre faux voyageur qui prétendoit à la main de Julie. Géronte
vient
sur la scene remercier Damis de l’avoir débarrass
lui. Le Barbier se doute qu’Almanzor est amoureux de Zulime. Il voit
venir
le Cadi : il tremble pour les amants. Le Barbier
ître. Almanzor se montre au Cadi, & lui avoue son amour. Zulime
vient
se jetter aux pieds de son pere, pour le prier de
prouve sa philosophie en se renfermant dans la vie animale. Carondas
vient
& se trouble en reconnoissant Crispin. Celui-
mon petit Monsieur...Je suis de bonne foi. Dortidius. Je pourrois en
venir
à des vérités dures. Valere. Toujours, quand on a
n venir à des vérités dures. Valere. Toujours, quand on a tort, on en
vient
aux injures. Dortidius. Vous me poussez à bout. V
nous divisons. Il faut bien se passer certaines bagatelles. Tenez, on
vient
à nous : oubliez vos querelles. On a vu, dans le
es bras, il assiste à ses obseques ; & le lendemain, quand on lui
vient
dire qu’on a servi, il demande si sa femme est pr
t de voir répandre sur son linge & sur ses habits le potage qu’il
vient
d’avaler. Il oublie de boire pendant tout le dîne
ès à cette heure. Le valet arrive, à qui il demande fiérement d’où il
vient
: il lui répond qu’il vient de l’endroit où il l’
Sang, & votre Altesse à un Jésuite. Il entend la messe, le Prêtre
vient
à éternuer, il lui dit, Dieu vous assiste. Il se
me plaisir. Tranion. Par le Temple de Pollux ! le messager qui seroit
venu
nous apporter la nouvelle de ta mort, vieux pourr
t mieux reçu, car on la souhaitoit aussi ardemment qu’on craignoit ta
venue
. Theuropide. Mais, qu’est-ce que cela veut dire ?
qui s’est approché si près de notre maison ? Theuropide. Personne ne
vient
: mais du moins, ou j’aurois perdu toute connoiss
is soixante ans, s’est séparée de son corps, ne devoit-elle pas, pour
venir
voir votre fils, prendre le temps qu’il seroit pl
emande cette somme à Merlin en présence de Géronte : il lui dit qu’il
vient
d’obtenir sentence par corps, & qu’il fera co
oir l’acquisition de mon fils. Frappe à la porte, Tranion, & fais
venir
quelques voisins de là-dedans. Tranion. Autre cou
d’imposture : il m’est impossible de me sauver. Theuropide. Fais donc
venir
quelqu’un, & prie qu’on me fasse voir la mais
s donc aucune mention de l’achat, de peur qu’il ne s’imagine que vous
venez
ici pour insulter à son malheur, & pour vous
se une robe magnifique, va la porter à sa nymphe, & lui promet de
venir
dîner avec elle. Le cuisinier de la courtisanne v
dans leurs filets. Il l’exhorte à fuir le piege, quand la courtisanne
vient
elle-même prier Menechme Sosicle d’entrer. Il la
t de ses malheurs à son pere : le bonhomme tâche de l’appaiser, &
vient
avec elle pour entendre les raisons de son mari.
avec son véritable patron, comme s’il étoit libre ; il soutient qu’il
vient
d’être affranchi par lui. Tout est dans le désord
Quelle différence de l’intrigue produite par cette seule robe qui va,
vient
, circule, passe de main en main pendant toute la
ere hérite de soixante mille écus qu’un oncle lui laisse, & qu’il
vient
à Paris pour toucher cette somme déposée chez un
rsonne ne lui répond ? Un Gascon, à qui le Chevalier doit cent louis,
vient
les demander à Menechme l’épée à la main ; celui-
ndez-vous à Desronais pour le jeudi prochain : il triomphe. Desronais
vient
se plaindre à M. Dupuis, en présence de Mariane,
upuis : il prie Mariane de rester dans la galerie prochaine, & de
venir
le seconder quand il en sera temps : il sort pour
le persécute encore, il dira nettement sa façon de penser. Desronais
vient
en effet demander un éclaircissement à Dupuis. Ce
spérance sure & certaine... & de quoi ? d’un refus. Une place
vient
à vaquer... elle étoit déja promise. Une seconde
ourtisans égarés reviennent sur le théâtre. Le premier Courtisan. Ne
venez
-vous pas d’entendre quelqu’un ? Ma foi, je commen
ntre vous a volés ? Le quatrieme Courtisan. Fort bien, Messieurs : ne
venez
-vous pas de nous demander nos bourses ? Le second
e livre à la joie avec ses hôtes, & demande une chanson : on fait
venir
un valet nommé Joseph qui a une voix admirable. J
it que tout leur but est de remplir leur coffre. Le sien est de faire
venir
la farine dans son moulin. VI. Il mange quand il
. Richard. Cette action noble & généreuse répare tous tes torts :
viens
dans mes bras, ma chere Peggy, & laisse-moi r
e gentille avec laquelle Cateau lui donne son bouquet, lorsqu’il voit
venir
Agathe, une perfide, dit-il, qui a trahi Richard,
peignent l’amour de ses sujets : il répand des larmes de joie. Agathe
vient
raconter chez Michaud la violence que lui a faite
veut le marier pour l’en punir. Il le renvoie en lui disant qu’il lui
vient
une idée excellente : il projette d’avoir Madame
e, & ne laisse là-dessus rien à desirer au public. Acte I. Sosie
vient
du port pour annoncer l’arrivée d’Amphitrion son
ouver la vivacité de son amour. D’un autre côté le Général, étonné de
venir
trop tôt au gré de son épouse, éclate contre son
er entre les deux Amphitrion. Acte V. Bromie, servante d’Amphitrion,
vient
annoncer que Madame est accouchée de deux garçons
de faussetés. Sosie. Tu n’y penses pas : l’habit avec lequel je suis
venu
est cousu de fil ; mais pour moi je ne sais ce qu
oudre des tromperies. Mercure. Tu mens grossiérement, car tu n’es pas
venu
avec ton habit, mais avec tes pieds. Sosie. La re
jettent dans la piece. Scene IV. Jupiter annonce tout uniment qu’il
vient
pour goûter le plaisir d’un racommodement & s
cene est encore dans Plaute. Jupiter, chez l’un & l’autre Auteur,
vient
imposer silence au mari qui fait tapage devant sa
Scene VII. Au moment où Sosie veut aller manger comme quatre, Mercure
vient
l’en empêcher, & le rosse. Sosie a beau le pr
es avoir évités. Dans la piece latine, Bromie, servante d’Amphitrion,
vient
dire au spectateur, dès le commencement du cinqui
n lui racontant l’histoire du gros garçon qui a étouffé deux serpents
venus
par les gouttieres. Elle lui répete, crainte qu’i
at le glorieux récit. Amphitrion. Ensuite ? Sosie. Ensuite ?On m’est
venu
troubler & mettre en peine. Amphitrion. Et qu
té pure ; Ce moi, plutôt que moi, s’est au logis trouvé ; Et j’étois
venu
, je vous jure, Avant que je fusse arrivé. Boil
i promis. Mais dis, en bonne conscience, Au mystere nouveau que tu me
viens
conter, Est-il quelque ombre d’apparence ? Sosie
faire. D’un travail sérieux veux-je me délasser, Les Muses aussi-tôt
viennent
me caresser. Je ne contracte point, grace à leur
e s’emporte contre Damis qui ose le quereller. Damis annonce qu’il en
viendra
à quelque éclat avec lui, parcequ’il ne peut souf
n de voir un inconnu, un gueux, qui n’avoit pas de souliers lorsqu’il
vint
dans la maison, s’y impatroniser jusqu’au point d
premier acte. Elmire, à Cléante. Vous êtes bienheureux de n’être pas
venu
Au discours qu’à la porte elle nous a tenu. Mais
n mari : comme il ne m’a point vue, Je veux aller là-haut attendre sa
venue
. Cléante. Moi, je l’attends ici, pour moins d’amu
t aussi exact dans le Glorieux. ACTE I. Scene I. Pasquin. Lisette ne
vient
point ! Je crois que la fripponne A voulu se moqu
ne sera pas long-temps question de lui. Scene V. Le timide Philinte
vient
ennuyer Isabelle. Elle feint d’avoir la migraine,
c ma discipline, Et priez que toujours le Ciel vous illumine. Si l’on
vient
pour me voir, je vais, aux prisonniers, Des aumôn
par les applaudissements qu’il reçut de ceux qu’il avait priés de les
venir
voir. Après le succès de ces deux Pièces, son Thé
faire voir y trouvaient amplement de quoi se contenter. Ainsi l’on y
venait
par coutume, sans dessein d’écouter la Comédie et
facétieuses du seigneur Straparole, dans uneHhistoire duquel un Tival
vient
tous les jours faire confidence à son Ami, sans s
oisi, entre tous les sujets que Straparole lui fournissait, celui qui
venait
le mieux au temps, pour s’être servi à propos des
otre portrait n’ont fait que relever l’éclat de vos couleurs. Et s’il
vient
à savoir tout ce que vous avez dit à son avantage
t ce qui fera réussir sa Pièce. Il voudrait que la moitié de Paris en
vînt
dire du mal, ce serait un signe qu’elle ne serait
qu’elle ne serait pas tout à fait méchante, et que l’autre moitié en
viendrait
ensuite dire du bien. Quand on veut fronder une C
l’on en parle beaucoup, les divers discours que l’on en tient y font
venir
du monde, et ceux qui vont rarement à la Comédie
es vers lui sont naturels », est auteur d’une comédie sur laquelle il
vient
consulter un certain M. Oronte : M. ORONTE. Voul
pour moi de ce qu’il y a eu un Molière ; et plût au Ciel qu’il ne fût
venu
qu’après moi. ORONTE. Vous avez tort de n’être pa
qu’il ne fût venu qu’après moi. ORONTE. Vous avez tort de n’être pas
venu
le premier. LE POÈTE. Assurément, je me serais em
re de la ville d’Albi 3, dont le chapitre intitulé : « Molière est-il
venu
à Albi ? » occupe douze pages à peine (205 à 216)
Languedoc : « La troupe des comédiens de Mgr le duc d’Épernon étant
venue
exprès de la ville de Tholoze, en cette ville, av
ris en 1646, a représenté à Bordeaux La Thébaïde de Molière, puis est
venu
à Toulouse, où le jeune Poquelin a connu le vieux
s Rolland, et nous dirons, sans point d’interrogation : « Molière est
venu
à Albi en 1647. » Y revint-il dix ans plus tard ?
omique. Nous faisons appel à nos confrères du Midi, et peut-être nous
viendra-t
-il de Castres ou de Carcassonne quelque pièce pro
gens ! Que Cléante se trouvait chez Elmire, lorsque Mme Pernelle est
venue
rendre une visite à sa bru ou qu’il est monté lui
ls se tirent à l’écart et s’assoient du côté de la fenêtre. On va, on
vient
, on change de position à chaque instant. Elmire e
t plus diligente que personne à remplir son devoir. Damis et Marianne
viennent
ensuite, parce qu’ils sont les petits-fils de Mme
nt chercheur, a donné de cette pièce un commentaire intéressant. Nous
venons
signaler à notre tour ce même acte et le publier
ente. Dorine ne ressemble donc ni à Martine ni à Nicole ; son nom ne
vient
pas du même calendrier que les leurs, et c’est se
le rideau se lève pour le second acte, Marianne sort de sa chambre et
vient
chercher quelque chose sur la table de droite. Or
e raison à l’entrée de Dorine et ne pas sortir de la tradition. Orgon
vient
secrètement à la chambre de sa fille ; Dorine, qu
il n’en avait pas fait son invention et son chef-d’œuvre. Elmire, qui
vient
trouver Tartuffe à la salle basse, ne lui propose
liques comme seigneur, mais bien en qualité de marchand. Ce qui étant
venu
à la connaissance de l’acquéreur, il fit faire de
er leurs intentions dans leurs prières. « Le seigneur de Franconville
vint
supplier le Prélat de réduire cet obstiné à la ra
Pinel, Madelaine Malingre et Catherine Bourgeois, dont le fac-similé
vient
d’être publié par M. G. Desjardins dans le magnif
r le bâton. » C’est à peu près tout, si je ne me trompe. Valère, qui
vient
chercher Orgon pour le conduire en lieu sûr, ne p
on de l’ancien catéchisme poissard. Quelle idée a eue Mme Thierret de
venir
jouer Molière au quartier latin en quittant le Pa
tous deux, l’un pesant, l’autre agile ; « Le Fruit tombe et
vient
se planter « Dans la bouche du malhabil
r de scepticisme parce que j’ai intitulé mon travail : Molière est-il
venu
à Albi ? Croyez, Monsieur, que j’ai été sensible
ttendu. Lisette contrefaisant une Languedocienne, Nérine une Picarde,
viennent
successivement rappeler à Pourceaugnac, l’une qu’
e de Scarron (1656) ? Stéphanie dame portugaise, espèce d’intrigante,
vient
accompagnée de Louise et d’Olivarès (suivante et
tait la rue Saint-Honoré sur la paroisse Saint-Eustache. C’est là que
vint
au monde, un peu moins de neuf mois plus tard15,
retrouver également celles du Nº 31 de la rue du Pont-Neuf. La maison
venait
d’être acquise en 1877 par un Sr Delabie, boucher
en ce lieu vous devez vous tenir, Assuré que dans peu vous l’y verrez
venir
. Ici encore, on en conviendra, l’analogie est fr
645, Molière demeurait au coin de la rue des Jardins. À quelle époque
vint
-il s’y fixer ? Vers le 20 décembre 1644. la troup
omme on sait, au faubourg Saint-Germain, près la porte de Nesle, pour
venir
s’établir au jeu de paume de la Croix-Noire, rue
mité de son théâtre. On peut donc répondre avec certitude que Molière
vint
demeurer rue des Jardins en décembre 1644 ou, au
lle du jeu de paume occupait tout le côté Est du marché neuf que l’on
vient
d’inaugurer, ainsi que l’a déjà prouvé M. Collard
t ce qu’il est impossible de dire, jusqu’à ce qu’un document inespéré
vienne
jeter un jour nouveau sur ce séjour de Molière da
ison de la rue des Jardins. Moins de cent ans après, en 1645, Molière
venait
y demeurer. Étrange coïncidence ! La même rue qui
ssée, que par le glorieux ouvrage de la jonction des mers, avait fait
venir
Vario de Florence, pour orner de plusieurs belles
les deux ou trois années qu’il y avait travaillé. Mon Florentin était
venu
à Paris, et il n’y avait pas été plutôt établi, q
doit une partie des peintures décoratives du château de Windsor54. Il
vint
en France à une date postérieure à 1661 et il pei
s il lia commerce d’amitié ; de sorte qu’en fraternisant avec eux, il
vint
à prévariquer dans sa foi et à professer leur rel
saisi d’une suffocation, et quoique la compagnie se fût empressée de
venir
à son secours avec une barque, tout fut vain, on
emier plan, un jeune homme, qui pourrait bien être l’auteur lui-même,
vient
à la rencontre d’une dame qui s’avance les yeux b
125. 27. Par une particularité aussi curieuse, en mai 1656, Molière
vint
loger à Narbonne à l’auberge des Trois Nourrices,
it la maison aujourd’hui numérotée 36, à deux pas de celle où Molière
vint
mourir onze ans plus tard. M. Campardon s’y est t
et toujours vaine ; quelquefois sage et toujours suffisante ; et là,
viennent
à ses pieds les plus illustres de cette cour pour
de l’appartement. Le chevet du lit s’appuyait au mur du fond, le pied
venait
en avant, et l’on avait accès de trois côtés. Cet
au lit à l’heure où sa société habituelle lui rendait visite. Chacun
venait
se ranger dans son alcôve, dont la ruelle était o
g tout particulier. Elles sont, dit-il, une secte nouvelle ». Somaise
vient
encore à l’appui de ces dates. Il dit au mot Anti
procurer la comédie des Précieuses de de Pure. Cependant, avant d’en
venir
à l’année 1659, où Les Précieuses ridicules de Mo
e la barbarie. Les questions sur la langue sont innombrables ; elles
viennent
à tout propos. Je ne sais qui de Somaise ou de de
our peu que Claristène (monsieur Leclerc) leur voulût aider, elles en
viendraient
bientôt à bout. Il était trop civil pour ne pas r
de la diphtongue oi, qu’on remplace par l’é ouvert. La diphtongue oi
venait
probablement des Celtes, comme le gaulois, et ell
plus de décence et de réserve ; mais le fond des mœurs était le même.
Venons
à la comédie de Molière. Il importe beaucoup aux
igneurs du meilleur ton, de l’esprit le plus distingué. Certes, il ne
viendra
dans l’esprit de personne que cela regarde la mai
le ne faisait plus autorité ni bruit dans le monde, quand Molière est
venu
à Paris ; mais il avait entendu parler d’elle, co
ses traditions et à ses habitudes. Il eut donc l’intention de laisser
venir
sous ses pinceaux toutes ses réminiscences et de
bien assurée sans doute de rire un moment à leurs dépens, et qu’il ne
viendrait
dans l’idée de personne de rire aux siens ; et en
ée, elle publia sous son nom le roman de Clélie, en 1656, 1658, 1660.
Vint
ensuite Almahide ou L’Esclave reine, en 1660 ; et
ités ne rachetaient pas le ridicule ; après le besoin de parler était
venu
le besoin de rire. On pouvait aussi se croire eu
iselle s’y fit porter dans la chaise de la reine : « Il (le cardinal)
vint
au-devant de moi, dit-elle ; puis nous nous mîmes
& mon bien pour moi. Il est dans cette résolution, quand Lisette
vient
lui annoncer que sa fille s’est trouvée mal. Sgan
ée. Il dit tout bas au pere qu’il va flatter sa manie, en feignant de
venir
dans la maison pour l’épouser. Le pere se prête à
n, indigné contre les quatre premiers, qui ont fini par se quereller,
vient
leur reprocher de ruiner leur art par leurs conte
leur personnage ? Granger le jeune. Toutes les épées de votre beauté
vinrent
en gros assiéger ma raison ; mais il ne me fut pa
solution que j’avois prise de lui désobéir, car je l’en avois chargé.
