sublime par des especes de connoisseurs, & qui ameute contre les
véritables
drames, contre les véritables auteurs, contre les
nnoisseurs, & qui ameute contre les véritables drames, contre les
véritables
auteurs, contre les véritables acteurs, des cense
ntre les véritables drames, contre les véritables auteurs, contre les
véritables
acteurs, des censeurs d’autant plus dangereux, qu
e le lien nécessaire par lequel un enfant tient à ses parents. Car le
véritable
principe du mariage n’est pas l’amour physique et
t réels, peindre des caractères 201. Or la tragédie sort par là de sa
véritable
nature, et touche aux confins du comique. J’ai t
ent finalement une défaite, et que la Société, la Famille, l’État, le
véritable
amour, le véritable honneur, l’ambition dans ce q
éfaite, et que la Société, la Famille, l’État, le véritable amour, le
véritable
honneur, l’ambition dans ce qu’elle a de légitime
ue la comédie ne se glisse point au foyer d’une famille conforme à sa
véritable
idée, dont le chef sait maintenir sur les siens s
’art dramatique. Si la tragédie des Indiens est sans pathétique, sans
véritable
intérêt humain, parce qu’elle roule presque tout
est là, c’est dans ces satires fines et animées que l’on doit voir la
véritable
comédie romaine, non dans le théâtre de Plaute et
, et elle se sert de l’écriture pour le tromper. Le Bon Sens et l’Art
véritable
sont également satisfaits de la mésaventure des P
Idée (Begriff) passe par divers modes d’existence avant d’être l’Idée
véritable
(Idee)… Le système solaire est pour l’Idée une ma
Dans l’animal, le principe spirituel n’apparaît pas encore comme Âme
véritable
; car il ne se sait pas… La propriété d’être pour
ne se sait pas… La propriété d’être pour soi est ce qui constitue la
véritable
subjectivité. (Hegel, Cours d’Esthétique, Ire pa
Le cœur de l’homme est grand et vaste. Dans la conscience d’un homme
véritable
, il y a place pour plusieurs Dieux ; il renferme
stantiel en soi, ni l’élément personnel subjectif En effet, comme art
véritable
, la comédie doit aussi se soumettre à l’obligatio
n Orient. Le mode tout entier de cette civilisation n’a pas permis un
véritable
développement de la poésie dramatique. Pour que l
ermis un véritable développement de la poésie dramatique. Pour que la
véritable
action tragique soit possible, il est nécessaire
210. Comme Aristophane met en scène la contradiction absolue de la
véritable
nature des Dieux, des vrais principes de la vie p
altraités. Ainsi, par exemple, le Tartuffe de Molière, ce faux dévot,
véritable
scélérat qu’il s’agit de démasquer, n’est nulleme
u bon goût, enfin, de former un parti puissant devant lequel celui du
véritable
esprit osait à peine se montrer. La comédie serai
omaise, écrivain obscur et bien fait pour l’être, fit une comédie des
Véritables
Précieuses, en tête de laquelle il mit une préfac
oilà la bonne comédie , celle qui retrace des caractères et des mœurs
véritables
, qui fronde des vices et des travers réels. Moliè
eur fureur, crut-il devoir faire une distinction entre les précieuses
véritables
et les précieuses ridicules, et mettre toutes les
passages de Dom Garcie, et ce simple changement de position a été une
véritable
métamorphose : de médiocres qu’ils étaient, ces p
à ce comique forcé et chargé, qui caractérise la farce plutôt que la
véritable
comédie. La stupide crédulité de Sganarelle, l’in
re, depuis Les Précieuses ridicules, premier essai, parmi nous, de la
véritable
comédie de mœurs, avait encore deux fois cédé à l
emps qu’il ne lui en eût fallu seulement pour imaginer le sujet d’une
véritable
action dramatique. Ce genre, enfin, s’il n’était
tice à Montausier qu’il ne s’en rendit lui-même. En vertu, en honneur
véritable
, il n’avait rien à envier à Alceste : s’il lui cé
dans son faux Philinte de Molière, on put admirer du moins un égoïste
véritable
. L’ouvrage serait achevé peut-être, si l’auteur,
ni temps pour ces larges développements de satire morale qui sont le
véritable
sujet de la pièce. Je ne crains pas de l’affirmer
Lucien, empruntant la fable du Plutus d’Aristophane, fit de ce Timon,
véritable
ennemi des hommes, le héros d’un de ses meilleurs
i ce nom convient le mieux. Il y a, dans les autres, plus ou moins de
véritable
comédie ; on y aperçoit de légères esquisses de c
; il ne fait qu’imiter grotesquement les discours et les manières des
véritables
docteurs : mais il y a, dans cette caricature, un
n’ayant ni regret du passé, ni soin du présent, ni souci de l’avenir,
véritables
épicuriens populaires, à qui peut-être l’éducatio
e critique de Boileau. Ni Plaute ni Térence n’ont mis sur la scène de
véritables
villageois ; car le rustre opulent qui est le hér
de la comédie de Molière. L’Heureux Stratagème, de Marivaux, est une
véritable
copie de La Princesse d’Élide ; toutes ses autres
nt été que l’occasion de leur soulèvement ; elles n’en étaient pas la
véritable
cause. Il existait depuis quelque temps, entre eu
s grand jour. On y remarque cette phrase où est assignée nettement la
véritable
cause des fureurs auxquelles Molière était en but
oujours eu l’air de mépriser : au fond de l’âme, il ressent un effroi
véritable
, et la religion à laquelle il insulte est loin d’
ère l’a mis dans sa pièce, c’est-à-dire que son dom Juan est un athée
véritable
, un athée systématique, dont les idées sont arrêt
du ciel pour commettre et justifier tous les crimes, celui-là est un
véritable
hypocrite, et cet hypocrite est nécessairement un
un auteur détruit lui-même tout son ouvrage ; il ne peut atteindre le
véritable
but. Au théâtre comme à la tribune, la dernière i
instruits saisissent le naturel, la vérité, savent même les démêler.
Véritable
problème. Non ! tout s’explique. Dans l’état actu
n mauvais goût. Quelquefois son siècle l’encourage, l’applaudit ; les
véritables
amateurs gémissent et se taisent ; mais le temps
ère a été de dépouiller la vertu de son austérité, de lui marquer ses
véritables
limites, de la pénétrer de cette grande vérité, q
uraient ce sujet : comment peindre la fausse dévotion sans alarmer la
véritable
, la première prenant adroitement le masque de l’a
la raison, le juste discernement qui doivent toujours accompagner la
véritable
piété. Il montra, en outre, le trouble, le désord
aient calculées que pour le plaisir des yeux, et même trois ou quatre
véritables
comédies de sa jeunesse, qui sont pourtant écrite
eux imaginé que d’en tirer parti pour la scène, et l’exécution est un
véritable
chef-d’œuvre. L’intrigue de L’École des femmes es
caractères ; d’autres plaisanteries tiennent à cette gaîté sans but,
véritable
inspiration du génie comique. On peut juger de là
is se montrent indifférents ou même contraires à tous les élans de la
véritable
imagination. Pour qu’un ouvrage leur inspire de l
je, ne peut pas être attribué uniquement à la musique, il est dû à un
véritable
mérite poétique. Pour ne citer qu’un exemple entr
saisir et d’arrêter le moment présent. Comment ne pas reconnaître de
véritables
inspirations romantiques dans de petits opéras te
s et de situations attendrissantes, dont la partie sérieuse mérite de
véritables
éloges, et la Chaussée avait déjà introduit en Fr
ages mêmes qui sont traduits mot à mot, perdent en quelque sorte leur
véritable
sens. La vogue dont jouissent ces tragédies est d
des productions ; avortées du genre romantique. Dans la sphère de la
véritable
littérature dramatique, les travaux d’un écrivain
e ses nouvelles tentatives mette presque toujours le parterre dans un
véritable
état de guerre6. Tout ce que je viens de dire sem
é dans ses conséquences, c’est plutôt un respect superstitieux qu’une
véritable
vénération. L’art de la déclamation a été cultivé
es que celles des Gelosi. C’est vraisemblable pour la seconde dont le
véritable
nom était, comme on l’a vu, Maria Antonazzoni ; c
arler aucune langue. Mais le comble de la bizarrerie est La Centaura,
véritable
monstre dramatique, dédié cependant à Marie de Mé
635. Quant aux autres types, il serait difficile de désigner les noms
véritables
des acteurs qu’on voulut copier dans cette fête r
qu’ils ne soient pas de leur sentiment. — Tout ce que vous dites est
véritable
, lui répondit Clorante, mais je ne suis pas tout
t pourront difficilement imiter. — Tout ce que vous venez de dire est
véritable
, repartit Clorante ; mais si vous voulez savoir p
nière à me faire croire que tout ce que vous avez dit à sa gloire est
véritable
, et les ombres que vous avez placées en quelques
rs obligent les autres à les aller voir. — Tout ce que vous dites est
véritable
, lui repartit Arimant, et nous en voyons tous les
la comédie non dans des tragédies manquées, mais dans la pureté de sa
véritable
essence ? D’ailleurs, que m’importe la vaine mult
te supériorité universelle si manifeste pour nous, qui connaissons la
véritable
idée de la comédie, n’est pas encore admise en Fr
considérations prosaïques sont-elles ce qui donne la mesure de l’art
véritable
et de la poésie ? La comédie nouvelle est moins c
t auteur fait à la science58. Il existe d’autres ridicules ou même de
véritables
vices, parfaitement connus de la personne chez qu
ons être indulgents pour une nation spirituelle qui ne connaît pas la
véritable
valeur des mots, parce que le ciel lui a envié l’
e qu’elles nous flattent et qu’il serait à souhaiter qu’elles fussent
véritables
. Lorsqu’un médecin vous parle d’aider, de secouri
rticulier le déguisement de M. de Pourceaugnac en femme, si le danger
véritable
que court à cette occasion ce pauvre gentilhomme,
montraient pas indifférents ou même contraires à tous les élans de la
véritable
imagination, ils ne dédaigneraient pas une petite
s mêmes qu’il présente . — Septième leçon. 31. La gaieté sans but,
véritable
inspiration du génie comique. — Douzième leçon.