Viens
çà, Paquier : as-tu dit à mon pere que j’étois ré
ent pour notre mariage. Granger le jeune. Allons-y donc. Monsieur, je
viens
vous conjurer d’avoir pitié de moi, &... Gene
e doit pas en effet s’intéresser aux grandes nouvelles. Un domestique
vient
, de la part du Marquis Asdrabale, demander un Méd
ettre la bouteille d’eau sur son mémoire. Lélio, amoureux de Rosaura,
vient
prier le Docteur Onesti d’entretenir de lui sa be
i l’a ordonné : alors elle fait tout ce qu’on veut en riant. Béatrice
vient
visiter son amie. Elle la voit rire toutes les fo
tion ; la scene où les Médecins, l’Apothicaire, Lélio, le Chirurgien,
viennent
offrir des ordonnances, des vésicatoires, des sai
espan est à Bourbon, où M. de La Vallière a fait donné ordre qu’on la
vint
haranguer de toutes les villes de son gouvernemen
ance qu’elle avait en sa bonté, et mit à tout cela un air qui ne peut
venir
que de Dieu. Ses paroles m’ont paru toutes choisi
ut bien aise d’aller à Versailles pour le visiter avant que la cour y
vienne
. Ce sera dans peu de jours, pourvu qu’il n’y ait
un quart d’heure avant Quanto ; et comme il causait en famille, on le
vint
avertir de l’arrivée. Il courut avec un grand emp
nconvénients de la surprise. Sur ce principe il fut conclu que le roi
viendrait
chez madame de Montespan ; mais pour ne pas donne
ue le roi ne verrait madame de Montespan qu’en leur compagnie. Le roi
vint
donc chez madame de Montespan, comme il avait été
s retours sont pour le monde. Voilà ma grande raison ; celle de l’âge
vient
ensuite. Madame de Richelieu est présentement ave
les formes vraies qu’elle comportait. On est donc, à notre avis, mal
venu
d’excuser ou de plaindre l’architecte du monument
qui ont fait, exécuté 1e monument. Lorsque le voile qui cache l’œuvre
vient
à tomber, les applaudissements qui éclatent d’ord
n reste quelque temps à contempler l’œuvre, la réflexion s’éveille et
vient
demander compte des formes employées ; rechercher
relative. D’ailleurs si, comme il en est question, la ville de Paris
vient
à acheter plus tard la maison qui est derrière l’
oiles sous lesquels se cachent les vices et les ridicules, puis était
venu
dire sur la scène avec toute la hardiesse du géni
causée par sa persistance à jouer alors qu’il était déjà fort malade,
viennent
, du reste, corroborer l’idée qu’on se fait de la
un peuple moderne ? Aussi, espérons-nous que bientôt une souscription
viendra
réparer cet oubli, qui serait une preuve d’ingrat
; & après avoir donné au brutal le châtiment de son insolence, il
vient
à la bergere, & voit une jeune personne qui,
oudre. Il y rencontre les apprêts de tout ce qu’il craint ; il y voit
venir
l’indigne rival que le caprice d’un pere oppose a
ez-vous comparer votre bonheur au mien ? Mais, Philis, une pensée
Vient
troubler ce doux transport, Un rival, un rival...
s donne50. Toutes les scenes où Toinette, sous la robe d’un Médecin,
vient
voir monsieur Argan son maître, ont été imitées d
ns-nous d’abord les scenes de Moliere. Acte III. Scene X. Toinette
vient
en Médecin offrir ses services à monsieur Argan,
d se félicite d’avoir commencé le raccommodement. Scene XIX. Crispin
vient
, en pleurant & en habit de valet, voir si sa
i... Paix, Monsieur le badaud ; Paix, frippon ! paix, bélître ! &
venez
ici haut : C’est moins par amitié que ce n’est pa
venez ici haut : C’est moins par amitié que ce n’est par contrainte :
Venez
, dis-je. (Crispin met son chapeau sur son coude,
, qu’il semble que ce soit une autre personne.) Fernand, à Philipin.
Venez
, dis-je.Tu vois, ce n’est pas une feinte. Philipi
ai fait défense au coquin de me suivre ; J’en aurois de la honte : il
viendra
par après. Adieu. (Il sort, & met bas la sout
gé de mettre en usage pour n’être pas découvert, au lieu que Toinette
vient
trop aisément à bout de son dessein. Elle ne pouv
rapport des modes avec les situations qu’ils peignent par le son, ne
vient
qu’après coup ; c’est un plaisir réfléchi qui ne
n’est pas davantage la religion qui lui en a fourni le principe. D’où
viennent
donc, et son idée de Dieu, et le principe de sa m
, C’est pourquoi le cousin Aristote souvent La compare à la mer. D’où
vient
qu’on dit qu’au monde On ne peut rien trouver de
in de votre conseil sur une petite affaire dont il s’agit, et je sais
venu
ici pour cela. MARPHURIUS. Seigneur Sganarelle, c
s son jugement et, par cette raison, tous ne devez pas dire : Je suis
venu
, mais : il me semble que je suis venu. SGANARELLE
ous ne devez pas dire : Je suis venu, mais : il me semble que je suis
venu
. SGANARELLE. Il me semble ? MARPHURIUS. Oui. SGAN
se soit véritable, SGANARELLE. Comment! il n’est pas vrai que je suis
venu
? MARPHURIUS. Cela est incertain, et nous devons
Laissons ces subtilités, je vous prie, et parlons de mon affaire. Je
viens
vous dire que j’ai envie de me marier. MARPHURIUS
is qu’on ait un corps (34). Enfin, pour achever de la ruiner, Belise
vient
lui prêter son appui : Nous, nous établissons un
sait pas, l’histoire est là pour l’appuyer. Un témoignage catégorique
vient
éclairer les ténèbres de notre incertitude, et no
ux et pensif. Avide de tout connaître, capable de tout comprendre, il
venait
au philosophe : il était vaincu d’avance. Comment
t, dans ces jours où brisé par la lutte, le choc même de ses passions
venait
illuminer comme d’un éclair le fond de son cœur,
grandir en importance. Je m’occupais de l’œuvre, et voici que l’œuvre
vient
se confondre avec la vie tout entière de l’auteur
(Damiron, p. 421); 3° Où il déclare que toute science est des sens ou
vient
des sens (Damiron, p. 400 ; Cinquièmes objections
comme conséquence de tout son système, il avoue son scepticisme. Tout
vient
des sens ; les sens ne saisissent que l’apparence
tre-Français, une bouffée d’orgueil lui monta au cerveau, comme il en
vient
aux jeunes gens et fit éclore les vers suivant qu
in volant, dont Jean-Baptiste Rousseau a possédé les manuscrits, sont
venus
jusqu’à notre époque, et nous les ayons sous les
e et un an ayant eu peu de succès avec sa troupe à Paris, où il était
venu
pour se fixer en 1650, dans le jeu de paume de la
ui-ci souhaite de posséder, invente fourberies sur fourberies pour en
venir
à ses fins ; et Lélie, qui assurément est plus qu
son essai sur l’Art de la comédie; c’est celle où l’un des vieillards
vient
à rencontrer un voisin qu’il croit mort sur la fo
n 1654, aux états de Languedoc, qu’il devait tenir, engagea Molière à
venir
charmer son séjour. Molière se rendit à cette inv
es regrets amers et superflus d’un cœur qui aime sans être aimé; puis
viendront
les emportements d’Alceste aux prises avec la coq
ville, et que Molière s’avisa de tourner en ridicule, lui, le nouveau
venu
, à peine encore établi. Molière eut toujours bon
es ridicules. Cette pièce semble s’être trompée de date ; elle eût dû
venir
après la Jalousie de Barbouillé, qui, du reste, e
mours. Le croirait-on ? Molière, se voyant accuser de bas comique, en
vint
presqu’à vouloir prendre pour modèles les héros d
pleine de naïveté : mais pour sotte, elle ne l’est pas. L’esprit lui
vient
avec l’amour. Sitôt que le regard du jeune Horace
du peintre. Pourquoi Molière se serait-il abstenu de le nommer ? D’où
viendrait
que l’auteur dramatique n’eût pas le droit de sti
s les plus piquants : Bien de plus innocent se peut-il voir Arnolphe
vient
des champs, et désire savoir. Si, depuis son abse
s galant se peut-on souvenir, Et ne dormait-on pas s’il n’en eût fait
venir
? Tout le reste est dans le même goût. N’admirez
sur ses antagonistes, arrive à une réponse plus sérieuse. On en était
venu
jusqu’à toucher à son caractère. L’esprit s’effac
et les livres, comme une satire de Boileau nous l’apprend. Un marquis
vient
pour acheter les pièces de Molière, qu’il appelle
re. Voici le portrait qu’en trace Alcidor, l’un des personnages : Il
vient
, le nez au vent, Les pieds en parenthèse et le co
ait eu le temps que de prendre un de ses brodequins, et qu’elle était
venue
donner des marques de son obéissance, un pied cha
re parvenu, et qui fait pressentir Tartufe, comédie que, du reste, il
venait
d’achever, mais dont les faux dévots s’étaient mi
ons nous exprimer ainsi, séduit les spectateurs. Pour que don Juan en
vienne
à inviter à souper la statue du commandeur, ne fa
aît que la volupté ! Voyez-le quand dona Elvire, vêtue de deuil, s’en
vient
, par un dernier effort de tendresse, le prier de
n ce temps, mais il était impossible. L’heure de Mirabeau n’était pas
venue
au dix-septième siècle. Personne n’avait le regar
es mœurs avant de chercher à établir les lois, Le dix-huitième siècle
viendra
poursuivre son œuvre; la comédie perdra de sa gaî
ment choquée, accoutumée qu’elle est à ces abus ; et la pensée ne lui
vient
pas que son souffle pourrait abîmer un matin cett
SCARAMOUCHE Hélas, oui. ARLEQUIN Et tu es bagatelle. Ali ! mon cher,
viens
que je t’embrasse ; tu es né pour Paris ; tu es n
ic ; il ne se permet pas un à parte ; il y a plus, c’est qu’il en est
venu
à croire en son hypocrisie, comme les menteurs da
lles plaintes retentissent, et l’on sait que bien peu de personnes en
viennent
à la fâcheuse extrémité d’une séparation illusoir
dans la vie ordinaire ! quelle est la famille où les grands orages ne
viennent
à gronder et ne se dissipent avec une semblable r
bien que d’un rire quelquefois déshonnête, en voyant ce bon Limousin
venir
pour se marier à Paris , et puis s’en retourner d
; Menez-la dans sa chambre ; ah ! les douces caresses !… (A Ariste.)
Venez
; mon cœur s’émeut à toutes ces tendresses; Cela
é capable de quelque extravagance de la sorte, lorsque la maladie est
venue
l’éprouver. Molière a attaqué vivement la faibles
Si la lumière arrive un jour aux hommes, c’est de la médecine qu’elle
viendra
. Je ne sais pourquoi le Théâtre-Français semble
ptice dans sa chambre, et comprit que, impatiente de l’héritage, elle
venait
pour tâcher de s’assurer, par elle-même, s’il mou
mme on le sait, entre les bras de deux sœurs de la charité, anges qui
vinrent
s’agenouiller auprès de son fauteuil. Il expira l
qu’il y avait d’extravagants, d’oisifs et de fripons se faisait bien
venir
. Cette manie prit un caractère si violent, que la
leur contestons pas celte supériorité sur Corneille. M. de la Protase
vient
voir MmeThibault, que Dancourt appelle une femme
on intention qu’on siffle personne, et c’est dans cette vue-là que je
viens
faire un accommodement avec ta maîtresse. Elle co
à quoi s’en tenir, ne le lâche pas ainsi. Au mot de baigneur, il lui
vient
une idée bizarre. Comme il est teinturier de son
ande importance ; il fondait sur elles l’espérance de sa réputation à
venir
: cependant il n’a vécu que pour les pièces qu’il
olie. Ecoute, ma femme, repartit Sancho, je te jure ma foi, que si je
viens
à être Gouverneur, je marierai si bien notre fill
Palais, où personne ne l’entendra, ni elle n’entendra rien elle-même.
Viens
çà, bête & femme opiniâtre, répliqua Sancho ;
s le corps ! Et où, mille diables, prends-tu toutes les choses que tu
viens
d’enfiler ? Qu’est-ce que tes Cascayo, tes Vertug
Vertugadins, & tes Présidents ont à voir avec ce que je te dis ?
Viens
ici, ignorante & étourdie ; je te puis bien a
côte de S. Louis ? M. Jourdain. Taisez-vous, ma femme ; je vous vois
venir
. Mad. Jourdain. Descendons-nous tous deux que de
i aient honte de m’appeller leur grand-maman. S’il falloit qu’elle me
vînt
visiter en équipage de grand-Dame, & qu’elle
ion telle, que le public n’eût pas été content si le roi même n’était
venu
frapper ce monstre par sa justice exceptionnelle
t le vrai moyen De savoir ce qu’on en doit croire624. Et après elles
viennent
des bergers héroïques qui vident ainsi la questio
du jour qu’il sait aimer. Quelque fort qu’on s’en défende, Il faut y
venir
un jour ; Il n’est rien qui ne se rende Aux doux
e Daphné et la trop aimable Eroxène 626 suivent ces sages maximes, et
viennent
s’offrir 627 au jeune Myrtil, qui chante à son mo
et moi, faire mieux. Quand l’hiver a glacé nos guérêls, Le printemps
vient
reprendre sa place, Et ramène à nos champs leurs
sir faisons notre affaire ; Des chagrins songeons à nous défaire : Il
vient
un temps où l’on en prend assez631. Sur le même
t le reste n’est rien637. À la fin de la pièce, une foule de masques
viennent
se joindre aux musiciens pour chanter tous ensemb
assez puissants. La beauté passe : Le temps l’efface ; L’âge de glace
Vient
à sa place Qui nous ôte le goût de ces doux passe
627. Id., act. I, sc. II, IV, et V : Deux nymphes, ô Myrtil,
viennent
s’offrir à vous : Contentez nos désirs, etc.
ionnés, pénètrent le cœur par les oreilles. Quelquefois la corruption
vient
à grands flots ; quelquefois elle s’insinue comme
modèle incroyable qu’il avait sous les yeux, laissant aux lecteurs à
venir
, le soin de juger du mérite et de l’intérêt de la
as pas plus loin ! et il fallut attendre que le roi fût mort, pour en
venir
à songer que le roi lui-même, serait quelque jour
er de ces ridicules oubliés, et de ces vices disparus ; d’autres sont
venus
à la suite de ceux-ci ; nous n’avons plus Les Fem
a rencontrée, en songeant aux difficultés de la comédie aux siècles à
venir
! « Nos pères, disait La Bruyère, nous ont transm
a cherche çà et là, répandue à chacune de ces pages, et des pages qui
viendront
, plus tard, comme on ramasse, dans un jardin cult
tection d’un tas de poètes nouveaux qu’elle avait vus enfants, et qui
venaient
abriter, à cette ombre charmante et féconde, les
s avez-vous reconnues ? Comment sont-elles faites, je vous prie, d’où
viennent
-elles, et par quels efforts surnaturels pourrez-v
r ; il y a quelques petites filles qui la copient (Va-t’en voir s’ils
viennent
, Jean), il y en a qui pleurent la comédie, d’autr
eux que cela, je dirai que vous êtes un heureux artiste. Mais laissez
venir
les années et les chagrins ; que votre tête soit
ébattues ; nul ne songe à vous demander qui vous êtes, et ce que vous
venez
chercher en cette arène ouverte à la jeunesse, à
re jeune, impunément ! Honneur à la durée en toutes choses ; elle est
venue
en aide à bien des rois tout-puissants ; elle a m
mençaient à comprendre le danger, lorsque la révolution française est
venue
interrompre brusquement cette aimable causerie. À
s’imaginaient que c’était tout simplement un coup de tonnerre qui les
venait
surprendre : « Allons, disaient-ils en se séparan
que j’aimais tant ; adieu à cet esprit si fin qui s’en va d’où il est
venu
, qui retourne à Molière ! ainsi l’émotion était d
rs. En ces moments elle était gaie et souriante, elle aimait qu’on la
vînt
voir au Théâtre-Italien, au théâtre de l’Opéra, d
ndre comme l’amour. Cette noble femme restera, pour les comédiennes à
venir
, un encouragement, un conseil, un exemple en beau
uera pas, disait le Feuilleton, de remarquer dans les biographies qui
viendront
, plus tard, de cette artiste inimitable, qu’elle
au à l’ombre du berceau de la princesse royale… Bientôt l’orage était
venu
qui avait jeté dans ces prisons du Temple, le roi
jeunes gens se hâtaient pour en conserver la mémoire ; les vieillards
venaient
chercher à ses pieds quelques souvenirs de ces be
titué une pension de douze cents livres sur la tête de chaque enfant,
venu
au monde le même jour que la princesse royale, et
uerellez, Monsieur, querellez ; cela vous soulagera. Dès qu’elle sera
venue
, j’aurai soin de vous faire avertir. M. Simon. N’
l’intervalle la plupart des acteurs quittent la campagne où ils sont,
viennent
à Paris voir jouer une piece, & reviennent à
es qui sont autour de la table à thé, il en emporte le cabaret, &
vient
remettre la table à sa place, auprès du mur de cô
endre par-tout parler de son mariage, qui doit se faire le lendemain,
vient
ordonner à Drink d’écarter tous ceux qui pourroie
: Vengeance, soutiens mon courage ! je vais écrire moi-même au Comte.