nner de l’importance morale à ses personnages, ou inspirer un intérêt
véritable
pour leur situation ; car l’un ou l’autre ramèner
on désire qu’elle ait, avec le monde tel qu’il est, avec un événement
véritable
. — Septième leçon. 39. Pour qu’un ouvrage soi
ue doit éviter soigneusement tout ce qui pourrait inspirer un intérêt
véritable
pour la situation de ses personnages : car cela r
étaient au-dessus de toute atteinte, et les ridicules, qui étaient un
véritable
objet de satire ; il assura que ces dernières seu
eur de précieuses que pour faire passer la distinction des grandes ou
véritables
précieuses et des précieuses ridicules. Pour les
es de précieuses : les précieuses galantes ou du second ordre, et les
véritables
précieuses. Mais, par le mot Galantes, il entend
tes, je n’en dirai rien, car je fais profession d’être un auteur fort
véritable
et point médisant ; ainsi, je ne toucherai point
lentes choses sont sujettes à être copiées par de mauvais singes. Les
véritables
précieuses auraient tort de se piquer lorsqu’on j
ce que Molière a eu l’attention de faire en séparant les intérêts des
véritables
précieuses, des précieuses ridicules, c’est-à-dir
ges puissants, crut devoir déclarer qu’il n’avait point en en vue les
véritables
précieuses, mais celles qui les imitaient mal. Ad
d’amour pour les hommes, d’indulgence pour leur foiblesse, qu’un ami
véritable
du genre humain en doit avoir ; & tout-à-coup
uestion de l’art d’épuiser un sujet. « Enfin, s’écrie M. Diderot, le
véritable
contraste est celui des caracteres avec les situa
echercher. Finissons ce Chapitre en répétant, d’après M. Diderot : le
véritable
contraste est celui des caracteres avec les situa
erpétuelles angoisses par la crainte qu’il a de les perdre. Voilà les
véritables
effets de l’avarice. On a, de nos jours, été plus
oduit le plus fidèlement les mœurs. On peut dire que Le Sage a été le
véritable
historien de cette époque. Le système de Law, ave
de cet infâme Tartuffe, le plus odieux des hommes, il nous montre le
véritable
dévot, le sage Cléante et l’aimable Elmire, le mo
n, De l’intérêt, du comique, une fable, Des mœurs du temps un rapport
véritable
Pour consommer cette œuvre du démon. Ce n’était
ouvelle noblesse. Par malheur, la peinture de ces revirements subits,
véritable
bonne fortune pour les auteurs comiques, leur fut
composer les ouvrages de théâtre, que sous ce rapport nous sommes en
véritable
progrès, et qu’il n’est guère de pièce moderne où
ns le personnage d’Alceste, qu’un homme droit, sincère, équitable, un
véritable
homme de bien que Molière, par les travers qu’il
out, en relevant les erreurs de Rousseau, restitua au Misanthrope son
véritable
caractère ; il démontra parfaitement en quoi ce p
ué de ce jugement, de cette raison qui font voir les choses sous leur
véritable
aspect et nous montre les distinctions que l’on d
t, et s’empresse d’en faire l’éloge, moins peut-être pour exprimer sa
véritable
pensée que pour donner le ton à son ami et lui fa
ntiments, de nos affections ou de nos droits. C’est pourquoi la vertu
véritable
est d’une pratique si difficile. Eh bien ! De ces
re, pour ne l’avoir placé qu’au second plan, n’en a pas moins fait le
véritable
sage de la pièce. Dans ses discours comme dans se
e rôle d’Alceste était joué comme il la conçu, c’est moins un intérêt
véritable
qu’il devrait inspirer qu’un sentiment de compass
n ou mal, rien de ce qui peut nous éclairer, même faiblement, sur son
véritable
caractère ne devrait être indifférent à nos yeux.
trouverez pas étrange que peu d’acteurs aient donné au Misanthrope sa
véritable
physionomie. Partageant l’erreur de beaucoup d’éc
peut complètement les bien rendre, non seulement la physionomie et le
véritable
caractère, mais encore toutes les nuances dont il
firme la véracité de ce jugement. Mais, dit-il à Alceste, ... Il est
véritable
aussi que votre esprit Se gendarme d’abord contre
f des richesses, la convoitise des biens d’autrui, voilà leur passion
véritable
: elle domine chez eux tous les autres sentiments
i que les jeux de scène y contribuent sans doute puissamment; mais le
véritable
comédien devrait toujours avoir le courage d’y re
des grimaces telles que Orgon, en en étant la dupe, n’est plus qu’un
véritable
Cassandre; pour donner enfin une juste idée, par
tateurs le caractère d’un méchant homme, et ne fasse éclater celui du
véritable
homme de bien que je lui oppose772. Je ne doute p
omédie ne remuent bien des ressorts, et ne jettent dans leur parti de
véritables
gens de bien, qui sont d’autant plus prompts à se
chose au monde et plus noble et plus belle Que la sainte ferveur d’un
véritable
zèle.790 Faudrait-il donc conclure que la mo
ion : « Ô ciel, pardonne-lui comme je lui pardonne ! » C’est là le
véritable
vers de Molière. On aura accusé Molière d’avoir p
e la religiosité : il le dit dans sa Préface, où il appelle Cléante «
véritable
homme de bien » et « vrai dévot ; » il lui donne,
la seule hypocrisie, pouvait être d’une fâcheuse conséquence pour la
véritable
dévotion. Au mois de septembre de la même année,
président défendit les représentations du Tartuffe, quels furent ses
véritables
motifs ? On les ignore entièrement : c’en devrait
Quel en pouvait être l’effet par rapport à la religion, à la dévotion
véritable
? Molière ne voulut sûrement pas faire retomber s
artuffe, il craignit qu’une trop grande conformité entre ceux qu’une
véritable
dévotion met sur le chemin du ciel et ceux qu’une
nture de celui-ci se compose de deux sortes de traits, ce que fait le
véritable
hypocrite, et ce qu’il ne fait pas. La partie nég
ort divertissante, le Roi connut tant de conformité entre ceux qu’une
véritable
dévotion met dans le chemin du ciel, et ceux qu’u
caricature ou de la facétie. La Comtesse d’Escarbagnas est donc une
véritable
comédie, du moins quant au genre, qui est peu rel
frappantes, on admire et l’on ne s’étonne pas. Mais ce qui cause une
véritable
surprise, c’est d’apercevoir, dans un simple croq
e si cette qualification n’eût pas dû appartenir au genre entier. Les
véritables
précieuses ne furent pas dupes du détour ; elles
alle, sa vie fut une mort anticipée, qui put être prise pour une mort
véritable
. S’apercevant qu’on s’éloignait de lui, comme si
emble ; et j’ajouterai que l’histoire littéraire, voulant indiquer le
véritable
type de la scène, semble hésiter entre quatre alt
auteur du dernier siècle, dont le caractère avait autant d’élévation
véritable
et la conduite de noblesse réelle, qu’il y avait
re le faux savoir et le faux esprit, il attaque l’esprit et le savoir
véritables
; quand, révolté de voir des femmes qui abandonne
pas indigne de Molière : Bret penche même à croire qu’il est le texte
véritable
. Quoi qu’il en soit, cette édition de 1674 fut re
l’édition de 1682, leur aurait-il été si difficile de se procurer le
véritable
texte du reste, ne fut-ce qu’à l’aide de ces mémo
eurs conséquences éloignées, presque indifférentes à tout autre qu’au
véritable
homme de bien ? Le plus remarquable vicieux que M
la pièce fût foudroyé avec son athée. » (Sur les tragédies, dans Les
Véritables
œuvres de M. de Saint-Evremond, 2e édit., Londres
e, Paris, 1665 : « Le roi connut tant de conformité entre ceux qu’une
véritable
dévotion met dans le chemin du ciel et ceux qu’un
font, par leur fausse vertu, que les hommes n’osent plus se fier à la
véritable
. » (Télémaque, liv. XVIII.) — Voir encore sur le
ment, dans toute sa carrière dramatique, on l’a vu attaquer des vices
véritables
. Dans Tartuffe, il a mis en scène le plus odieux
aminer philosophiquement, plus qu’aucun autre vicieux, l’avare est un
véritable
fou. Que fait-il, en effet ? Comme l’argent est l
it précisément prendre à Euclion ce parti-là que ne prendra jamais un
véritable
avare ; et Plaute lui-même semblerait avoir senti
t de terre dans lequel le trésor s’était trouvé renfermé. Quel est le
véritable
avare, l’avare par tempérament, par habitude, et
il en est peu où il ait mis plus de création réelle et d’originalité
véritable
. Des traits épars qui circulent dans le monde, ou
a ce conflit, cette lutte du caractère et de la situation, qui est le
véritable
ressort de l’intérêt comique. Quel lustre ne donn
aux Hippocrate et Galion ; leur théorie est fondée sur des phénomènes
véritables
; de ceux-ci ils tirent des conséquences assez ju
iere, à Champmeslé, son Mariage fait & rompu comparé à l’histoire
véritable
du faux Martin-Guerre, & à la nature. Dufr
paisiblement à réparer sa perte. Ils eurent ensemble deux enfants. Le
véritable
mari vint enfin troubler la fête, & le faux f
e faux Damis ; celui d’une prude, jadis coquette, qui fut l’amante du
véritable
Damis : elle se doute bien de la supercherie ; ma
s représente leur vie à eux, sans qu’elle ait jamais une ressemblance
véritable
avec la sienne ? Si cet auteur n’a pas consigné d
Il a des valets qu’il a choisis soigneusement et qui sont pour lui de
véritables
complices. Il les interroge avant de se retrouver
comprendre L’École des femmes. C’est, à mon avis, la bonne, c’est la
véritable
, et il ne devrait pas y en avoir d’autre. Il y en
s n’avons pas un moyen de nous renseigner ? Est-ce qu’il n’y a pas de
véritables
témoignages sur lesquels nous puissions nous appu
Le Campagnard. Mais tous ces ouvrages ne présentaient point encore la
véritable
comédie. Ils manquaient de mœurs, de caractères,
e, était alors honorable, et Molière même dit dans la préface que les
véritables
précieuses auraient tort de se piquer, lorsqu’on
de Somaizea, auteur très ignoré, voici le titre de cet ouvrage : Les
Véritables
Précieuses, comédie en un acte, en prose, in-12,
Somaize répète encore tout ce qu’il avait dit contre Molière dans ses
Véritables
Précieuses. 1660. Sganarellea, ou le Cocu imag
favoriserait pas. « Mais voyons si le pronostic de ces messieurs est
véritable
, et si Le Cocu imaginaire, qu’il a fait ensuite,
662, le théâtre fut fertile en nouveautés. Parmi celles qui eurent un
véritable
succès, on peut citer Sertorius, de Pierre Cornei
i servira de supplément à l’article de cette pièce* ; il découvre les
véritables
sentiments de l’auteur. « Je me sens obligé, dit
endu le faux si doux, et si aimable, Que sans m’en aviser, j’ai vu le
véritable
, Ruiné de crédit, et ai cru constamment, N’y avo
le-même, à cet ami fidèle, sur lequel il compte si fort. Cependant le
véritable
honnête homme, dont il se défie tant, s’embarque
ur de claires eaux, Si radieux et si nouveaux, Que si les bruits sont
véritables
, On n’en vit jamais de semblables. Enfin tant de
ort divertissante, le roi connut tant de conformité entre ceux qu’une
véritable
dévotion met dans le chemin du Ciel, [et] ceux qu
fait dire à la princesse qu’elle a imaginé un moyen de découvrir les