Viens
... traître ! tu paieras cher les peines que tu no
le cœur, & le menace de le tuer s’il fait un pas. Des domestiques
viennent
avec des flambeaux : le pere & le fils se rec
ectateur la table sur laquelle on a mis la lettre, il faut bien qu’on
vienne
la prendre dans l’entr’acte, puisqu’elle doit fai
la résolution du pere : je tremble pour le fils : je bénis l’Ange qui
vient
arrêter le glaive fatal. Le curieux me montre ens
e. Où me cacher ? où fuir ? & par où désarmer L’honnête oncle qui
vient
pour me faire enfermer ? Quelle égide opposer aux
a Métromanie annoncée dans le titre. Les différentes beautés que nous
venons
d’indiquer ont beau être accumulées, elles ne fon
e à prendre tout ce qu’on lui donne. Harpagon, enchanté de ce qu’il
vient
d’entendre, ordonne à sa fille de faire tout ce q
ins des Juifs, des Arabes. Scene II. Maître Simon, courtier d’usure,
vient
parler à Harpagon d’un jeune homme qui a besoin d
r & le prêteur ; ils s’accablent de reproches. Scene IV. Frosine
vient
parler à l’Avare de ses amours ; il la quitte pou
à ses compliments. Frosine dit que c’est par pudeur. Scene X. Elise
vient
saluer Marianne : Harpagon la lui présente. Maria
l’oblige à le garder, malgré le désespoir d’Harpagon. Scene XIII. On
vient
dire au héros qu’un étranger veut lui parler ; il
endra lui-même s’il ne retrouve son argent. ACTE V. Scene I. Harpagon
vient
avec un commissaire, & promet de demander jus
un spécimen des représentations que donnaient alors ces comédiens qui
vinrent
s’établir définitivement à côté de Molière. L’aid
e prie de feindre encore, et lui promet de le récompenser. Le geôlier
vient
prendre son prisonnier pour le conduire devant le
ison qu’elle a dans sa poche. Dès que Diamantine est partie, Trivelin
vient
annoncer à Arlequin que M. Pantalon, suivi de tou
par exemple, emprunter au scénario des Quatre Arlequins : « Arlequin
vient
, tenant une guitare à la main, et dans le dessein
dez-vous ? Allez vous promener. » Dans Le Médecin volant, le capitan
vient
consulter Arlequin qui fait le médecin, et lui de
répond Arlequin, je n’ai pas moyen d’en avoir davantage. » Isabelle
vient
pour voir le Docteur, et, ne le trouvant pas, ell
trépaner seulement, pour vous désennuyer en attendant que le Docteur
vienne
. » Et comme, en s’en allant, elle le traite de fo
braver les défenses obtenues par les comédiens français, sept acteurs
venaient
l’un après l’autre réciter leur rôle.
nts qu’elle trompe également : elle est avec Dorante lorsqu’elle voit
venir
Lisimon dont elle craint la pétulance ; elle cach
on maître lui permet alors de lui continuer ses moralités. Don Garcie
vient
prier Don André de cesser ses assiduités auprès d
invraisemblances les plus ridicules. Ces mêmes Auteurs sont cependant
venus
après Moliere. Ils ont pu voir l’art qu’il a mis
elui-ci a fait couper le bois qui faisoit son principal ornement ; il
vient
s’en plaindre. . . . . . . . . . . Dorante. Ah !
. . . . . Dorante. Ah ! votre bois ? Fort bien ! Merlin. M. Grumelin
vient
pour son bois qu’on a fait couper. Merlin. Ce boi
Dorante a vendu un bois qui ornoit le château de sa mere. Son oncle
vient
le gronder. Damis. A prins drap qui n’en vaut p
ous ses biens : elle est d’accord pour cela avec un Notaire. Celui-ci
vient
lui présenter un contrat : cette femme si fine, s
de celle de Pourceaugnac. Le héros, sot comme le Limousin de Moliere,
vient
épouser une fille qui ne l’aime point. On lui fai
ge. Trois Officiers de Dragons de mes bons amis qui m’ont engagée d’y
venir
en vendanges : comme j’ai su, par occasion, que M
our épouser la fille de Monsieur, j’ai cru ne pouvoir me dispenser de
venir
mettre empêchement à ce mariage. Vivien. Mettre e
haut ; Car qui croiroit une telle entreprise ? Dedans l’esprit il me
vint
aussi-tôt De l’étrangler & lui manger la vue
ut plus forte dupe Que ce vieillard, bon-homme au demeurant. Le temps
venu
d’attraper le galant, Messire Bon se couvrit d’un
n parfait amour ? Dieu soit témoin que pour toi j’en ai honte ; Et de
venir
ne tenois quasi compte, Ne te croyant le cœur si
, que ce sera drôle ! M. Bernard. Ne perdons point de temps : allons,
viens
, Lucas. Angélique. Non, Monsieur, ce n’est point
ere femme apprend tout ce qui se passe, elle est furieuse : son époux
vient
précisément dans ce temps à la provision, Dieu sa
déposition, & je vais tout de ce pas chercher le Greffier pour la
venir
recevoir. Charlot. Qu’il écrive ce qu’il voudra,
ONTE. Toutabas. Avec tous les respects d’un cœur vraiment sincere, Je
viens
pour vous offrir mon petit ministere. Je suis, po
rent d’avoir trop mis à la réjouissance. Toutabas. Et c’est de là que
vient
la beauté de mon art. En suivant mes leçons on co
ouze trous. Toutabas. Et, Monsieur Toutabas, vous avez l’insolence De
venir
dans ces lieux montrer votre science ? Toutabas.
long de vos reins...Monsieur, point de colere ; Je ne suis point ici
venu
pour vous déplaire. Géronte, le poussant. Maître
E MARQUIS. Le Chevalier. C’est Monsieur le Marquis. Hé ! de quel pays
venez
-vous donc ? Quoi ! des mois entiers sans visiter
sont si honnêtes, pourquoi nous défierions-nous du succès ? Beverley.
Venez
donc... Où nous trouverons-nous ? Stukely. Chez W
séduit. Beverley. Nous nous sommes séduits l’un & l’autre... Mais
venez
: la fortune est volage : elle est peut-être lass
n terrain en pente, une rue véritable, bordée de maisons de bois, qui
vient
du fond du théâtre aboutir sur l’avant-scène, cen
e d’un serviteur, et parvint à Rome. Le capitaine, de son côté, était
venu
dans cette ville et était sur le point d’y prendr
sfait de l’hymen qu’on lui préparait, s’était enfui de Gênes et était
venu
à Bologne, où il s’était épris d’Isabelle, qu’il
sied au milieu de la scène et se dispose à manger, quand deux voleurs
viennent
, le saluent très poliment et s’assoient sans faço
reproches, en lui recommandant bien, lorsqu’une pareille volonté lui
viendrait
encore, de ne pas hésiter à l’avertir. Or, la log
est complice, s’y tient caché. À quelques scènes de là, le jardinier
vient
demander à Oratio de l’indemniser pour son bois d
uisé en mendiant, s’arrête à la porte de l’hôtelier. Un faux marchand
vient
remercier tout haut le faux mendiant du service q
? c’était de fuir cette sombre boutique, cette marâtre, ces nouveaux
venus
préférés... Et puis il avait ses quatorze ans, et
. Molière, devant cette enfant, se prenait à rêver... Des projets lui
vinrent
, vagues d’abord, mais qui peu à peu s’affermirent
edoc, la troupe s’arrêta à Grenoble, y joua pendant le carnaval, puis
vint
à Rouen. Molière comptait bien que de là leur ren
entait combien son art était encore au-dessous de son cœur. Oh ! s’il
venait
jamais à exprimer ce cœur, on verrait ce que c’es
nchait avec elle, lui confiait son âme et continuait son œuvre. Alors
venaient
les réponses aux Philintes, aux Aristes... Cepend
x, courses; le roi y remporta quatre prix. Après les courses, la nuit
venue
, il y eut des collations féeriques, éclairées par
s insinuèrent doucement qu’il n’y avait pas à punir, puisque ce livre
venait
d’un impie protégé par Sa Majesté. Molière en éta
rt bien que ce monde que nous voyons n’est pas un champignon qui soit
venu
tout seul en une nuit... » Peu de temps auparava
de ses amis, était mort. Molière aimait ce jeune homme, il le faisait
venir
à Auteuil de temps en temps, avec Chapelle et ses
aient entrer à la comédie sans payer, en sorte que tous les soirs ils
venaient
emplir le parterre de leurs colossales et tumultu
signé, pour s’y entendre admonester par Monsieur de Molière. Celui-ci
vint
, en effet, leur faire la harangue. Il leur donna
abusant du nom et de la bandoulière de Messieurs les gardes du corps,
venaient
emplir le parterre... ; qu’ils ne croyait pas que
eux comprendre un de ses comédiens; ce fut ce brave Hubert, dont nous
venons
d’entendre les prouesses. Le pauvre garçon ne po
n Morin, pour quelques pensées mystiques. Boileau, sentant le danger,
vint
à l’appui de Molière; il écrivit au roi sa noble
gon, ayant ses relations depuis l’huissier jusqu’au trône ; mais d’où
vient
-il ? Qui est-il ? À quelle classe appartient-il ?
rs malades au sujet de la circulation et du vin émétique. De plus, il
venait
d’y avoir, à propos de lavements et de seringues,
ruinée par suite de désordres, comptant sur la générosité de Molière,
vint
le prier de lui prêter son théâtre pour trois rep
e qu’un jour, un pauvre comédien nommé Mondorge, réduit au dénuement,
vint
à Auteuil où était alors Molière, sachant bien qu
vous n’aviez peut-être pas l’intention de me donner un louis d’or, je
viens
vous le rendre. - Tiens, mon ami,dit Molière, e
aisaient avec lui. Le vieux Corneille lui-même, si pauvre et si fier,
venait
le voir; et l’aimait, et l’on dit qu’il ne fut po
ient MM. Lulli, Jonsac, Nantouillet, Boileau et quelques autres ; ils
venaient
, disaient-ils, pour se bien divertir. Molière, qu
action si glorieuse ? C’est vrai,dit Chapelle, nous l’avions oublié.
Viens
te noyer avec nous. Doucement,dit Molière, une si
re toujours avec lui dans son carrosse; mais ce jour-là, la fantaisie
vint
à Chapelle, un peu pris de vin, de lui ôter tout
l pas cru bonnement aux prétendus ambassadeurs du roi de Siam, qui le
venaient
complimenter sur la beauté de ses ouvrages, et ne
ses pièces, il ne voulait pas qu’elle les entendît seule. Il faisait
venir
les enfants de tous ses comédiens ; il lisait Pou
s tendre et plus expansif à la campagne, lui avoua que ce chagrin lui
venait
d’être obligé de vivre éloigné de sa femme et de
ceste, il endossait à la hâte l’habit jaune et vert de Sganarelle, et
venait
, la bouteille à la main, se consoler dans un char
a fièvre. À cette gaîté si franche et si française, qui, chaque soir,
venait
égayer les esprits rendus sérieux par le Misanthr
fois, arrivant par le coche, il fait son entrée dans la capitale. Il
vient
pour être présenté au roi, pour se marier, se mon
combien cela lui pourrait être agréable et confondrait l’intrigue, de
venir
donner chez lui, à Chantilly, une représentation
n’avait pourtant encore que cinquante-et-un ans ! XXXI. Boileau
vint
le voir et le trouva fort incommodé de sa toux et
ut le reste lui avait manqué. Ce public, assemblé tous les soirs, qui
venait
l’écouter depuis plus de trente ans, il lui avait
le monte. » Il resta assisté de deux sœurs religieuses, de celles qui
viennent
ordinairement à Paris quêter pendant le carême, e
rd’hui des fautes de diction, prouveront jusqu’à l’évidence ce que je
viens
d’avancer ; et ces rapprochements, en écartant ce
de ses comédies s’accroît ; ensuite, lorsque des fautes déjà relevées
viennent
à se reproduire, je me contente le plus souvent d
vant l’édition originale, publiée en 1663, Mascarille dit à Lélie qui
vient
, pour la sixième fois, de déconcerter, par son ét
us étendu de Plaute et de Térence doit trouver ici sa place. Térence
vint
au monde huit ans avant la mort de Plaute, et tre
deux parts, comme pour offrir une proie plus facile aux barbares qui
venaient
s’en disputer les lambeaux, la comédie disparut a
sus-Christ et les martyres des saints : c’était la tragédie du temps.
Vinrent
ensuite les moralités, pièces ordinairement allég
on qui avait déshonoré notre littérature naissante et le bon goût qui
venait
y établir son empire : de là une foule de contras
prement dits que la comédie doit combattre de préférence. Bien qu’ils
viennent
d’une cause interne, comme ils ne sont ordinairem
es bien éprises l’une de l’autre, les plus vives sont celles qui leur
viennent
d’elles-mêmes, la jalousie est l’aspect sous lequ
placement et la dépense rendent exigeants à double titre, ne sont pas
venus
, n’ont pas payé pour écouter et voir exactement l
alade imaginaire, on peut dire qu’il est mort en les combattant. D’où
vient
cet acharnement extraordinaire ? Sans contredit d
uyé d’injustes reproches, dont, enfin, une critique plus éclairée est
venue
le venger. Le dénouement est bon et nécessaire :
s le marché, paie les écritures du commissaire que lui-même il a fait
venir
. Cet écrit, où sont analysées toutes les qualités
présomptueuse et entreprenante commune à tous les hommes de son pays,
vint
s’y associer de lui-même, et fut toléré malgré so
était un théâtre d’intrigues sanglantes. La conspiration de Cinq-Mars
venait
d’être découverte. Cet imprudent favori d’un roi
t un jour de son génie comme poète comique. Les troubles de la Fronde
vinrent
interrompre ces jeux. Molière disparaît dans cett
révolté contre son souverain, que de vices, de travers, de ridicules
venaient
étourdiment s’offrir aux regards de Molière et pr
fin de ses jours, la combattre en casuiste, avait plusieurs fois fait
venir
, à son hôtel à Paris, son ancien condisciple, che
de l’Hôtel de Bourgogne assistaient à la représentation. Ils étaient
venus
, plus disposés à la pitié qu’à l’envie, juger le
8. Molière ne connut la mère qu’en 1645 environ. Françoise était donc
venue
au jour sept ans avant cette liaison, lorsqu’il a
il ne le pouvait plus, parce que la dénonciation de Montfleury était
venue
après son mariage, et qu’un des effets de ce mari
on père était engagé dans les liens du mariage. La crainte qu’elle ne
vînt
un jour troubler les héritiers Modène dans l’exer
cre l’artifice de leurs innombrables métamorphoses, pour les forcer à
venir
se trahir et s’accuser elles-mêmes sur la scène,
atéraux, dont les derniers, les derniers du moins qui fussent connus,
vinrent
prendre une place honorable à la séance de l’Acad
justice, et se défendre réciproquement au sujet de leurs ouvrages.On
vint
annoncer à Racine que le Misanthrope était tombé.
vre comédien, nommé Mondorge, qui avait été son camarade en province,
vint
un jour chez lui pour solliciter quelque secours.
ent aussi à recueillir les traits sans nombre que les gens de qualité
venaient
à l’envi lui fournir contre leurs pareils, et que
lui étaient dénoncés par ces officieux courtisans, que de ceux qu’ils
venaient
étaler eux-mêmes à cette occasion. Molière aperce
r, vous n’aviez peut-être pas dessein de me donner un louis d’or ; je
viens
vous le rendre. Tiens, mon ami, lui dit Molière,
as sûr qu’il se fût trompé en donnant un louis d’or à ce mendiant qui
vint
le lui rendre. Il avait aussi du goût pour le com
eurs fois les sacrements. Deux prêtres ayant successivement refusé de
venir
, son beau-frère alla lui-même en chercher un troi
ercher un troisième. Quand il arriva, il n’était plus temps ; Molière
venait
d’expirer. Deux de ces religieuses qui venaient q
it plus temps ; Molière venait d’expirer. Deux de ces religieuses qui
venaient
quêter à Paris pendant le carême, étaient alors d
e l’argent par les fenêtres ; et cette multitude, qui était peut-être
venue
pour insulter son cadavre, se retira paisiblement
re depuis quelques années. En 1800, Kemble, le fameux acteur anglais,
vint
à Paris. Les comédiens du Théâtre-Français lui fi
la scène de Paris et celle de Londres. Il était difficile qu’on n’en
vînt
pas à disputer un peu sur la prééminence de l’un
avait reçu une excellente éducation, et qu’enfin Malherbe était déjà
venu
donner des lois à votre Parnasse. Shakespeare, au
ur, l’esprit, le langage, le geste des hommes de tonte condition, qui
venaient
, pour ainsi dire, passer en revue devant lui. Le
tous nos désirs. Ô célestes plaisirs ! Doux transports d’allégresse !