véritables
sentiments du prince. Quiconque ignore les mystèr
princesse ; on sait qu’elle n’a d’autre dessein que de découvrir les
véritables
sentiments du prince, pour ne lui faire ensuite é
règles du jeu qu’il a parlé de la sorte, et que ce ne sont point ses
véritables
sentiments qu’il a exprimés. Par là, il pique viv
t d’imaginer un stratagème qui lui fera découvrir infailliblement les
véritables
sentiments du prince. Dans ce dessein, elle sort
(car vous jugez aussi) l’étroitesse, l’exclusisme et la passion ? La
véritable
largeur n’est point dans la sensibilité littérair
uis, il a sa théorie du génie. On sait que, d’après cette théorie, le
véritable
artiste doit être possédé du diable, et si exclus
r cependant qu’il a peu de pièces où brille davantage le mérite de la
véritable
invention comique, et qu’il n’en a peut-être pas
er une fille de seize ou dix-sept ans, et de vouloir en être aimé son
véritable
travers est de croire qu’une femme d’esprit est n
. Laure (c’est l’héroïne de la nouvelle tragi-comique), Laure est une
véritable
sotte. Son mari est dupe de sa stupidité, parce q
ut un des premiers à signaler son courroux. Il composa Zélinde, ou la
Véritable
Critique de l’École des femmes, et La Critique de
uvrage, au risque de demeurer inférieur à lui-même, et de procurer un
véritable
triomphe à ses adversaires, loin de leur faire es
er d’un pas si difficile : son art ne lui fut pas infidèle. Le sujet
véritable
de L’Impromptu de Versailles est la satire des ac
amatiques, tome I, p. 361 Le Festin de Pierre eut peu de succès. La
véritable
raison fut qu’on ne permit pas à Molière, qui ava
e musique, qu’il est si difficile de faire sortir naturellement d’une
véritable
action comique. On dirait un de ces monuments à m
urrait même sembler vicieuse, si, dans ces deux premiers actes, où la
véritable
action n’est pas même entamée, et où le personnag
i bon cœur, et dont le rire est si communicatif ? Elle est une de ces
véritables
servantes que Molière a mises le premier sur le t
omique de Zémire et Azor. Je reviens à la tragédie-ballet de Molière,
véritable
et seul objet de cette Notice. C’est sans doute u
tres faits que j’ai rapportés, et qui font connaître Molière dans son
véritable
caractère. Si mon Censeur ne s’en est pas aperçu,
des Mémoires de Mr le Baron : Donc il est mauvais ; donc il n’est pas
véritable
. La plaisante et injurieuse conséquence ! A-t-on
e fait parler Molière contre la Troupe, et supposant que le fait soit
véritable
, il est de sentiment, que je devais sauver de par
re critique. C’est un Auteur grave qui a parlé, donc ce qu’il dit est
véritable
. J’honore parfaitement Mr Baile, et je connais pe
toire qui comblerait ses jours de bonheur et de gloire. » Tel est le
véritable
sentiment du flatté à l’égard du flatteur. Et l’o
sions: « Seigneur, nos passions nous font prendre souvent pour chose
véritable
un objet décevant. » A ces sages paroles, le jal
même que les grands criminels de sang-froid poursuivis par le remords
véritable
, sont des conceptions idéales, poétiques, qui ne
on de psychologie sur les effets naturels des passions qu’une comédie
véritable
, a pour but, non seulement de faire ressortir ces
moraux les plus nobles et les plus élevés. L’exagération, qui est une
véritable
perversion, ternit et modifie tellement cette sou
lace l’intérêt de celle-ci bien au-dessus de son intérêt rationnel et
véritable
, parce que cette passion a plus de poids sur l’es
jour de vous voir tenir tout des mains de mon amour. » Voilà bien le
véritable
caractère égoïste de l’amour avec ses transports
isonnables, il n’est point aveuglé cependant à l’égard de son intérêt
véritable
. Les sentiments qui l’inspirent parlent en ce mom
» ce n’est pas qu’il croie que Tartuffe puisse éprouver le remords
véritable
; car non seulement il ne lui en fait exprimer au
nt par leurs simagrées les choses qu’ils vénèrent. Si Tartuffe est le
véritable
antidote de la fausse dévotion, il y a vraiment d
it pu prendre crédit. Oh ! fasse le ciel équitable que ce penser soit
véritable
et que pour mon bonheur elle ait perdu l’esprit !
, la nature crée des conformations incomplètes, vicieuses, et même de
véritables
monstruosités. Si la science a étudié les monstru
aussi que, pour quelques-unes de ces œuvres, l’établissement du texte
véritable
et primitif a été l’objet principal. Nous aurons
on, d’un autre côté, attaquer la fausse dévotion sans compromettre la
véritable
, les signes de l’une et de l’autre étant extérieu
prévalent de la fausse piété pour se persuader qu’il n’y en a pas de
véritable
ou du moins qui ne soit suspecte. C’est donc par
ujours. Par la même raison on ne peut dire qu’il existe un seul dévot
véritable
: car, plus il sera parfaitement hypocrite, mieux
s oublier non plus que, pour le dévot libertin, il n’y a pas de vertu
véritable
; il ne voit pas grand mal dans la séduction qu’i
ste, dans cette pièce, ne soit un homme droit, sincère, estimable, un
véritable
homme de bien ; l’autre, que l’auteur lui donne u
cérité ; il le supplie de ne pas le flatter et de le traiter comme un
véritable
ami. Alceste ne commence-t-il pas par employer to
de nos jours a montré, dans un livre excellent, que la famille est la
véritable
source de la moralité des peuples658 : Molière n’
ne point dégénérer de leur vertu, si nous voulons être estimés leurs
véritables
descendants. Ainsi, vous descendez en vain des aï
inutilité, qui seraient à peine excusables ailleurs, deviennent là de
véritables
crimes envers la société qu’on doit servir à prop
pour l’en récompenser ; celle encore où les vieillards, instruits du
véritable
sexe d’Ascagne, disent à Valere qu’il ne connoît
manque de vraisemblance. Comment se peut-il que rien n’ait dévoilé le
véritable
sexe d’Ascagne aux yeux de sa sœur, de son précep
e. Elle apparaît pour la première fois dans la comédie Zélinde, ou la
véritable
critique de l’école des femmes et dans La Critiqu
res51. Je serois encore plus rigoureux & j’exigerois que l’action
véritable
ne fût censée avoir duré que le temps nécessaire
ls ont besoin ? & n’est-ce pas vouloir faire de notre théâtre une
véritable
lanterne magique ? Les Espagnols sont ceux de nos
llé, des Piron, des Favart, il fut admis par eux à cet ancien caveau,
véritable
académie du plaisir, qui fut aussi, plus souvent
steur de l’homme religieux ; tu saurais séparer le faux philosophe du
véritable
ami de la sagesse ; le novateur factieux, du cito
ienne ? Et si, en effet, ce n’est là qu’un gentilhomme dans sa sphère
véritable
, s’il est habitué, depuis longtemps, à vivre ains
ité à la mode. À notre sens, rien ne ressemble moins à l’enthousiasme
véritable
, que ce jet de bouquets et de fleurs. Le rire et
sympathie, en s’exaltant dans leur âme, aidait le roi à concevoir le
véritable
amour où les puissances morales surpassent les jo
que la douceur, la patience et les exhortations évangéliques sont les
véritables
armes a un évêque pour combattre les passions et
de commun avec la vraie religion : elle est même sa pire ennemie. Le
véritable
motif pour lequel il sera bon désormais de s’abst
rant que vérifie le bonhomme Argan : ils ont leur explication dans un
véritable
compte d’apothicaire contemporain, compte que le
n soir il manqua à cette promesse et s’introduisit dans la loge de la
véritable
Molière, qui s’y déshabillait après avoir joué le
ns une ligne de conduite décente, eût été une comédienne anormale, un
véritable
phénomène dont l’étrangeté aurait frappé les cont
cents livres au profit de Rohault, qui la rétrocéda tout de suite au
véritable
créancier. Quelle est au juste la valeur morale
Ne nous attachons qu’à la phrase du vieux Chapelain où le lieu de la
véritable
sépulture est indiqué. Eh bien, cette phrase, pri
de la relique offerte à ses respects ; elle ne se trompe point sur le
véritable
objet de son culte. IX. L’excommunication des
nces découvertes aux archives de l’Hérault comme attribuées a tort au
véritable
. Et l’on y a pas manqué en effet. Il existait, a-
autre que des signatures est inconnu. Ceci dit, on comprendra le sens
véritable
de ma note du catalogue Bovet. Mon affirmation s’
la nature humaine et pour ses faiblesses, pensait de Philinte : « Le
véritable
Philinte de Molière n’est pas sans doute, comme l
ourgogne et les Confrères de la Passion. Ces comédiens primitifs, les
véritables
enfants sans souci et sans art, vivaient encore,
éâtre-Français, fait obstacle aux comédiennes sincères, aux comédiens
véritables
; elle a dominé la ville, elle a dominé la cour,
envers ces grandeurs impérissables, lorsque je fis la rencontre d’un
véritable
amateur du Théâtre-Français, c’est-à-dire un amat
ur-propre, d’orgueil, d’admiration pour soi-même, que s’il eût été un
véritable
comédien français. Paula, qui pense tout à fait c
e plus revenir. Quoi ! un vrai cacochyme entre ces deux médecins ! Un
véritable
vieillard poursuivi par tous ces apothicaires ! u
plutôt il se revoit avec joie dans ce monde idéal qui est pour lui le
véritable
univers. Rien n’est changé. Voici la maison de Ba
r que nous portions un vif intérêt à cette aimable héroïne d’un drame
véritable
. Supposez en effet, que Molière ait oublié, un in
clats les descendants de Lucrèce et de Virginie. Ils applaudissaient,
véritables
enfants de la louve, à l’espièglerie abominable d
ne du quatrième livre. À cette comédie de Térence, commence la langue
véritable
de l’amour. En ce moment la courtisane disparaît
e n’est pas celle-là à qui sa mère coupe les vivres, pour en faire un
véritable
roseau ! — Elle est si jolie ! — La fraîcheur mêm
its sur le conteur de facéties ; Aristophane s’enivre de cette poésie
véritable
, en oubliant la raillerie commencée ; en vain Str
Le malade de Molière est un grand enfant, mais madame Sturmer est le
véritable
malade imaginaire ; on rit de celui-là, mais on d
eur Loewe finit par mettre aux pieds d’Anna sa fortune et sa main. En
véritable
malade imaginaire, madame de Sturmer ne demande p
ean qui a des scrupules et Jean qui n’a pas de scrupules… Il n’y a de
véritable
Jean que le premier, l’autre est un niais qui vou
, voilà pourtant comme nous serons à notre tour ! D’où il suit que le
véritable
poète comique de la Régence et de Louis XV, ce n’
ger le poète, et non loin de Béranger, à l’enseigne du Chat noir — le
véritable
chat qui pelote en attendant la partie, est né au
lettre à madame Adèle. Remarquez donc que si l’on voulait trouver le
véritable
sujet de cette comédie, il faudrait l’intituler :
r le respect qu’il portait au hasard. En effet, le hasard est le dieu
véritable
de ces sortes d’esprits primesautiers qui vont to
la portée de tous les entrepreneurs ; des gens qui riaient toujours,
véritables
enfants de ce bon père Molière, qui avait gardé p