Viens
, mort, quand tu voudras, Me donner le trépas : J’
comptedes bâtiments du Roi. Suivant l’état de ces gratifications, qui
vient
d’être imprimé par la société des Bibliophiles fr
qui suit immédiatement celle où est le roi, en cas que cette dernière
vienne
à éprouver quelque accident ; l’en cas de nuit, c
prêtres habitués en ladite paroisse, qui refusèrent plusieurs fois de
venir
; ce qui obligea le sieur Jean Aubry d’y aller lu
; ce qui obligea le sieur Jean Aubry d’y aller lui-même pour en faire
venir
; et de fait fit lever le nommé Paysan !, aussi p
emps ledit feu Molière décéda, et ledit sieur Paysant arriva comme il
venait
d’expirer : et, comme ledit sieur Molière est déc
qui l’ont, entendu, qu’un jour le prince dit à Molière : Je vous fais
venir
peut-être trop souvent, je crains de vous distrai
nverrai plus chercher ; mais je vous prie, à toutes vos heures, de me
venir
trouver : faites-vous annoncer par un valet-de-ch
et-de-chambre, je quitterai tout pour être avec vous. Lorsque Molière
venait
, le prince congédiait tous ceux qui étaient avec
ns de paroles. « Le grand Condé, dit-il, exigeait de Molière qu’il le
vînt
voir souvent, et disait qu’il trouvait toujours à
goureuse et bien portante, quelque faible côté par où la ruine allait
venir
; si elle a ôté un brin de rouille à cet acier qu
l’on veut, plus tard, conquérir le droit de critiquer les œuvres qui
viennent
à la suite. Admirez Molière, avant tout, et de to
ttendue, et voyant remettre en question cette question tant débattue,
vint
annoncer sa défaite à cette foule inquiète et att
ncore, par se livrer aux impressions de l’amour, le remède du mariage
vient
trop tard, déjà le faible du cœur est attaqué, s’
re poète-comédien, c’est que probablement l’heure de la justice était
venue
. À ces foudres, Molière, et ceci est un éloge éno
originalité à notre poète, de mettre des Français sur la scène. Quand
vint
Molière, le Français n’était guère à la mode dans
t de libertinage dans cet esprit qui se trompe d’époque et de moment,
viennent
pour Molière les mauvais jours, les cabales, les
résentation fidèle des tortures de l’espèce humaine, l’idée leur soit
venue
qu’après tout, les uns et les autres, ils étaient
parterre, et figurez-vous l’auteur du Misanthrope, frappé à mort, qui
vient
, tout exprès, sur ce théâtre en deuil pour vous f
l subit. — Lisez « Monsieur se promène » ; il fait beau, le public ne
viendra
pas ce soir, ma foi ! tant pis pour ceux qui vien
au, le public ne viendra pas ce soir, ma foi ! tant pis pour ceux qui
viendront
, ils verront le phénomène un autre jour ! Molière
Laforêt, sa servante. Ah ! si la vieille Laforêt était là, comme elle
viendrait
arracher son maître à cette Toinette effrontée et
ntée et sans pitié, qui l’obsède de sa grosse gaieté ! Après Toinette
venait
madame Argan, et voyant madame Argan si violente
mêlé de colère, que vous allez prodiguer à l’improvisation du premier
venu
, vous en seriez avare quand il s’agit de l’étude
ontemplation d’une œuvre-maîtresse des poètes passés, et des œuvres à
venir
! S’il en était ainsi ce serait vraiment une gran
c’est du bel et bon drap que vous pouvez tâter à pleines mains et qui
vient
directement de la rue Saint-Denis ; fi de ces éto
: Oui, je te vais servir un plat de ma façon ! et l’eau déjà lui en
vient
à la bouche ; il est fier de lui-même, et il a bi
ous ne comprenez rien à tant de succès ; vous regardez d’où cela peut
venir
, vous vous demandez si en effet vous êtes bien un
loin, quelque chose est là qui refroidit le parterre au moment où il
vient
à moi, les bras ouverts. — Ô damnation ! ô misère
où il vient à moi, les bras ouverts. — Ô damnation ! ô misère ! D’où
vient
l’obstacle ? Pourquoi moi et pas celui-là, celui-
gédie ; il disait, aussi bien que Talma l’eût dit lui-même : — Faites
venir
un prêtre ! Et Desmousseaux avait été si terrible
s à l’orchestre, je me sentais écrasé par ce regard de basilic ; d’où
vient
maintenant que le sang circule plus légèrement da
ais le premier mot, cher pauvre orchestre ? Est-ce que vraiment tu es
venu
là pour écouter Racine ou Corneille, avec ce recu
nt-Martin, tes amours ? Messieurs de l’Orchestre et du Parterre, vous
venez
au théâtre par oisiveté, par caprice, et pour lor
accidents qui le menacent. « Si l’on m’apporte de l’argent, qu’on me
vienne
quérir vite chez le seigneur Géronimo ; et si l’o
t, qu’on me vienne quérir vite chez le seigneur Géronimo ; et si l’on
vient
m’en demander, qu’on dise que je suis sorti et qu
ette belle femme qui devait lui faire mille caresses, le dorloter, et
venir
le frotter quand il sera las ! Et qu’il est loin
p applaudir. Sganarelle, resté seul et encore tout ébloui de ce qu’il
vient
d’entendre, a recours à son premier conseiller, l
ore, et de l’avoir toujours à ses côtés. Et cette nuit dit-il, on est
venu
chanter sous mes fenêtres. Si le jaloux don Pèdre
menace de s’enfuir de cette maison et de demander retraite au premier
venu
. Et dans la scène principale, qui est toute la co
révolution qui s’avance, et à force de sophismes et de véhémence, en
venir
à nous faire penser que c’est peut-être, en effet
dire l’autorité, en verra bien d’autres, plus tard. Tout à coup voici
venir
Dubois, le valet que Molière a donné à Alceste, e
autre, il s’agit d’un homme dont la ruine est immanquable, si l’on ne
vient
pas à son secours. Mais cet homme, menacé par un
tre Philinte dans tout son horrible égoïsme. Comment ! lui, Philinte,
venir
au secours d’un inconnu, d’un imbécile qui s’est
uissier Loyal de Molière ; seulement Molière, ce grand maître, a fait
venir
l’huissier Loyal à la dernière scène du dernier a
rle pas, soyez sûr que vous n’aurez rien à regretter. Ils étaient mal
venus
; elles étaient peu intelligentes ; ils étaient c
n que les petits et les faibles aient le droit, de temps à autre, d’y
venir
essayer leurs premiers roucoulements dramatiques.
est impossible que le rôle d’Alceste soit ainsi abandonné au premier
venu
qui se sentira le courage de déclamer ces beaux v
ridicule, tous ces rares trésors dont personne ne veut sa part. De là
vient
le chagrin qui aigrit cet homme, de là vient cett
e ne veut sa part. De là vient le chagrin qui aigrit cet homme, de là
vient
cette mauvaise humeur qu’il nous fait subir. Ah !
voir enfin tête à tête, cette adorable et adorée Célimène, et si elle
venait
un seul instant à oublier sa moquerie ingénieuse,
ce dialogue à demi-voix, cet intérêt, si facilement éconduit quand on
vient
à s’en fatiguer par hasard ; cette piquante cause
grandes avances, et qu’il ne se laisse guère attraper par le premier
venu
. Les gens qui se vantent d’écrire sans peine, et
M. de Sèze et M. Chauveau-Lagarde. 7. Pourquoi Vienne (en Dauphiné)
venait
-elle ainsi sous ma plume ? Elle allait, avant peu
core avec dignité, ses mépris et ses injustices. Jamais il ne lui est
venu
dans l’esprit de se venger d’elle par une guerre
en être sortis. Après avoir fait des miracles de courage, ces gens-là
venaient
savoir s’ils avaient bien fait ou non ; ils venai
age, ces gens-là venaient savoir s’ils avaient bien fait ou non ; ils
venaient
rendre compte de la victoire de laquelle il falla
plus noble que l’indigne prospérité des heureux ? » Plusieurs traits
viennent
à la suite de ceux-là, qui n’ont pas été dédaigné
qu’il suppose à la personne pour qui il l’écrit ; et enfin cet éloge
vient
si naturellement à la place où il se trouve, qu’o
e, qu’on ne peut y méconnaître une sorte d’à-propos qui ne serait pas
venu
à l’auteur pour une femme vulgaire. L’auteur cite
celle de son valet. Scapin se félicite d’avoir instruit Pantalon ; il
vient
lui vanter son zele : mais son maître, loin de l’
in se venge en accablant d’injures le portrait de son rival. Arlequin
vient
à petit bruit ; il reconnoît son portrait ; il en
pporte la seconde copie de Celio : Arlequin l’examine ; la sœur aînée
vient
& la lui enleve. Arlequin veut encore voir ce
tinuellement, mais ne la dénouent point. L’Auteur est obligé de faire
venir
un valet-de-chambre qui annonce la mort d’un oncl
x, nous avons tenu à ce que toute cette partie complémentaire qui est
venue
prendre place dans notre récit, fût accompagnée d
osant par cette complaisance à toutes les sévérités de la loi si elle
venait
à être découverte ; — et dans quel intérêt, s’il
m d’un port pour un nom d’ouvrage. Mais ne voilà-t-il pas que le tout
vient
d’être consciencieusement reproduit par le plus n
cru longtemps qu’il était né sous les piliers des Halles, où Regnard
vint
au monde trente-cinq ans plus tard ; mais on a au
à convaincre l’ambassadeur de ses parents, et il le détermina même à
venir
prendre part à ces jeux dont il était idolâtre. L
n fournit la preuve. Après qu’il fut installé à Paris, un jeune homme
vint
un jour le trouver, lui avoua qu’un penchant insu
iste Molière, acteur distingué et excellent auteur de comédies, était
venu
à Vienne. Boissat lui témoignait beaucoup d’estim
tait relégué à son château de La Grange des Prés, près de Pézenas, et
venait
d’y installer une madame de Calvimont dont il s’é
de Molière et de la Béjart était en Languedoc ; je leur mandai qu’ils
vinssent
à La Grange. Pendant que cette troupe se disposai
qu’ils vinssent à La Grange. Pendant que cette troupe se disposait à
venir
sur mes ordres, il en arriva une autre à Pézenas
dé qu’on lui payât au moins les frais qu’on lui avait fait faire pour
venir
, je ne pus jamais l’obtenir, quoiqu’il y eût beau
pressé par Sarrasin que j’avais intéressé à me servir, accorda qu’ils
viendraient
jouer une fois sur le théâtre de La Grange. Cette
s un grand réservoir destiné à l’usage public. Le magistrat municipal
venait
provisoirement de faire écrire au-dessus de ce ré
diverses. Molière passe, il aperçoit le rassemblement, s’approche et
vient
écouter et étudier les orateurs. Il est mis au co
l montait. Une de ces paysannes s’en aperçut, quitta ses compagnes et
vint
couvrir de la rotondité de ses jupes l’objet qu’e
nd vicaire des abbayes du prince fiancé au-devant duquel l’abbé était
venu
, nous apprend Daniel de Cosnac. On veut que la ph
e L’Étourdi, représenté à Lyon pour la première fois. La belle saison
venue
, elle reprit sa vie nomade, nous la retrouvons à
ant M. le prince de Conti. » Est-ce pendant le spectacle que serait
venue
à celui-ci l’idée qu’on lui a attribuée, mais don
e le prince, dont la présence eût pu seule lever toute difficulté, ne
viendrait
pas ouvrir les États suivants, et préférant un sa
656 que Molière en fit jouer un bien plus digne des applaudissements.
Venu
à Béziers avec sa troupe pour les États que le co
ement de 1658, « lui conseillèrent de s’approcher de Paris en faisant
venir
sa troupe dans une ville voisine », pour être à m
résents à cette représentation. La pièce étant achevée, M. de Molière
vint
sur le théâtre, et, après avoir remercié Sa Majes
se fixer à Paris, et que le siècle de Louis XIV et tous les siècles à
venir
doivent peut-être ces admirables chefs-d’œuvre qu
. En s’y établissant, elle avait fait des dépenses, dont les nouveaux
venus
allaient profiter ; ceux-ci eurent à lui compter
à se voir, y trouvaient amplement de quoi se contenter : ainsi l’on y
venait
par coutume, et sans dessein d’écouter la comédie
il suit presque la même règle pour toutes les deux. Le discours qu’il
vient
faire à l’issue de la comédie a pour but de capti
ce qui doit suivre celle qu’on vient de représenter, et l’invite à la
venir
voir par quelques éloges qu’il lui donne ; et ce
au lit à l’heure où sa société habituelle lui rendait visite. Chacun
venait
se ranger dans son alcôve, dont la ruelle était o
r, lui dis-je, nous approuvions, vous et moi, toutes les sottises qui
viennent
d’être critiquées si finement et avec tant de bon
es, négociant pour la paix et pour son mariage, dont le double traité
venait
d’être signé le 7 novembre à Saint-Jean-de-Luz, e
û accueillir les propositions de deux auteurs qui s’étaient risqués à
venir
offrir leurs ouvrages à ces comédiens sans journa
pour le nom de l’auteur incomparable. À ce chorus d’applaudissements
vinrent
encore se joindre ceux de la cour. L’ouvrage fut
grand maître de l’artillerie l’avait, pour cette première fois, fait
venir
à son château de Chilly, près de Longjumeau, il f
rre, Monsieur, frère du Roi, et Henriette d’Angleterre, que ce prince
venait
d’épouser ; le 13, dans le jour, à Fontainebleau,
it meilleure contenance, quand le refus d’une obscure fille d’honneur
vint
mettre fin à cette longue suite de succès. Le sur
, tout plein d’Homère, Dis-toi bien qu’en vain l’homme espère Pouvoir
venir
jamais à bout De ce qu’un grand dieu n’a su faire
ses parents l’avaient envoyé pour embrasser l’état ecclésiastique. Il
vint
trouver notre auteur, et lui soumit une tragédie
écrivait de lui à la date du 25 : « Une troupe de comédiens s’étaient
venus
établir dans une petite ville proche d’ici, il le
ette autre représentation incertaine. Oui, Molière tint parole ; il y
vint
prendre une place sur la scène de l’hôtel de Bour
galant se peut-on souvenir ? Et ne dormait-on pas s’il n’en eut fait
venir
? l’autre où Dorante, marquis ridicule, dit en p
E MARQUIS. Belles railleries ! ALCIDON. Il est fait tout de même ; il
vient
le nez au vent, Les pieds en parenthèse et l’épau
son Portrait du peintre à M. le Duc ; la troupe du Palais-Royal était
venue
, comme nous l’avons annoncé, jouer, moins d’un mo
yée, à cette époque était récompensé par deux parts comme auteur, qui
venaient
s’ajouter à celle qu’il retirait comme acteur et
’idée d’une des plus jolies scènes du Mariage forcé, celle où Alcidas
vient
proposer à Sganarelle de se couper la gorge avec
onnaître ce prodige dont il avait tant de fois entendu parler, le fit
venir
à Saint-Germain. La Reine assista à ces exercices
C’est parmi ces enfants que Molière distingua Baron, et Raisin étant
venu
presque aussitôt à mourir, il prit le petit acteu
nce, se trouvant sans ressources, hors d’état de rejoindre sa troupe,
venait
implorer sa bienfaisance. Molière demanda à Baron
vous n’aviez probablement pas dessein de me donner un louis d’or. Je
viens
vous le rendre. — Tiens, mon ami, dit Molière, en
al pour l’hôtel de Bourgogne. Nous devons dire l’entrée d’Hubert, qui
venait
du Marais, parce qu’on va le voir bientôt figurer
qu’on lui faisait et par la peur qu’il avait que quelque gendarme ne
vînt
lui donner un coup d’épée par derrière. Le tumult
ureux qui tous les jours, abusant de leur nom et de leur bandoulière,
venaient
remplir le parterre et ôter injustement à la trou
ntre Molière la Reine mère et le monarque lui-même. Un nouveau succès
vint
inaugurer ce titre nouveau. Demandé pour un diver
e que depuis le moment où une connaissance profonde de l’anatomie est
venue
mettre ceux qui l’exercent à même d’entrevoir la
p fondée, le ramenaient bientôt près d’elle. De nouveaux dérèglements
vinrent
la rendre la fable de toutes les conversations, e
s son jardin d’Auteuil, quand un de ses amis, nommé Chapelle, qui s’y
venait
promener par hasard, l’aborda, et, le trouvant pl
us saviez ce que je souffre, vous auriez pitié de moi. Ma passion est
venue
à un tel point qu’elle va jusqu’à entrer avec com
urs superbes, et regardait « une grisette connue un trésor » : On en
vient
aisément à bout : On lui dit ce qu’on veut, bien
fut forcé de l’aller chercher chez elle, et qu’elle se vit obligée de
venir
jouer dans son habit de ville. Elle fut accueilli
du conducteur, trop lent pour son impatience, il mit pied à terre et
vint
l’aider à pousser la voiture. Il ne s’aperçut de
u’en entendant les éclats de rire de celui au secours duquel il était
venu
pour abréger la durée du voyage. Nous n’avons vu
li des ennuis et des chagrins qui le poursuivaient chez lui. Ses amis
venaient
souvent l’y visiter. Un jour qu’il souffrait plus
leu raison, dit Chapelle ; voilà une injustice que nous lui faisions.
Viens
donc te noyer avec nous. — Oh ! doucement, répond
ard, le sort de deux pièces nouvelles à la troupe du Palais-Royal. Il
venait
quelquefois voir notre premier comique et souper
ndait pas non plus, “Mais attendez, dit-il à Baron, M. Corneille doit
venir
souper avec nous aujourd’hui, et vous lui direz q
ur s’entretenir avec lui. « Molière, lui dit-il un jour, je vous fais
venir
peut-être trop souvent ; je crains de vous distra
i plus chercher ; mais je vous prie, à toutes vos heures vides, de me
venir
trouver. Faites-vous annoncer par un valet de cha
terai tout pour être avec vous. » En effet le prince, lorsque Molière
venait
, congédiait tout le monde, et ils demeuraient sou
r entièrement. Dans le temps même où Molière perdait son ami, la mort
vint
lui enlever une protectrice. La Reine, mère de Lo
it aujourd’hui, si un succès, légitimé lui-même par sa durée, n’était
venu
la couronner. Il y a deux choses seulement à repr
er de nature ; mais n’anticipons pas sur les événements. Le Sicilien
vint
ensuite prendre également place dans Le Ballet de
r du pape pour jouer des pièces ridicules, et que M. le légat ne soit
venu
en France que pour leur donner son approbation. »
. Un marchand de truffes s’y présenta, et le parfum de sa marchandise
vint
animer les physionomies béates et contrites des c
truffes », ajoute M. Étienne, après avoir indiqué la même étymologie,
viendraient
donc de la tartufferie : peut-être n’est-ce point
on embarras, lui dit : « Ne soyez pas surpris de mon emportement : je
viens
d’entendre un acteur déclamer faussement et pitoy
e-là détournée de former une union. Il y avait dans la troupe où elle
venait
d’être enrôlée un homme d’une simplicité à toute
les jeunes seigneurs. Mais le glorieux traité d’Aix-la-Chapelle étant
venu
mettre fin à ces débats sanglants et rendre les v
devoirs qu’elle maudit intérieurement plus d’une fois ! c’est lui qui
vient
accuser Molière « d’avoir troublé tout l’ordre de
lus d’un point semblables à celles du héros de sa pièce, et qui, s’il
venait
à se reconnaître dans ce personnage, pourrait, pa
. Depuis longtemps déjà de nouveaux défauts, de nouveaux travers sont
venus
leur succéder ; et ce n’est qu’à l’espèce d’impos
r à bout. Le bruit et sa résistance vigoureuse firent que les voisins
vinrent
au secours et frappèrent à la porte. Cela obligea
s qu’il est bien glorieux. » Les lettres qui suivent celle dont nous
venons
d’extraire ce récit donnent à entendre que la fem
es lui avaient assuré un grand nombre d’admirateurs. Molière, pour en
venir
à ses fins, inséra dans le premier intermède des
es, recevoir très gravement trois prétendus ambassadeurs de Siam, qui
venaient
lui annoncer que leur monarque, ayant lu ses ouvr
qu’ils n’étaient pas faits l’un pour l’autre. Des intrigues nouvelles
vinrent
faire oublier celle-ci à mademoiselle Molière. Qu
t avec hauteur ce qui pouvait l’amener, il s’excusait en disant qu’il
venait
chercher son bonnet de nuit, qu’il avait oublié l
la littérature, la noblesse et le clergé comptaient de plus distingué
venait
chaque jour conspirer contre le bon goût et le na
re, chez Mademoiselle, son sonnet à la princesse Uranie, quand Ménage
vint
faire sa cour à la princesse. Mademoiselle fit vo
Quoi ! vous barbouiller le visage d’une moustache de Sganarelle pour
venir
sur un théâtre recevoir des coups de bâton ! voil
eux ecclésiastiques de Saint-Eustache, sa paroisse, s’étant refusés à
venir
lui administrer les sacrements, il s’écoula quelq
et expira entouré des siens et de deux pauvres sœurs religieuses qui
venaient
quêter à Paris pendant le carême, et trouvaient c
u vendredi 17 au mardi 21 février. Ce dernier jour, quand la nuit fut
venue
, des milliers de gens du peuple se réunirent deva
hangea ces dispositions tumultueuses. Ces mêmes individus qui étaient
venus
pour troubler l’enterrement de Molière accompagnè
session de rôles dans beaucoup de pièces, et que l’hôtel de Bourgogne
venait
d’engager. Pour comble d’infortune, la salle du P
ite de celle de l’hôtel du Marais, supprimé presque à ce même moment,
vint
se fondre, à s’installer dans la salle d’opéra qu
les pieds jusqu’à la tête ». Tous les témoignages les moins suspects
viennent
confirmer cet hommage rendu à la supériorité de s
ajoute cet historien du théâtre qui écrivait en 1674, quand l’orateur
venait
annoncer, toute l’assemblée prêtait un très grand
; mais, un jour que mademoiselle La Tourelle avait promis à Lescot de
venir
déjeuner avec lui chez madame Le Doux, elle manqu
eu de temps avant sa mort, désigné pour remplir la première place qui
viendrait
à vaquer, et que le futur académicien avait, par
ieux. Le rêveur voit en songe Apollon tenir son tribunal et les Muses
venir
lui dénoncer les coupables et leurs délits. Une d
passage de Molière et de sa troupe à Bordeaux au commencement de 1646
vient
d’être combattue par M. Arnaud-Delcheverry, archi
parce qu’il lui paraît difficile d’admettre que si cette troupe était
venue
alors à Bordeaux, la correspondance administrativ
ssadeur, le cardinal-légat arriva à Fontainebleau le 12 juillet 1664,
vint
faire son entrée à Paris le 9 août, et en reparti
taine, blessé, 11 livres ». En outre, la troupe prit le soin de faire
venir
la garde presque à chaque représentation de ce mo
(fº 88 verso), devenu O 1er, deux formules de Veniat, l’un pour faire
venir
un comédien au Marais, l’autre pour faire venir u
niat, l’un pour faire venir un comédien au Marais, l’autre pour faire
venir
un capucin prêcher l’avent devant le Roi, conçus
Retz, qui, s’ennuyant dans sa somptueuse retraite de Commercy, était
venu
passer quelques jours à Paris, où il était entour
e du 4 juin 1673, à Ottavio Ferrari, savant professeur de Padoue, qui
venait
d’être malade d’une affection de poitrine : « Not
prit et du bon sens. Plus vous étudierez les maîtres et les disciples
venus
après eux, — pater et juvenes patre digni , et p
’insolence, la violence et le besoin de nuire ! De grands poètes sont
venus
qui ont corrigé ces excès, je le veux bien, mais
s parties de ce travail que je voudrais rendre utiles aux écrivains à
venir
, afin de compenser le peu de renommée que j’en es
t bonne précaution que j’indique à tous les écrivains de feuilleton à
venir
; pendant que vous écrivez lentement ces formules
est bien simple, elle est facile à raconter ; et si vous n’étiez pas
venu
me chagriner par votre sortie contre Molière, je
ard ? — J’avoue, dis-je à Henri, que bien souvent cette idée-là m’est
venue
; mais cependant ce même piano d’Érard ne contien
à l’amour de ce pauvre Arnolphe…, elle se jette à la tête du premier
venu
qui lui parle. Tant que vous voudrez, Molière est
rds de la petite Agnès, vous ne voulez pas que je m’attriste quand je
viens
à reconnaître, dans cette enfant qui débite en ro
a peu à peu tous les petits rôles de Molière ; peu à peu l’esprit lui
vint
, puis sa main blanchit, puis son coude et le bras
tes brillantes qu’admirait l’Europe entière. Récemment encore, le roi
venait
d’écrire le nom de Molière sur cette glorieuse li
parvenus de la poésie, se faisait toute la comédie de leur temps. On
venait
leur apporter, des plus beaux salons, toutes sort
l était entre Paris et Versailles, sur les limites de deux mondes qui
venaient
à elle ; elle n’appartenait qu’à demi à ce monde-
ait ignorante. Trente ans plus tard, sous ce thème pilier des halles,
vint
au monde un des plus heureux et des plus beaux es
ge de Louis-le-Grand. Dans cette enceinte illustre où le jeune Arouet
viendra
plus tard, le nouveau venu rencontra parmi tant d
te enceinte illustre où le jeune Arouet viendra plus tard, le nouveau
venu
rencontra parmi tant de condisciples qui l’ont ai
; et pour moi, j’aurais toutes les hontes du monde s’il fallait qu’on
vînt
à me demander si j’aurais vu quelque chose de nou
avarre, assez peu digne de tenir sa place au rang des œuvres qui vont
venir
. Que de fois celui qui écrit ces lignes eut voulu
ar les disgrâces de son tuteur, elle s’adresse à lui-même, afin qu’il
vienne
en aide à ses innocentes amours. Ainsi, l’amoureu
: il fallut renoncer à ce vaste espoir par l’ordre même du cardinal.
Venaient
ensuite madame de Mazarin, madame d’Armagnac, fil
sprit, qu’il les abandonnait à qui les voulait prendre, et le premier
venu
s’arrogeait ce droit-là. L’École des maris, dédié
rôle excellent de Célimène, pour la jeune dame Armande Béjart, qu’il
venait
d’épouser. Elle était une des bonnes comédiennes
omme de pierre, l’immortalité de Tartuffe. Oui, mais à cette heure il
venait
d’atteindre à la plus extrême limite de son art.
village d’Auteuil, où Racine, Despréaux, La Fontaine, égal à Molière,
venaient
partager sa vie et ses plaisirs. Il n’était pas j
e du dix-neuvième siècle. Cette plaisanterie était la dernière ; elle
venait
après Le Malade imaginaire, où Molière lui-même s
gard de son Misanthrope, est une preuve trop authentique de ce que je
viens
d’annoncer, pour n’en pas rapporter ici l’histoir
: on commença de la goûter ; le nombre des spectateurs augmenta ; on
vint
exprès pour Le Misanthrope, et les applaudissemen
mme nous verrons dans la suite. Pendant leur entretien, quelques gens
viennent
visiter sa maîtresse, il voudrait l’obliger à ne
naître les finesses. Dans le reste de l’acte, le valet du Misanthrope
vient
chercher son maître, pour l’avertir qu’on lui est
u Misanthrope vient chercher son maître, pour l’avertir qu’on lui est
venu
signifier quelque chose qui regarde son procès. C
upe partit pour Grenoble, il y resta pendant le Carnaval de 1658a. Il
vint
passer l’été à Rouen ; et dans les fréquents voya
quante-trois ans, entre les bras de deux de ces sœurs religieuses qui
viennent
quêter à Paris pendant le Carême, et qu’il avait
nt partie de ses devoirs, on croira plutôt avec Despréaux que la rime
venait
le chercher*, qu’on n’ajoutera foi à ce qu’avance
roupe de la Raisin dans la sienne. La Beauval quitta la province pour
venir
briller sur le théâtre du Palais-Royal. « Molière
Nos petits-maîtres rengorgés, Nos robins toujours arrangés, Chez toi,
venaient
se reconnaître ; Et tu les aurais corrigés, Si l’
tous les arts dans l’étendue de son empire, quittent le Parnasse pour
venir
à sa cour. Mnémosyne (c’est la Mémoire) fait l’ou
u-dessus de l’Amphitryon latin. Dans Plaute, Mercure dit à Sosie : Tu
viens
avec des fourberies cousues ; Sosie répond : Je v
it à Sosie : Tu viens avec des fourberies cousues ; Sosie répond : Je
viens
avec des habits cousus ; tu as menti, réplique le
: Je viens avec des habits cousus ; tu as menti, réplique le Dieu, tu
viens
avec tes pieds et non avec des habits. Ce n’est p
chez les anciens apprendre au spectateur quelque événement, un acteur
venait
sans façon le conter dans un monologue ; ainsi, A
sans façon le conter dans un monologue ; ainsi, Amphitryon et Mercure
viennent
seuls sur la scène dire tout ce qu’ils ont fait p
es qu’il prétendait plus naturel que ces deux de Molière. Et j’étais
venu
, je vous jure, Avant que je fusse arrivé. » Or
x-huitième jour de juillet 1668, le roi étant parti de Saint-Germain,
vint
dîner à Versailles avec la reine, Monseigneur le
t Clorisc, qui sont deux bergères amies, entendant le son des flûtes,
viennent
joindre leurs voix à ces instruments, et chantent
Sur la fin de l’acte le paysan est interrompu par une bergère qui lui
vient
apprendre le désespoir des deux bergers ; mais co
té d’autres inquiétudes, il la quitte en colère, et Cloris entre, qui
vient
faire une plainte sur la mort de son amant. « Apr
n marié, qui se trouve encore interrompu par la même bergère, qui lui
vient
dire que Tircis et Philène ne sont point morts, e
in toutes ses inquiétudes, et l’emmène pour joindre sa troupe, voyant
venir
toute la foule des bergers amoureux, qui commence
lui que sa compagnie, De qui chacun le Ciel bénie, (Car je suis bien
venu
chez eux,) Firent sans doute de leur mieux ; Et c
c’est de lui qu’est toute l’invention de la scène du jeune homme qui
vient
avouer le rapt, et que l’Avare prend pour le vole
e trait seul : l’amant de la fille ne paraît que dans cette scène, il
vient
sans être annoncé ni préparé, et la fille elle-mê
ue le public par conséquent serait fâché qu’on lui enlevât, mais il y
vient
avec le temps. Peu à peu il développe son système
vait eu en effet des sentiments contraires à son devoir, bien loin de
venir
apprendre à son père que la cassette était retrou
ACTE IV. Scènes IV et V. Pantalon et le Docteur, rivaux, en
viennent
aux mains, et sont deux fois séparés par Scapin,
gesse eut du dessous. Un petit livre, dont je tire, Tout ce qu’ici je
viens
d’écrire*, Se tait des décorations, Dans ses bell
ts que les femmes sur le mérite de leurs rivales en beauté, il en est
venu
avec un peu de temps à l’admirer. « Les personnes
quelque peu devant, Je sortis du collège, et j’en sortis savant, Puis
venu
d’Orléans, ou je pris mes licences, Je me fis avo
uatre ou cinq années de succès dans la province, la troupe résolut de
venir
à Paris. Molière sentit qu’il avait assez de forc
enoble, où il joua pendant tout le Carnaval, après quoi ces comédiens
vinrent
à Rouen, afin qu’étant plus à portée de Paris, le
« [*]Molière mourut assisté par deux sœurs religieuses, de celles qui
viennent
ordinairement à Paris quêter pendant le Carême, e
de leurs noms, et de la bandoulière de messieurs les gardes du corps,
venaient
remplir le parterre et ôter injustement à la trou
Molière, où tu trouves la Rime. On dirait, quand tu veux, qu’elle te
vient
chercher : Jamais au bout du vers on ne te voit b
Enfin quoi que je fasse, ou que je veuille faire, La bizarre toujours
vient
m’offrir le contraire. De rage quelquefois ne pou
erments perdant le souvenir, J’attends de vers en vers qu’elle daigne
venir
, Encor, si pour rimer, dans sa verve indiscrète,
en ses vers l’embarras de choisir : Et toujours amoureux de ce qu’il
vient
d’écrire, Ravi d’étonnement, en soi-même il s’adm
ur à ses naissantes pièces En habit de Marquis, en robes de Comtesses
Venaient
pour diffamer son chef-d’œuvre nouveau, Et secoua
on se passe chez Elmire, femme d’Orgon. Laissez, ma bru, laissez, ne
venez
pas plus loin ; Ce sont toutes façons dont je n’a
Alceste a soin de nous dire que la scene est chez Célimene. Et je ne
viens
ici qu’à dessein de lui dire Tout ce que là-dessu
le : Un rien presque suffit pour le scandaliser ; Jusques-là qu’il se
vint
l’autre jour accuser D’avoir pris une puce, en fa
qu’ils sont très intéressés à savoir tout ce qui regarde un homme qui
vient
pour traverser leur amour, & duquel ils veule
e, on se demande, que veut cet homme ? Et les plaisants répondent, il
vient
pour faire le dénouement. En revanche, il faut au
six. Les bons morceaux de tout, il faut qu’on les lui cede ; Et s’il
vient
à roter, il lui dit, Dieu vous aide. Enfin il en
sceau couvert, Bornoit sa garderobe à son justaucorps vert. Quelqu’un
vient
. Si matin, Nérine, qui t’envoie ? Les trois prem
ACTE I. Scene I. Davus. Mon meilleur ami & mon compatriote Géta
vint
hier me trouver : je lui devois encore quelque pe
sa maîtresse aura accouché, quand le jour de la naissance de l’enfant
viendra
, quand il sera initié aux grands mysteres : enfin
voir personne : Si bien que, les jugeant morts après ce temps-là, Il
vint
en cette ville, & prit le nom qu’il a : Sans
, le dénouement naisse d’une fausse nouvelle apportée par Carlin ? Il
vient
nous dire que l’oncle de son maître est mort, qu’
hrémès. Je vais la voir tout-à-l’heure. Allons, je vous prie, Criton,
venez
-y avec moi, car je crois qu’elle ne me connoîtra
our est heureux pour moi ! Scene V. CARINUS, PAMPHILE. Carinus. Je
viens
voir ce que fait Pamphile ; mais le voilà. Pamphi
able ; mais je vais lui parler. Pamphile. Qui est ici ? Carinus, vous
venez
bien à propos. Carinus. Je suis ravi de votre bon
ais il seroit trop long d’attendre ici qu’il sortît de chez sa fille,
venez
avec moi le trouver. Et toi, Davus, cours au logi
venez avec moi le trouver. Et toi, Davus, cours au logis, & fais
venir
des gens pour porter Glycérion. Pourquoi donc tar
eur. Comme vous êtes le plus honnête homme de tous les Procureurs, je
viens
vous prier de m’aider de votre bon conseil dans u
heval, & je m’en revins comme si de rien n’étoit. Présentement je
viens
d’apprendre que ce coquin-là, Monsieur, fait info
pas qu’il pousse à bout un honnête homme comme vous. Le Patissier. Je
viens
vous prier de retenir un peu vos poursuites. (A s
casions, & ne pas pousser à bout des gens qui s’aident, & qui
viennent
au-devant de vous. . . . . . . . . . . . . . . .
on se laisse séduire. Ariste. Non, non. Lisette. Non, non.Quelqu’un
viendra
vous dire avec ardeur : Voilà trois cents louis ;
? C’est la maudite robe. Elle fait son métier. Ces inspirations ne me
viennent
que d’elle. . . . . . . . . . . . . . . . . . .