uelle était Célimène, il l’a retrouvée, et surtout il l’a remise à sa
véritable
place, non plus face à face avec les plus honnête
amusées du Chevalier à la mode, et de L’Homme à bonnes fortunes ! La
véritable
, la seule explication qu’on en peut dire, c’est e
dire, c’est encore et c’est toujours le Don Juan. Don Juan ! voilà le
véritable
chevalier à la mode, le véritable homme à bonnes
rs le Don Juan. Don Juan ! voilà le véritable chevalier à la mode, le
véritable
homme à bonnes fortunes, celui à qui pas une ne r
assèrent sur ses traces, achevant de raser le vieil édifice. Mais les
véritables
continuateurs de son œuvre furent les savants qui
ques reçurent dès la fin du dix-huitième siècle une impulsion dont le
véritable
promoteur est Kant. Avec les érudits parurent les
n Cours de littérature dramatique : « Il n’y a point dans les arts de
véritable
juge sans la flexibilité qui nous met en état de
lantée dans un climat où elle ne saurait vivre. Qu’on la remette à sa
véritable
place, qu’on lui rende son soleil, sa terre, qui
l’insulte, et osent faire des reproches à Dieu394. Aux yeux du savant
véritable
, tout est bien, parce que tout est naturel. Il ex
Molière fit ses premières armes. La conversation en France est un art
véritable
, et cet art né au dix-septième siècle avec la for
p mieux passer pour sévère auprès de ceux qui ne connaissent point la
véritable
vertu, que de s’exposer à passer pour flatteur. A
s expliquées, et il me semble que peu à peu la lumière se fait sur le
véritable
sens de son théâtre, obscurci par les apologistes
pagne : on lui dit que son Eunuque a violé Pamphila. Il questionne le
véritable
Eunuque : il découvre que son frere a fait le cri
mp; les ames honnêtes les siffleront à coup sûr. Ce qui prouve que la
véritable
Thalie, amie des bienséances & de l’honnêteté
rlant de la comédie du Muet, que j’ai toujours eu pour cette piece un
véritable
foible d’Auteur, aussi grand que si je l’avois fa
e, désavoué par sa Patrie, et privé des droits de Citoyen ; l’honneur
véritable
séparé de tous les honneurs de convention ; le gé
médire. Une intrigue, trop souvent faible, mais prise dans des mœurs
véritables
, attaqua, non les torts passagers du citoyen, mai
ique ; il eût peint la destinée d’un vieux garçon, qui n’inspirant un
véritable
intérêt à personne, est dépouillé tout vivant par
is non le style de Madelon ou de Cathos. Molière a donc cette fois la
véritable
initiative, il aborde la critique des mœurs conte
r énergie et tout leur abandon ; les emportements de Rodrigue sont de
véritables
fureurs ; ses retours sont sans réserve : aux inj
e siècle. 40. Acte III, scène ix du Dépit amoureux. 41. Préface des
Véritables
Précieuses, 1660. 42. La Vengeance des Marquis,
nt le développement des caractères, aient pris ces caractères pour de
véritables
signalements et traduit les noms de théâtre par d
ent froid dans ses démonstrations, comme tout homme d’une sensibilité
véritable
et profonde ; Molière, doué de cette mélancolie q
ntemporain, une telle supposition étant incompatible: avec une notion
véritable
et complète de l’art. On peut en dire autant de t
dans la premiere, si Dufresny, en homme d’esprit, n’avoit supposé le
véritable
Damis mort. Il a tout réparé par ce coup d’adress
e du manque de mémoire, ce qui amene des situations très comiques. Le
véritable
Mario revient à Milan avec la sœur de Lélio qui l
traires au goût. Un soir, après avoir assigné à chaque Auteur mort sa
véritable
place sur le Parnasse, & distribué aux vivant
, le titre pompeux d’embonpoint ! Il est très facile de distinguer le
véritable
embonpoint d’une piece, d’avec le boursoufflage q
es d’un Purgon. Alceste n’est comique que parce qu’il est jeune, sans
véritable
expérience de la vie, et que sa pseudo-misanthrop
se d’être faux et il commet des maladresses, des exagérations dont un
véritable
hypocrite se garderait prudemment : mais il est t
nus grâce à Baldassare Peruzzi et à ses élèves ; mais là n’est pas le
véritable
intérêt du recueil de Flaminio Scala. Les comédie
et sous chaque arcade on voit posée, sur un terrain en pente, une rue
véritable
, bordée de maisons de bois, qui vient du fond du
eauté ; rendre cette même beauté plus sensible en la plaçant dans son
véritable
point de vue, & coudre à un même sujet des id
ocurer les moyens, et lui faire connaître que ce qu’il avançait était
véritable
. Il déclama quelques scènes détachées, sérieuses
ertes il faut avouer que Molière est lui-même un tartufe achevé et un
véritable
hypocrite. Si le véritable but de la comédie est
lière est lui-même un tartufe achevé et un véritable hypocrite. Si le
véritable
but de la comédie est de corriger les hommes en l
e en voulant lui ravir sa renommée : tel est le châtiment, tel est le
véritable
supplice de l’envie. Mais ce ne fut pas sur le tr
raison suffisait pour mettre au néant cette nuée de méchants rimeurs,
véritables
insectes qui bourdonnent autour du talent, et qui
les hôpitaux ; enfin, à force de grimaces, ils sont bientôt dans une
véritable
odeur de sainteté ; les plus grandes familles s’e
n Tartuffe. On se fût alors écrié avec justice : Ce n’est point là un
véritable
dévot ; c’est un hypocrite. Pour jouer les person
s les Femmes savantes, il a tracé, grâce aux contrastes comiques, les
véritables
devoirs de la femme ; il la veut simple, modeste.