aider votre entreprise. Ce n’est point pour plaider qu’ici l’on doit
venir
. J’arrête les procès, loin de les soutenir. Je su
t enfin : C’est temps perdu ; tu ne saurois entrer : retourne d’où tu
viens
: tu ne mettras jamais le pied dans ma maison, qu
ater leur commune infamie. Les prieres ne pouvant l’émouvoir, elle en
vint
aux menaces, & lui dit que, s’il ne lui ouvro
ois endormi, il dormoit profondément : elle fit savoir à son amant de
venir
à sa porte vers minuit, avec promesse de l’aller
guier ne voulant pas être reconnu, se retira aussi savant qu’il étoit
venu
. La belle s’étant éveillée pendant le combat, &am
moins. Aussi-tôt que la belle, qui s’étoit postée sur l’escalier, vit
venir
ses freres, elle se leva pour aller à eux. Qu’est
e ? vous est-il arrivé quelque chose de fâcheux, qui vous oblige à me
venir
voir à cette heure ? Ses freres, la voyant tranqu
ra comme une misérable, une femme de votre qualité ! Ces petites gens
venus
du village, & faits comme des ramonneurs de c
ui lui ont découvert la tendresse de Rosalie. Clairville, impatient,
vient
apprendre son sort de la bouche de d’Orval, &
rval, & l’autre que d’Orval étoit amoureux de Rosalie. Constance
vient
peindre à son frere & à d’Orval les alarmes q
lle est outrée contre d’Orval, elle croit en être trompée. Constance
vient
pour consoler Rosalie, & y réussit très mal p
ra la permission de garder Posalie auprès d’elle. Cette derniere voit
venir
d’Orval, & fuit. D’Orval veut éluder son mar
& empêcher son pere d’y entrer. Clairville, instruit par André,
vient
s’opposer aux desseins de Rosalie, il veut la flé
le Fils naturel ne peut subsister ? Aucune. Voilà pour l’intrigue. «
Venons
aux caracteres. Y a-t-il un amant violent tel que
a à se joindre à lui pour obtenir du Docteur son pere une grace qu’il
vient
lui demander pour son ami Lélio ; en effet le Doc
à vous à vous mêler des affaires de la Cour ! Un bourgeois sensé qui
vient
à la comédie pour se délasser en y riant du ridic
Cabaretier. Ce Danube coule un peu trop fort. Scene II. Madelaine
vient
troubler le College, dire des injures aux membres
sa femme. Madelaine. Ah ! méchant que tu es ! penses-tu que je sois
venue
ici pour boire ? Herman. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8,
alité ne l’empêche d’épouser Antoine, pleure. Les femmes des Echevins
viennent
complimenter l’épouse du nouveau Bourg-mestre, se
t plus où il en est, lui fait refuser la porte. Les Echevins qui sont
venus
le nommer Bourg-mestre, reviennent pour se plaind
ne sachant plus où donner de la tête, il va se pendre, quand Antoine
vient
lui annoncer qu’on n’a feint de l’élire Bourg-mes
rlequin à lui conter quelque jolie histoire. Le valet prend un siège,
vient
s’asseoir familièrement à côté du prince, et lui
sur le commandeur étendu par terre, se relève et s’enfuit. Dona Anna
vient
demander vengeance au roi. Dix mille écus et la g
écoulé que l’impudent marcassin, abusant des bontés de son seigneur,
vint
galoper dans la salle à manger, au moment où l’on
ur table, que le facétieux Arlequin se hâte d’annoncer qu’un incendie
vient
d’éclater dans la cuisine. Tout le monde y court
le du banquet, Don Juan lui dit : “Si j’avais pu croire que tu fusses
venu
souper, ô convié ! j’aurais dépouillé Séville de
s le tombeau du commandeur où celui-ci a invité à son tour Don Juan à
venir
souper. Arlequin, voyant que tout est sombre, dit
r à ses naissantes pièces, En habit de marquis, en robe de comtesses,
Venaient
pour diffamer son ouvrage nouveau, Et secouaient
1658, ses amis lui conseillèrent de s’approcher de Paris, en faisant
venir
sa troupe dans une ville voisine. C’était le moye
l avait passé le Carnaval à Grenoble, d’où il partit après Pâques, et
vint
s’établir à Rouen. Il y séjourna pendant l’été, e
résents à cette représentation. La pièce étant achevée, M. de Molière
vint
sur le théâtre, et après avoir remercié Sa Majest
par les applaudissements qu’il reçut de ceux qu’il avait prié de les
venir
voir. « Après le succès de ces deux pièces, son t
aire voir, y trouvaient amplement de quoi se contenter : ainsi l’on y
venait
par coutume, et sans dessein d’écouter la comédie
e de Flanquin, valet de chambre du baron de La Taupinière. Ce dernier
vient
chez Artémise et Iscarie, à titre de bel esprit,
charmant et le plus délicat qui ait jamais paru au théâtre ; l’on est
venu
à Paris de vingt lieues à la ronde, afin d’en avo
ps toutes les provinces, et avoir joué à Grenoble, à Lyon et à Rouen,
vint
enfin à Paris en 1658. Le prince de Conti lui don
“M. lui dis-je, nous approuvions vous et moi toutes les sottises qui
viennent
d’être critiquées si finement, et avec tant de bo
t. M. Ribercourt, gentilhomme manceau, est député de sa province pour
venir
à Paris demander la suppression du langage précie
picarie lui remet une lettre, par laquelle il apprend que tout ce qui
vient
d’arriver a été concerté pour se moquer de lui.
plus d’une fois l’occasion de comparer à Molière les auteurs qui sont
venus
après lui, non sans doute pour faire ressortir le
u, comme elle le dit elle-même, Quatre mois, sans reproche, Quand il
vint
à Paris, en guêtres, par le coche. À l’en croire
ait pu les arrêter, lorsque l’exemple de la licence et de la débauche
venait
d’en haut ? L’amour du luxe et le besoin des plai
ui nous lie Que les fâcheux besoins des choses de la vie ; Et l’on en
vient
souvent à s’accuser tous deux. De tous les noirs
rendre publique leur ingratitude réduit à cette cruelle extrémité de
venir
eux-mêmes remettre aux mains du vieillard l’acte
-il pas de dire à M. Dupré : Le jour de votre fête, elle n’est point
venue
; Je n’en suis pas surpris. Comment l’auriez-vous
air de leurs biens. Le jeune Charles, ruiné par une de ces faillites,
vient
en annoncer la nouvelle à son protecteur. J’ai vu
ti cet été. Je roulais vers Bordeaux, où tendait mon voyage : Soudain
vient
à passer un brillant équipage Qui, par mon phaéto
eille matière. Celle-ci ne trouve pas de moyen plus efficace, pour en
venir
à ses fins, que de conseiller à son vieil époux,
s irréprochables sans doute, mais d’après l’espèce d’analyse que nous
venons
d’en donner, on peut apprécier la pensée qui prés
laré coupable et condamné à mort. Scène pathétique, où la mère d’Éric
vient
dans la nuit supplier Christine de sauver son fil
ocence d’Éric, se charger pour la reine d’une lettre que sa fille lui
vient
d’écrire, et qui pourrait le sauver. « Ah ! c’en
que celui d’aller chercher du vin à sa cave pour le souper auquel il
vient
d’inviter les promoteurs de son triomphe ? Non, s
itude. Si Le Misanthrope et Le Tartuffe n’existaient pas, et que l’on
vînt
nous en dire la fable et le plan, dont quelque au
ndamne dans les autres, et cependant il n’est pas vertueux. Mais d’où
vient
qu’il ne l’est pas ? Cela vient d’un seul défaut,
dant il n’est pas vertueux. Mais d’où vient qu’il ne l’est pas ? Cela
vient
d’un seul défaut, et ce défaut, c’est une sorte d
toutes les manières ; Et comme votre esprit a de grandes lumières, Je
viens
, pour commencer entre nous ce beau nœud, Vous mon
. L’importance qu’Oronte attache à son sonnet, le soin qu’il prend de
venir
consulter pour savoir s’il doit le publier, montr
ire enfin, si Alceste n’est pas en effet véritablement vertueux, d’où
vient
la sympathie qu’on éprouve pour lui, et pourquoi
eut-être trouverez-vous, mon cher Eugène, que ces longs détails où je
viens
d’entrer n’ont pas avec le sujet qui nous occupe
du théâtre. Deuxième lettre sur le Misanthrope. D’après ce qui
vient
d’être dit, vous ne trouverez pas étrange que peu
s. PHILINTE. Vous devez faire voir des sentiments traitables. Allons,
venez
. ALCESTE. J’irai; mais rien n’aura pouvoir De me
du quatrième acte, celle où le Misanthrope, armé de la fatale lettre,
vient
s’en expliquer avec Célimène. Quelle scène toucha
oi, dit Philinte à son ami, pourquoi montrez-vous pour les gens qu’on
vient
d’attaquer, Un intérêt si grand ? Vous qui cond
nt comme il fit connaissance de Tartuffe : Chaque jour à l’église il
venait
, d’un air doux,’ Tout vis-à-vis de moi se mettre
qui lui sert de garçon Oui ne se mêle aussi de nous faire leçon : Il
vient
nous sermoner avec des yeux farouches, Et jeter n
vait faire une si grande impression enfin si les appas de la première
venue
excitaient à ce point sa convoitise, il est à pré
aire de l’éclat, et il l’appréhende ; sans qu’une pareille entreprise
vienne
aux oreilles du prince, à qui il dérobe sa marche
jamais dans aucun piège, par conséquent bien assuré tôt ou tard d’en
venir
à se fins; un tel personnage n’aurait assurément
sonne n’en eût eu l’idée. À qui donc, en effet, la pensée serait-elle
venue
qu’une femme comme Elmire eût pu jamais descendre
? Et lorsque j’ai voulu moi-même vous forcer À refuser l’hymen qu’on
venait
d’annoncer, Qu’est-ce que cette instance a dû vou
s’avise de prendre ; Et l’ennui qu’on aurait que ce nœud qu’on résout
Vint
partager du moins un cœur que l’on veut tout ? O
s propos si doux, Qu’un peu de vos faveurs, après quoi je soupire, Ne
vienne
m’assurer tout ce qu’ils m’ont pu dire, Et plante
de l’espèce, et que Molière en a peint la généralité. D’après ce qui
vient
d’être exposé, l’un des points les plus important
: Ah ! pour être dévot, je n’en suis pas moins homme ; Et lorsqu’on
vient
à voir vos célestes appas, Un cœur se laisse pren
btenu aux dépens de la vérité. On ne saurait admettre que l’homme qui
vient
d’implorer à genoux et les larmes aux yeux la grâ
ait grossière sur l’ensemble d’un rôle, et jamais, par exemple, il ne
viendra
à l’idée d’aucun comédien, pas même des moins int
cessé d’être une grande nation ! » Heureusement, ce jour-là n’est pas
venu
ni près de venir : Corneille est populaire chez n
grande nation ! » Heureusement, ce jour-là n’est pas venu ni près de
venir
: Corneille est populaire chez nous, autant que p
: revu ; mais combien sont-ils avec moi qui ne l’ont jamais vu, étant
venus
trop tard, après Bressant trop vieux ? Ainsi Moli
ls ? Voici Voltaire tout seul, avec Mahomet tout sec. Ensuite il faut
venir
jusqu’au Charles VII de Dumas père, à la Marie St
! Mais M. de La Rounat, à qui je l’avais d’abord présentée, m’a fait
venir
: Monsieur, m’a-t-il déclaré, vous n’avez pas le
, nous déplorerons que le culte des grands classiques, et de ceux qui
viennent
tout de suite après les grands, y soit négligé co
Je voudrais m’écrier : « Ah ! qu’ils sont beaux les pieds de ceux qui
viennent
chausser le cothurne ! » Je ne vois venir que des
ux les pieds de ceux qui viennent chausser le cothurne ! » Je ne vois
venir
que des pieds à brodequins et à souliers vernis.
ppelait Belleville dans la tragédie, et Turlupin dans la farce ; d’où
vient
le mot de turlupinage. Hugues Guéret était connu,
s toutes les provinces, et avoir joué à Grenoble, à Lyon, à Rouen, il
vint
enfin à Paris en 1658. Le prince de Conti lui don
ui comme Lélius avec Térence. Le grand Condé exigeait de lui qu’il le
vînt
voir souvent, et disait qu’il trouvait toujours à
omédie. Molière en prit soin comme de son propre fils. Un jour, Baron
vint
lui annoncer qu’un comédien de campagne, que la p
ur, vous n’aviez peut-être pas dessein de me donner un louis d’or, je
viens
vous le rendre. — Tiens, mon ami, dit Molière, en
Il fut assisté quelques moments par deux de ces sœurs religieuses qui
viennent
quêter à Paris pendant le carême, et qu’il logeai
ameux Chapelain : Nous adorions vous et moi, toutes les sottises qui
viennent
d’être si bien critiquées ; croyez-moi, il nous f
s, nimium patienter utrumque. Dans Plaute, Mercure dit à Sosie : Tu
viens
avec des fourberies cousues. Sosie répond : Je
à Sosie : Tu viens avec des fourberies cousues. Sosie répond : Je
viens
avec des habits cousus. Tu as menti, réplique le
: Je viens avec des habits cousus. Tu as menti, réplique le Dieu, tu
viens
avec tes pieds, et non avec tes habits. Ce n’est
ez les anciens apprendre aux spectateurs quelque événement, un acteur
venait
sans façon le conter dans un monologue ; ainsi Am
sans façon le conter dans un monologue ; ainsi Amphitryon et Mercure
viennent
seuls sur la scène dire tout ce qu’ils ont fait,
c’est de lui qu’est toute l’invention de la scène du jeune homme qui
vient
avouer le rapt, et que l’Avare prend pour le vole
trait seul : l’amant de la fille ne paraît que dans cette scène ; il
vient
sans être annoncé ni préparé, et la fille elle-mê
; ce langage peut plaire, mais il ne peut jamais émouvoir, et l’on ne
vient
au spectacle que pour être ému. Il faut encore co
Arlequin, il dit qu’il est noyé. Un Génie, monté sur un cheval marin,
vient
au secours des Amants & d’Argentine ; il ench
trône. Neptune, des Dieux marins, des Tritons, sortent des eaux &
viennent
, par leurs danses & par leurs chants, encoura
’épée à la main pour punir Arlequin ; celui-ci l’enchante. Le Docteur
vient
pour parler au Prince, le touche, & demeure e
fin, un barbouilleur touche Argentine & prend sa place : Arlequin
vient
, rit de l’attitude du barbouilleur, & s’amuse
question de le lui faire manquer, en lui suscitant des importuns qui
viennent
l’un après l’autre l’arrêter. L’homme qui l’entre
on lui voit trahir & la passion & la bourse, pour le premier
venu
qui lui donnera dans la vue. Mais ne trouvez pas
pe d’une infidélité si ordinaire aux coquettes du temps, & que je
vienne
vous assurer, devant bonne compagnie, que je romp
viens de lui dicter sur une Épître de Cicéron. La Comtesse. Faites-le
venir
, Monsieur Bobinet. Bobinet. Soit fait ainsi que v
Royaume, où il commença de s’acquérir une fort grande réputation. Il
vint
à Lyon en 1653 et ce fut là qu’il exposa au publi
1658, ses amis lui conseillèrent de s’approcher de Paris, en faisant
venir
sa Troupe dans une Ville voisine : C’était le moy
l avait passé le carnaval à Grenoble, d’où il partit après Pâques, et
vint
s’établir à Rouen. Il y séjourna pendant l’Été, e
t à cette représentation. La Pièce étant achevée, Monsieur de Molière
vint
sur le Théâtre, et après avoir remercié Sa Majest
, il la fit jouer le premier jour au prix ordinaire, mais le peuple y
vint
en telle affluence, et les applaudissements qu’on
, pour abréger, voyez, magister, à quoi vous voulez vous résoudre, ou
venir
en prison, ou donner la bonne main à la compagnie
e français ; elle est surtout beaucoup moins sage que celles-ci. Elle
vient
, comme les valets ses camarades, en droite ligne
eriera (la Femme de chambre) de Nicolo Secchi (1587) : ALBERTO. Vous
venez
bien à propos, madonna. BUONA. La Madonna est dan
re : celle-ci a fait ceci, cette autre a fait cela. Hélas ! Où en est
venu
le monde ? ALBERTO. Vous ne dites que trop vrai.
et d’autre ; ils sont à peu près les mêmes toujours et partout. Nous
venons
d’indiquer ce que la comédie soutenue ajoute aux
e de la part de son époux. Mais... qu’ai-je vu ? comment ? d’où vous
vient
mon portrait ? Vous n’en êtes chargé que pour me
ainsi n’en parlons plus. Angélique meurt de dépit, quand Sainville
vient
savoir quel effet a produit son billet amoureux.
mpatience où je suis est trop vive. Angélique. Fuyons ; sans doute il
vient
jouir de son forfait. Sainville. Vous me fuyez ?
part. De peur que je n’en doute encore, il en convient. Sainville. Je
viens
vous assurer de tout ce qu’il contient. Angélique
obé ? Me. Jacques Je parle d’un cochon de lait que votre Intendant me
vient
d’envoyer, & je veux l’accommoder à ma fantai
Sérieusement ? — Oui, la premiere fois que vous me ferez l’honneur de
venir
chez moi, il me sera facile de prendre un prétext
que pour un tigre altéré de mon sang ; &, puisque tu en as soif,
viens
donc percer ce cœur que tu dis qui ne t’appartien
éponse du Marquis, qui le releva, & l’embrassa tendrement. — Vous
venez
, mon cher fils, lui dit-il, de déchirer le voile
rai de ma vie. J’allois, sans vous, me couvrir d’un opprobre éternel.
Venez
, Comte, venez être témoin de mon repentir, &
J’allois, sans vous, me couvrir d’un opprobre éternel. Venez, Comte,
venez
être témoin de mon repentir, & des pardons qu
Elle n’a pu voir son époux, parcequ’elle se cache toujours lorsqu’il
vient
du monde chez son amie. Un jour elle l’apperçoit,
ransport indiscret, Avec quelque bonté daignerez-vous m’entendre ? Je
viens
chercher ma grace ; à quoi dois-je m’attendre ? L
aimerois bien autant boire de la ciguë : Un œil crevé, mon Dieu ! que
viens
-je faire ici ? Que je suis un franc sot de m’hasa
çons. Mon cartel est reçu, je n’en fais point de doute : Mon homme ne
vient
point, peut-être il me redoute. Hélas ! plaise au
s notre cœur un peu trop retenu. Çà, je pose le cas que mon homme est
venu
: Nous avons dégaîné, nous sommes en présence, Tâ
ré ton coup. Courage ! il est à moi. Tu recules, poltron ! Pare cette
venue
. Plus bas, plus bas, coquin ; j’ai défendu la vue
te de saint Louis ? M. Jourdain. Taisez-vous, ma femme ; je vous vois
venir
. Mad. Jourdain. Descendons-nous tous deux que de
ous. Je suis persuadé que le goût d’expression qui regne aujourd’hui,
vient
moins d’une imagination heureuse que de la stéril
uffit pour le prouver. Diction d’esprit. Les Auteurs qui sont
venus
après le pere de la vraie comédie, ont, je n’en d
en haleine, Qu’on les auroit couverts tous d’un seul justaucorps. Il
vient
à la forêt : nous lui donnons alors La vieille me
ée en sa simplicité, Joua les Saints, la Vierge, et Dieu, par piété.
Viennent
ensuite, d’abord la renaissance des lettres, puis
ire christianisme et paganisme, chanté à quelque repas d’évêque. Puis
viennent
les poèmes allégoriques de Hroswitha, dont on a v
de Théophile, enfin le Jeu de la Feuillée (car les six poèmes que je
viens
d’indiquer composent tout l’inventaire dramatique
ont œillades Les Nymphes les écouteront, Et les Dryades danseront Pan
viendra
faire ses gambades, Revenant des champs Elysées ;
émons, envoyés par Lucifer, « issirent » de la gueule infernale, pour
venir
observer celle qui menaçait leur empire ; et d’un
fait autant de scènes, sans compter les démons qui sans cesse vont et
viennent
pour examiner ce qui se passe, et qui, voyant que
tirer un ciel couleur de feu, auquel sera écrit Cœlum empyrœum. »Puis
venaient
les anges et parmi eux Lucifer. Dieu créait alors
du Mystère de Metz. C’est la 12e de a 4e journée : Joseph d’Arimathie
vient
, avec Nicodème, de détacher Jésus de la croix; Sa
de rôtir et d’un prétendu vin d’ami dont son client lui a fait fête,
vient
pour toucher son argent, et faire en même temps u
n est vaincu, non sans peine; il se sauve, persuadé que le diable est
venu
, sous la figure de Patelin, prendre son drap : .
s Pyrrhe et des Ulysse : il semble qu’un nouveau cheval de Troie soit
venu
ouvrir ses flancs sur notre scène. La comédie, qu
ressa à l’assemblée les vers suivants : Par de longs compliments on
vient
pour vous séduire, Et pour mendier des succès :
e rapport à la querelle des deux Auteurs. PROLOGUE. Un jeune étourdi
vient
fendre la presse sur le théâtre en cherchant Vale
m’as donné rendez-vous ici pour voir une piece nouvelle, & on me
vient
dire que c’est le Joueur. Belle nouveauté ! il y
its : le poëte dit que Moliere a gâté le théâtre. Scene IV. Fanchon
vient
avertir Oronte d’aller chez son procureur. Oronte
tichambre ; & pour prologue vous mettrez la conversation que nous
venons
d’avoir. Fanchon se charge de fournir l’intrigue,
i le commencement. LE LUXE ET LA DISETTE. Le Luxe. Allons, ma fille,
venez
avec moi, afin que vous fassiez votre office. La
on ami, arrête ! que diable veux-tu dire ? Je vois déja où tu en veux
venir
. Quoi ! toujours des Auteurs, des Marquis ! Eh !
u’il s’ensuit souvent des réponses dures, & que des duretés on en
vient
ordinairement aux mains, j’ai mieux aimé, crainte
p; que je vous en ai fait mes plaintes ». Le même jour le jeune homme
vint
voir le Pere, qui, après une longue conversation,
. Le Moine envoya chercher son ami, & dans son emportement il en
vint
jusqu’aux injures. « Vous m’aviez solemnellement
le prie le Docteur de mettre ordre aux insolences de son écolier, qui
vient
, dit-elle, continuellement sous ses fenêtres lui
s dernieres intentions. Léandre est incorrigible, dit-elle : Il est
venu
par le mur du jardin, A monté par-dessus ; il s’e
soudain Tout le long d’un figuier, &, sans se faire entendre, Est
venu
justement au-dessus de ma chambre ; A grimpé comm
t au Capitan qu’il est l’esprit du meilleur de ses parents, qu’il est
venu
pour garder son honneur pendant son absence : il
énéreusement cinquante mille écus. Il trouve Belti charmante, la voit
venir
, & sort. Belti est enchantée de retrouver so
bois. Mowbrai, touché, appelle John. Mowbrai ordonne à John de faire
venir
le Notaire : il félicite Belton de posséder le cœ
d’un endroit couvert de buissons qu’il y avoit derriere lui, & le
vint
trouver. Surpris d’abord l’un & l’autre de ce
s à l’approche de cette isle, notre jeune homme, rêveur & pensif,
vint
à considérer le temps qu’il avoit perdu & à c
s la sienne ; on lui a dit en France que cela portoit malheur. Zaïde
vient
joindre son mari ; elle s’est amusée à voir rentr
Nébi, furieux, se plaint du Marchand : le Médecin qu’il lui a vendu
vient
d’ordonner l’air natal à son esclave favorite. Il
vie, & tout ce que j’ai de plus précieux ! Tout vous appartient ;
venez
être mon maître à Smyrne ; je suis à vous comme j
ives. Il plut des réponses et ce fut un beau bruit. Les échos en sont
venus
jusqu’à nous, fournissant une ample tablature à m
s, s’il ne l’eût trahi ; il en naîtra l’année prochaine un fils, à la
venue
duquel assistera pieusement Colbert. Le roi, ador
aux abbés ; et l’un deux, le d’Aubignac, si fort ennemi de Corneille,
vient
d’en fonder une autre, l’académie des Allégoriste
art, pardieu ; Madeleine Béjart, dont, toute réflexion faite, Molière
vient
d’épouser la sœur. — Il en a épousé la sœur ? — T
qu’une rime, Et s’il faut qu’avec elle on joue au corbillon, Et qu’on
vienne
à lui dire à son tour : Qu’y met-on ? Il veut qu’
dit à le faire pâmer de joie ; jusque là que, l’autre jour, elle est
venue
lui demander Avec une innocence à nulle autre pa
s, hé ? Contez-moi ça ? — Et voyez comme son œil pétille ; l’eau lui
vient
à la bouche. Horace d’ailleurs ne le fait point l
e est une étrange chose, Agnès ! On prétend qu’un jeune homme est ici
venu
, que vous avez écouté ses harangues ; j’ai gagé q
es naïves d’une innocente ! Horace donc lui raconte comment Agnès est
venue
aussi voir s’il était mort ; et quelle joie elle
; Arnolphe se relève exaspéré, fait enfermer Agnès, trahit Horace qui
vient
le prier d’intercéder pour lui près de son père…
, tout à l’heure si ferme et si chaude : c’est l’homme cette fois qui
vient
à nous. Des applaudissements s’élèvent au parterr
, à s’en tenir les cotes. On continua, certes, à la fronder ; mais il
vint
tant de monde Que jamais sujet important Pour le
voir sa muse altière éclipsée par la muse gaillarde du génie nouveau
venu
. Le Portrait du Peintre eut du succès. C’est exac
rs à Molière. Il avait conquis son public, il faisait de l’argent, il
venait
d’épouser la femme qu’il aimait, elle allait le r
pendant treize ans, Afin qu’un jeune fou dont elle s’amourache Me la
vienne
enlever jusque sous la moustache ! Mais ce n’est
n voulez à Agnès ? Avez-vous ce courage ? Je vous en prie, laissez-la
venir
à vous,comme les petits enfants, avec cette cande
-la venir à vous,comme les petits enfants, avec cette candeur qui lui
vient
bien plus de.la droiture de sa jeunesse que de l’
de ; elle sera sa digne compagne et non sa servante avilie ; et quand
viendront
ces enfants, qu’elle envisage d’avance sans friss
. Quel livre voulez-vous lire en votre chagrin ? Valere. Celui qui te
viendra
le premier sous la main, Il m’importe peu ; prend
citer, je vais leur avouer mon secret, & leur dire où je veux en
venir
. Mon dessein est de me servir de ces mêmes exempl
uger de sa puissance extrême, Puisque, seule, à cette heure, elle est
venue
ici Me découvrir, à moi, son amoureux souci, Me d
appris le désespoir Où j’ai précipité celui qu’elle aime à voir, Elle
vient
me prier de souffrir que sa flamme Puisse rompre
Où me faisoit du sang relâcher la tendresse, J’allois faire avec moi
venir
coucher Lucrece, Dont vous me vantez tant les ver
. Ce langage peut plaire, mais il ne peut jamais émouvoir, et l’on ne
vient
au spectacle que pour être ému. » Il en fut ains
ce canevas fort simple. Aussitôt qu’il apercevait, dans le lointain,
venir
une des bévues où tombe l’étourdi, c’étaient part
aissé vide, une fontaine nouvelle allait être reconstruite, lorsqu’on
vint
à se rappeler qu’en face de ce terrain étaient le
heureuses de M. Eudore Soulié dans les archives du notariat parisien,
viennent
compléter celles faites par M. Beffara et par M.
stoïque, Qui fête le génie au bruit de leur canon… En 1873, lorsque
vint
le deux-centième anniversaire de la mort de Moliè
quelque peu devant, Je sortis du collège et j’en sortis savant ; Puis
venu
d’Orléans où je pris mes licences, Je me fis avoc
oute cependant que cette vocation ne se fût déjà révélée, car on n’en
vient
pas brusquement à monter sur la scène et à embras
t ans, lorsque Molière en avait vingt-trois. Marie de Rabutin-Chantal
venait
d’épouser, à l’âge de dix-huit ans, le marquis de
de ses amis chez une jeune fille dont il était amoureux ; le nouveau
venu
s’établit chez la demoiselle sur les ruines de so
quatre mois auparavant. Item que les pièces nouvelles de théâtre qui
viendront
à la troupe seront disposées5 sans contredit par
rtain de ce que j’écrirais ; mes idées étaient confuses ; cet ouvrage
vint
les fixer. Le dialogue me fit voir comment causai
ince, moins exigeante, un plus favorable accueil. L’esprit d’aventure
venait
volontiers en aide, à cette époque, au goût de la
de Madeleine Béjart. Mais quand le duc d’Épernon eut-il l’occasion de
venir
au secours de Madeleine ? Cela se rapporte-il à d
e Molière poète tragique reste à l’état d’hypothèse pure ; rien n’est
venu
la confirmer jusqu’ici. On voit que l’année 1646
ainsi conçu : « La troupe des comédiens de M. le duc d’Épernon étant
venue
exprès de la ville de Tholoze en cette ville (Alb
« Du jeudi 23e jour d’avril mille six cent quarante-huit… Ce jour est
venu
au Bureau le sr Morlierre, l’un des comédiens de
bien possible que Louis Béjart, celui qu’on surnommera l’Éguisé, fut
venu
se joindre au reste de la famille ; il avait alor
de chez… (en blanc). Le même jour, le sieur du Fraisne comédien, est
venu
dans la Maison de ville nous rendre ses devoirs d
age était long et le déplacement coûteux. Le duc n’hésite pas à faire
venir
ses comédiens, et ceux-ci s’empressent de répondr
tations pendant un espace plus long encore. Leurs acteurs et actrices
venaient
souvent à Paris passer le carême, dit Chapuzeau d
n en pourrait conclure que ces comédiens n’étaient point des nouveaux
venus
. Nous allons désormais les voir presque tous les
la mauvaise qualité de mon manteau qui lui semblait trop lourd ; cela
vient
du grand amour qu’il a pour ses chevaux, qui doit
face des œuvres de Molière de 1682 s’expriment ainsi : « Il (Molière)
vint
à Lyon en 1653, et ce fut là qu’il exposa au publ
r coup, ce jeu de Collin-Maillard que semblent jouer les personnages,
vient
bien à son heure, quoiqu’elle n’ait aucune préten
t traîné jusqu’alors la guerre civile dans cette province ; un traité
venait
d’être conclu avec lui, et ce traité lui assignai
ques mois ; puis, vers la fin de l’année, il se rendit à Paris : il y
vint
épouser (le 24 février 1654) la nièce du ministre
de Molière et de la Béjart était en Languedoc ; je leur mandai qu’ils
vinssent
à la Grange. Pendant que cette troupe se disposai
qu’ils vinssent à la Grange. Pendant que cette troupe se disposait à
venir
sur mes ordres, il en arrive une autre à Pézenas,
emandé qu’on lui payât au moins les frais qu’il avait fait faire pour
venir
, je ne pus jamais l’obtenir, quoiqu’il y eût beau
du prince de Conti) que j’avais intéressé à me servir, accorda qu’ils
viendraient
jouer une fois sur le théâtre de la Grange. Cette
y est-il dit, acteur distingué et excellent auteur de comédies, était
venu
à Vienne. Boissat lui témoignait beaucoup d’estim
dite cour, lequel, après avoir laissé passer les trois ordres, serait
venu
à eux et leur aurait dit qu’il était forcé de les
le précieux papier dans sa gorgerette et s’en retourne comme elle est
venue
, après une belle révérence à Molière accompagnée
tous mes désirs : Ô célestes plaisirs, Doux transports d’allégresse !
Viens
, mort, quand tu voudras, Me donner le trépas, J’a
mes et en a écarté beaucoup d’autres. Une troupe de comédiens s’était
venue
établir dans une petite ville proche d’ici : il l
ns les premiers jours d’avril, la troupe, traversant toute la France,
vint
s’établir à Rouen. Leur séjour assez long dans ce
que constaterait la distribution d’Andromède. Les comédiens n’étaient
venus
à Rouen, comme le disent les auteurs de la préfac
eux années de moins que le roi, c’est-à-dire dix-huit ans. On lui fit
venir
l’envie d’avoir une troupe de comédiens et on lui
e dans Le Bourgeois gentilhomme ; Pancrace, Marphurius et Métaphraste
viennent
sans doute de là. Le Fagotier, enfin, devait, plu
est maintenant, J’entends comédien, dont il tire la gloire Qu’il nous
vient
d’étaler racontant son histoire. Le langage est
ua surtout comme acteur dans le rôle de Mascarille. Le Dépit amoureux
vint
ensuite, dans le mois de décembre, et ne fut pas
la vieille souche gauloise, écrivain d’une veine libre et hardie, il
venait
dresser drapeau contre drapeau ; il comprit qu’il
un nombreux public bourgeois et populaire, car la nouvelle de la paix
venait
d’arriver à Paris et la ville était en liesse. La
écolières, qui semblaient avoir pris ses Conversations pour modèles.
Venaient
enfin les héros qui se chargent d’éblouir et de m
r, lui dis-je, nous approuvions, vous et moi, toutes les sottises qui
viennent
d’être critiquées si finement et avec tant de bon
s charmant et le plus délicat qui ait jamais paru au théâtre : on est
venu
à Paris de vingt lieues à la ronde, afin d’en avo
roché à Molière de n’avoir pas continué à marcher dans la route où il
venait
d’entrer ; quelques critiques auraient voulu qu’i
lace, et que, servant en même temps de siège et de marchepied, chacun
venait
à s’entrecrotter, marchait sur les habits de ceux
te personnifient, l’un ce fonds de rugosité et de barbarie morale qui
venait
du passé, l’autre la société nouvelle qui tendait
miracle, que la nature opère pour plaire au plus grand roi du monde,
vient
à propos tirer de peine le directeur aux abois, e
aurait eu là peut-être une tradition de famille. Que l’anecdote soit
venue
au jour tardivement, c’est ce qui ne peut être ni
de Versailles, fit sortir avec humeur un contrôleur du roi qui était
venu
prendre sur une banquette la place que lui assign
ans un de ses régiments. Ainsi honteusement chassé de cette salle, il
vint
se placer sur le passage du roi dans la grande sa
’est pas odieuse, et la fantaisie me prit de la suivre, quand elle me
vint
. Qu’il vous souvienne donc de l’embarras où ce ma
, tout plein d’Homère, Dis-toi bien qu’en vain l’homme espère Pouvoir
venir
jamais à bout De ce qu’un grand dieu n’a su faire
nq ans après l’autre, aurait été une preuve d’infidélité. Un fait est
venu
ruiner l’échafaudage que M. Fournier a laborieuse
es n’ont pas seulement porté la lumière sur le point capital que nous
venons
d’examiner ; ils ont rectifié encore plus d’une f
i durant treize ans, Afin qu’un jeune fou dont elle s’amourache Me la
vienne
enlever jusque sur la moustache, Lorsqu’elle est
à ses naissantes pièces, En habits de marquis, en robes de comtesses,
Venaient
pour diffamer son chef-d’œuvre nouveau Et secouai
t, qui, pour la première fois peut-être, paraissait sur la scène et y
venait
défendre son mari. C’est la précieuse, la prude C
ntéressantes dans cette rapsodie, où il n’a manqué que le talent pour
venir
en aide à la méchante volonté. Les comédiens de l
LE MARQUIS. Belles railleries ! ALCIDON. Il est fait tout de même; il
vient
le nez au vent, Les pieds en parenthèse et l’épau
ait eu que le temps de prendre un de ses brodequins, et qu’elle était
venue
donner des marques de son obéissance un pied chau
ant ce public de princes, de grands seigneurs et de grandes dames qui
venaient
d’admirer le ballet des douze signes du Zodiaque,
nt fort à leur gré : ainsi s’exprime le gazetier Loret. Mais le blâme
vint
ensuite, et probablement du dehors, de Paris, sui
rincesse d’Élide devant le nonce romain. Il paraît même qu’on lui fit
venir
l’envie d’entendre une lecture de cette pièce du
Molière. Si M. le Notre est à Paris, il faudrait faire en sorte qu’il
vint
le plus tôt qu’il pourrait. Parlez-lui et dites-l
qui l’a poursuivie partout et ne lui a laissé aucun lieu de retraite,
vient
enfin de connaître que Molière est vraiment diabo
l’a vu, de Pierre Roullé) ; et, pour le punir comme il le mérite, il
vient
d’ajouter une nouvelle pension à celle qu’il lui
taine, blessé, 11 livres. » En outre, la troupe prit le soin de faire
venir
la garde presque à chaque représentation de ce mo
lle, vêtu d’un habit de camelot gris-blanc doublé de rouge, le serait
venu
accoster, et entendant le plaignant parler de ce
s son jardin d’Auteuil, quand un de ses amis, nommé Chapelle, qui s’y
venait
promener par hasard, l’aborda, et, le trouvant pl
us saviez ce que je souffre, vous auriez pitié de moi. Ma passion est
venue
à un tel point qu’elle va jusqu’à entrer avec com
ant ensemble. » Mais une querelle qui s’éleva pendant les répétitions
vint
déconcerter ses projets. « Mademoiselle Molière,
medi, jour où l’on ne jouait pas, un huissier de la cour du Parlement
vint
, de la part du premier président de Lamoignon, dé
it essayer presque d’inquiéter le monarque pour ses divertissements à
venir
. Le 11 août, une ordonnance de l’archevêque de Pa
e sieur de La Vallée et le jardinier, on ne dit pas à quel propos, en
vinrent
aux mains, se colletèrent et se renversèrent l’un
oileau, Lulli, de Jonsac, Nantouillet, conduits par Chapelle, étaient
venus
demander à souper à Molière dans sa retraite d’Au
ère dans le quartier, jusqu’à ce que des recherches plus approfondies
viennent
en confirmer l’exactitude ou la rectifier, s’il y
o, afin d’arracher à Pantalon l’argent dont son fils Horace a besoin,
vient
lui dire que ce fils est tombé entre les mains de
eut en dire autant, presque avec certitude, de la scène où Zerbinette
vient
raconter à Géronte lui-même le tour que son fils
oupe que la réception à demi-part de Marie Ragueneau de l’Estang, que
venait
d’épouser La Grange. CHAPITRE XVI. DERNIÈRE ŒU
le monte. » Il resta assisté de deux sœurs religieuses, de celles qui
viennent
ordinairement à Paris quêter pendant le carême, e
t aller en faire lever un troisième, qui n’arriva que lorsque Molière
venait
d’expirer. Mais, grâce à la présence des deux sœu
culté de médecine, Tant soit peu, dit-on, s’en chagrine, Et… mais qui
vient
en ce moment M.’interrompre si hardiment ? Ô dieu
prêtres habituez en ladite paroisse, qui refusèrent plusieurs fois de
venir
; ce qui obligea le sieur Jean Aubry d’y aller lu
; ce qui obligea le sieur Jean Aubry d’y aller lui-même pour en faire
venir
, et de fait fit lever le nommé Paysant, aussi prê
emps ledit feu Molière décéda, et ledit sieur Paysant arriva comme il
venait
d’expirer ; et comme ledit feu Molière est décédé
de l’ami de Despréaux, écrivait à un savant professeur de Padoue qui
venait
d’être malade d’une affection de poitrine : « Not
r ami. Les faquine en diable et demi. Ces marquis de haut apanage Lui
viennent
encor rendre hommage… J’aurais pu jouir davantage
ouir davantage D’un si facétieux langage : Mais un tintamarre soudain
Vint
interrompre ce lutin. Lorsque, par une ample sati
à ses naissantes pièces, En habits de marquis, en robes de comtesses,
Venaient
pour diffamer son chef-d’œuvre nouveau, Et secoua
nce. Le président la conjura de nouveau d’y donner tous ses soins, et
venait
tous les jours savoir s’il y avait lieu d’espérer
ient opposés à sa passion, et qu’elle avait parole de la Molière pour
venir
chez elle le lendemain ; l’amoureux président lui
re du rendez-vous, où il se trouva longtemps avant la demoiselle, qui
vint
avec un habit fort négligé, comme une personne qu
t été trompé. Elle lui fit valoir l’obligation qu’il lui avait d’être
venue
dans ces sortes de lieux dont le nom seul lui fai
et quand vous manquez au rendez-vous que vous m’avez donné et que je
viens
tout inquiet vous trouver, craignant qu’il ne vou
qu’elle voyait. Le président, de son côté, ne pouvait comprendre d’où
venait
le silence de la Molière. « Enfin, lui dit-il, do
ssait si loin qu’elle ne la pouvait plus supporter ; surtout d’où lui
venait
son obstination à lui soutenir qu’elle lui avait
es, mais vous êtes indigne qu’on en conserve pour vous ; après m’être
venue
trouver vingt fois dans un lieu comme celui où je
livre raconte que, se promenant au bas des vignes avec un ami, il vit
venir
« un vieux monsieur qui levait haut la tête, avec
Molière, où tu trouves la rime. On dirait, quand tu veux, qu’elle te
vient
chercher ; Jamais au bout du vers on ne te voit b
omédiens de l’hôtel de Bourgogne à la fin de 1652, on lit ces vers :
Venez
en foule, apportez tous, Dans le parterre quinze
commencements d’incendie, s’il s’en manifestait. Aussi les faisait-on
venir
surtout lorsque la mise en scène comportait quelq
; Madeleine Béjart, Mlles Duparc, Debrie et Hervé. Ceux ou celles qui
vinrent
s’y joindre ensuite sont : En 1659 : Jodelet, son
médien populaire se soit, au dernier moment, tourne vers ces nouveaux
venus
, comme s’il eût pressenti qu’avec eux commençait
: C’est, dit-il, à l’orateur de faire la harangue… Le discours qu’il
vient
faire à l’issue de la comédie a pour but de capti
ce qui doit suivre celle qu’on vient de représenter, et l’invite à la
venir
voir par quelques éloges qu’il lui donne ; et ce
pour laquelle on s’empresse de travailler… Ci-devant, quand l’orateur
venait
annoncer, toute l’assemblée prêtait un très grand
diesse nécessaire à l’orateur, il y a du plaisir à l’écouter quand il
vient
faire le compliment ; et celui dont il sut régale
le bonheur d’assurer la prospérité de la nouvelle société, à laquelle
vinrent
se joindre, en 1679, la célèbre Champmeslé et son
s sa paroisse que des auberges et des coquetiers ; si les comédiens y
viennent
, que son église sera déserte. Les grands augustin
us les bourgeois qui sont gens de palais, trouvent fort étrange qu’on
vienne
embarrasser leurs rues. M. Billard177, surtout, q
Du Croisy. 93. Ils avaient été cinq mois à Fontainebleau, lorsqu’ils
vinrent
à Paris. 94. Muse historique, lettre du 13 janv
t, Molière, qui jouissait de la plus belle salle qu’il y eût à Paris,
vint
à mourir. Il avait jadis été fort lié avec Baptis
fait aux comédiens de la rue Guénégaud. Molière, du fond de sa tombe,
venait
encore au secours de ses anciens camarades. On vo
u moyen de tabac mêlé d’arsenic ; mais Aubry, saisi de remords, était
venu
dénoncer le complot au principal intéressé. Pari
es imputations d’Aubry paraissaient calomnieuses. Armande se décida à
venir
à son secours. Céda-t-elle aux sollicitations de
ait un avertissement donné aux fidèles instruits d’un crime d’avoir à
venir
, sous peine d’encourir les foudres de l’Église, r
de l’année précédente, le sieur Guichard étant à souper chez elle, on
vint
a parler du sieur Lulli et que, sur ce sujet, Gui
Lulli crèverait bientôt » ; déclaration fort habile par laquelle elle
venait
au secours d’Aubry, tout en évitant de rien dire
cu d’avoir fait la proposition d’empoisonner Lulli et le condamnait à
venir
en la chambre du conseil, et la, nu-tête et à gen
is par le Gaulois et le Figaro. Mais j’ai le plaisir de voir qu’elles
viennent
d’être adoptées, bien que timidement et avec quel
d’hui rue Sauvai. Le 30 septembre 1638, son père, Jean Pocquelin, qui
venait
d’épouser en secondes noces Catherine Fleurette,
e, avec lequel il est brouillé, et voulant ménager sa susceptibilité,
vient
délicatement à son secours en se dissimulant sous
pas évident que la vraie générosité consiste, de la part d’un dis, à
venir
directement et sans bruit au secours de son père
fils à plusieurs reprises, et enfin le réduisant à se cacher pour lui
venir
en aide. Je ne vais pas pourtant jusqu’à croire,
médiens morts sans avoir témoigné leur repentir, étant bien celle qui
vient
d’être exposée, il faut reconnaître qu’elle vient
tant bien celle qui vient d’être exposée, il faut reconnaître qu’elle
vient
à l’appui de certaine hypothèse d’après laquelle
veuve si empressée à détériorer par l’action du feu la tombe qu’elle
vient
d’élever et qu’elle doit pourtant avoir à cœur de
tre édition de la Fameuse Comédienne, en est une première preuve, que
vient
confirmer un passage du Journal des voyages de Mo
chargé de famille. En outre, les médecins diront si Mlle Molière, qui
venait
d’accoucher, six semaines avant les fêtes, était
se, c’est qu’avant d’expirer elle s’était soumise aux ordonnances qui
viennent
d’être rappelées. Aussi la veuve de Molière, dans
opposèrent à la requête du mourant et du temps que le troisième mit à
venir
, ce qui fit qu’il arriva trop tard. Elle note en
contradiction avec les ordonnances et les défenses canoniques que je
viens
d’exposer. Mais il faut dire que certains confess
s que je viens de présenter. L’Église a toujours admis les pécheurs à
venir
à résipiscence, et l’on a vu que le clergé savait
possible, être attribuée à l’auteur du Misanthrope. La découverte qui
vient
d’être faite à Montpellier sera-t-elle plus heure
, à mon avis, depuis que sa congénère, écrite six ans auparavant, est
venue
prêter son appui à la première. Que peut-on désor
Aurait-il donc existé à la fois deux Molière ? C’est là qu’il en faut
venir
si l’on tient à représenter les quittances découv
btilités et de distinctions, et l’indulgente casuistique des jésuites
vient
en aide a la démoralisation publique. Une réactio
onde. Après avoir cherché Mazarin pour lui faire un mauvais parti, il
vint
lui offrir ses services pour négocier avec Condé
« Après qu’il fut installé à Paris, dit M. Taschereau, un jeune homme
vint
un jour le trouver, lui avoua qu’un penchant insu
vous n’aviez probablement pas dessein de me donner un louis d’or. Je
viens
vous le rendre. Tiens, mon ami, reprit Molière, e
s son jardin d’Auteuil, quand un de ses amis, nommé Chapelle, qui s’y
venait
promener par hasard, l’aborda, et, le trouvant pl
us saviez ce que je souffre, vous auriez pitié de moi. Ma passion est
venue
à un tel point qu’elle va jusqu’à entrer avec com
des pédants applaudisse à la satire des hypocrites, en attendant que
vienne
son tour. Dans les petits centres, au contraire,
ant que, toutes choses étant incertaines, il ne faut pas dire je suis
venu
vous consulter, mais il me semble que je suis ven
t pas dire je suis venu vous consulter, mais il me semble que je suis
venu
, puis criant sous les coups de bâton qu’il en reç
ère. Vous savez avec quelle violence de langage de vénérables prélats
vinrent
plus tard s’associer aux clameurs de cette vengea
n plus juste sentiment de la véritable mesure. D’autres écrivains lui
vinrent
en aide, Boileau par ses satires, Racine par ses
r, lui dis-je, nous approuvions, vous et moi, toutes les sottises qui
viennent
d’être critiquées si finement et avec tant de bon
uple n’était pas encore; mais, comme état, comme puissance, la France
venait
, au travers de luttes séculaires, d’atteindre au
ien d’autres pareils, Molière n’en était pas encore au point où il en
vint
plus tard ; il n’eût pas encore pu écrire cette f
fférents ! Ce grand nom de vainqueur n’est plus ce qu’il souhaite; Il
vient
avec plaisir avouer sa défaite : Heureux si, votr
vait tourmenté plus d’un esprit. Les artistes de second ordre peuvent
venir
en tout temps et ne devoir rien qu’à eux-mêmes ;
ue à la hauteur d’une tribune. Mais, en entrant dans la lice, Molière
venait
-il au secours de Pascal, ou bien ne prenait-il en
esser, quereller pour rompre le carème dès son commencement, et il en
vient
là par complaisance. S’il se trouve bien d’un hom
faire de l’éclat, et il l’appréhende, sans qu’une pareille entreprise
vienne
aux oreilles du prince, à qui il dérobe sa marche
n’aime point, à qui il veut nuire et dont il désire la dépouille. Il
vient
à ses fins sans se donner même la peine d’ouvrir
déclarait un chef-d’œuvre, ou dans cette scène du dénouement qu’elle
vient
égayer tout à coup, lorsque la situation, de plus
ostentation : voilà un contraste heureux, propice à la comédie. De là
vient
, par parenthèse, que, malgré le dire de plusieurs
sé prendre aux filets de Célimène ? C’est lui-même, c’est Alceste; il
vient
accompagné de Philinte qu’il gronde fort pour que
elle s’est réfugiée dans la haine. Mais voici Célimène. Alceste était
venu
pour s’expliquer avec elle et il va droit au fait
: Je ne querelle point. Mais votre humeur, madame, Ouvre au premier
venu
trop d’accès dans votre àme : Vous avez trop d’am
envoie le destin. À côté d’eux, ou plutôt entre Célimène et Philinte,
vient
se placer Eliante, excellente fille, d’un caractè
lus vifs qu’ils sont de jour en jour plus hors de saison. Elle en est
venue
à ce point où les passions se changent en dépits
ne l’applaudit pas. Et il continue sur ce ton jusqu’à ce qu’un valet
vienne
le chercher pour une affaire d’honneur à laquelle
a franchise. Mais Alceste ne s’éloigne pas pour longtemps. Bientôt il
vient
reprendre le fil de son explication brusquement i
olière n’est pas purement gratuit. Sans doute, Molière n’en était pas
venu
à argumenter contre le genre humain; on nous assu
été généralement blâmée. Aujourd’hui un poète comique serait très mal
venu
à suivre l’exemple de Molière. Il n’y a plus guèr
e. Trissotin n’a pas de ces scrupules. En vain Henriette le fait-elle
venir
pour en appeler à son honneur et le supplier de n
tendants sont en présence et aux prises. Trissotin à Philaminte. Je
viens
vous annoncer une grande nouvelle. Nous l’avons,
imez point, voulant qu’on vous seconde, Quelque petit savant qui veut
venir
au monde. Il ne faut pas dire trop de mal de cet
ogatoires, dont on l’eût plus facilement dispensé. Grand exemple, qui
vient
après mille autres prouver qu’il n’a pas de dével
sse. En faisant la revue des vices et des travers de ce siècle, il en
vient
au journalisme : Le seigneur Journalisme et ses
trait poétique, tel qu’il convient à la satire. Boileau, dont le nom
vient
si facilement sur les lèvres lorsqu’il s’agit de
ivre avec moi dans mon ciel, il te sera ouvert toutes les fois que tu
viendras
. » Donc, si nous en croyons cette belle allégori
ilosophes, des législateurs, des devins, des avocats, des dieux même,
viennent
-ils frapper aux portes de la ville nouvelle; ils
ques dans une comédie comme Le Misanthrope, il est difficile qu’il ne
vienne
pas des doutes sérieux sur une théorie très en vo
nouvelant à l’image du siècle, l’art de Sophocle avec des pensées qui
venaient
d’ailleurs. Racine est celtique par le fond, nous
vu ; par la forme il est grec. Mais le fond et la forme, tout lui est
venu
par le moyen âge: le problème qu’il a essayé de r
e péchera par ignorance, et se jettera à la tête du premier damoiseau
venu
. Heureusement pour elle que le hasard la sert ass
généraliser. Ils ont le genre d’esprit, qui porte aux systèmes. De là
vient
qu’une demi-culture est pour eux doublement funes
raîchir, pour faire une nouvelle provision de force et de courage. Il
vient
dérider son front ou reposer ses bras. Heureux es
di ; il pose sa bêche et jette les yeux du côté du sentier. Une femme
vient
à lui; elle chemine d’un pas alerte; elle lui app
e une position de plus en plus dépendante. Enfin l’idée chevaleresque
vint
lui ouvrir une carrière. Celte idée noble et touc
se mirent un beau jour à pousser des bourgeons verdoyants. Un souffle
venu
des plages bretonnes en avait ranimé la vie. Mais
a trouvé un port ou simplement un refuge momentané. Mais d’où lui est
venue
cette impuissance au milieu de tant et de si bril
tinuait son œuvre ambitieuse, ou se reposait sur ses richesses, voici
venir
des impies et des esprits forts, des enfants de d
s de la comédie régulière et de la comédie de l’art. Lorsque celle-ci
vint
s’installer en France, elle apporta par conséquen
e autre. » Une troupe, dirigée par un nommé Ganasse ou Ganassa, était
venue
à Paris en 1570 et avait donné un certain nombre
s ; et leur permit le roi de prendre demi-teston de tous ceux qui les
viendraient
voir jouer. » Le demi-teston avait alors une vale
’émurent de la redoutable concurrence que leur faisaient les nouveaux
venus
. Ils s’adressèrent au Parlement pour qu’il fit re
agne, et qui fut anobli par cet empereur. Cecchini ne paraît pas être
venu
en France, mais son personnage Fritelin ou Friste
. Du temps de Henri IV, une troupe de comédiens italiens (les Gelosi)
vint
à Paris. L’Arlequin de cette troupe voulait engag
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