Baudeau se déclara contre lui ; il s’avisa d’une pièce intitulée les
Véritables
précieuses, pour montrer toute la noirceur de Mol
rée par l’expérience et vivifiée par le sentiment, ait enseigné leurs
véritables
devoirs. Il ne craint pas, pour atteindre son but
s prend en vérité, à voir ce malheureux Arnolphe atteint au cœur d’un
véritable
amour, et se jetant aux pieds d’Agnès en homme dé
’efface alors pour faire place au cœur. La réplique de Molière est un
véritable
modèle pour tout homme que sa position expose, sa
du mari. On ne peut se passer d’eux dans aucune maison bien réglée :
véritables
gens à la mode, élégants et beaux parleurs, on le
. Molière conçut l’idée de changer le mot médecin, même en une injure
véritable
, et lorsque Sganarelle est accosté par deux perso
à M. Loyal, ce type des huissiers; Tartufe, ainsi qu’on l’a remarqué,
véritable
hypocrite, à moins qu’il ne soit emporté par sa c
a fait entrer le plus d’éléments connus, et pourtant elle possède une
véritable
originalité. Toutes les couleurs étrangères se so
l est revenu encore sur les devoirs de la femme; il a enfin établi sa
véritable
condition sur la terre; il trouve que Dieu avait
résenter Tartuffe, dont il a vu chez lui les trois premiers actes. Le
véritable
critique, en ce temps-là, c’était le roi. Il étai
nnêtes gens que le poète appelle un public. Voilà toute l’ambition du
véritable
critique ; — il demande un seul moment de puissan
part ; c’était beaucoup pour la pièce et c’était peu pour Molière. En
véritable
enfant de Paris, Molière n’estimait guère comme d
prétexte aux honnêtes gens, il écrivit cette admirable définition du
véritable
chrétien qui est un des plus beaux morceaux de la
éâtre et l’église. Comme il était un véritablement honnête homme, les
véritables
gens de bien, qui désapprouvaient hautement sa co
ous aviez de vrais yeux au théâtre ? des vraies passions ? des larmes
véritables
? assez d’amour pour mettre en feu le parterre et
bonnet et affaissé dans ses coussins, ne diriez-vous pas d’un malade
véritable
? N’est-ce pas qu’il est amusant à voir ainsi ? R
dois revenir de toute la journée ! » L’argent ! voilà, en effet, la
véritable
occupation de Sganarelle, et voilà la seule ambit
on, à leurs secours ; moi qui ai même abdiqué leurs vêtements, moi le
véritable
et le seul misanthrope, je n’élèverais pas la voi
Philinte de Jean Jacques Rousseau ; car Jean-Jacques Rousseau est le
véritable
père de cette comédie ; il en a tracé lui-même, a
omédie déclamatoire, furibonde, pédante, mais enfin, malgré tout, une
véritable
comédie, voilà pourtant ce qui a été accompli ave
mmes, la plus intelligente, la plus réservée, et la plus modeste, une
véritable
enfant de Molière et du xviie siècle, ce beau si
spérée nous ayant mis à même d’établir ici, pour la première fois, le
véritable
texte de Molière. Les bibliophiles n’ont point ou
682, avait échappé aux ciseaux de la censure. Là devait se trouver le
véritable
texte de Molière. Nous ne ferons pas l’histoire d
t d’en faire usage pour établir le texte de cette édition, a rendu un
véritable
service aux admirateurs de Molière, c’est-à-dire
t que notre édition est la seule qui jusqu’à ce jour ait reproduit le
véritable
texte de Molière. Nous avons également rétabli l’
s les avons recueillies dans l’édition de Jean Ribou 1667 : c’est une
véritable
restauration. Boileau regrettait qu’on eût laissé
ernative de le suivre ou de s’égarer. Ses comédies renferment donc la
véritable
poétique du genre; c’est là seulement qu’on peut
vez point encore copié. » Je n’ai pu savoir absolument si ce fait est
véritable
; mais j’ai été mieux informé que M. Ménage de la
pas. Mais pour être trop à tout le monde, il n’était point assez à un
véritable
ami : de sorte que Molière s’en fit deux plus sol
rnières pièces, que l’on a mise dans les Œuvres de Molière, n’est pas
véritable
, puisque l’on marque qu’elles ont été jouées dès
ocurer les moyens, et lui faire connaître que ce qu’il avançait était
véritable
. Il déclama quelques scènes détachées, sérieuses
sait vivre à sa fantaisie, quoiqu’il conservât toujours pour elle une
véritable
tendresse. Cependant ses amis essayèrent de les r
Conti, on trouve la phrase suivante, qui ne laisse aucun doute sur le
véritable
auteur de l’ouvrage. « J’avoue que Votre Altesse
e (il le croyait auteur d’une satire contre Andromaque, dont l’auteur
véritable
était Subligny), dit un jour à Boileau : Je vous
olie de sa jeunesse, et que ce souper, quoique peu croyable, est très
véritable
. »(Voyez Œuvres de Jean Racine, édition de Lefèvr
du poète qu’il dépouille. Nous avons cru nécessaire d’établir ici les
véritables
principes, afin de repousser une fois pour toutes
proscrire le galimatias scolastique, et à ramener les sciences à leur
véritable
objet, l’élude de la nature : on en peut voir la
si entendu admirablement les habits des acteurs, en leur donnant leur
véritable
caractère ; et il a eu encore le don de leur dist
en même temps dans la tête, dans l’âme de son auteur, et y puiser la
véritable
, l’infaillible tradition ; l’acteur qui n’a pas r
re désabusé : même avarice dans la conduite de ce père qui déguise le
véritable
sexe de sa fille, pour usurper le bien d’autrui ;
es, il éloigna du beau naturel ; enfin, c’en était fait du goût et du
véritable
esprit : le galimatias allait pour jamais prendre
sa pièce ; en vain Somaize 16 essaya d’en faire la critique dans Les
Véritables
Précieuses et dans Le Procès des précieuses, deux
actère, et si fortement prononcé, que depuis Molière on n’a pas vu un
véritable
jaloux sur la scène française. L’exposition. — T
outer jamais les vœux d’autre personne. Dans ce moment, se fait leur
véritable
mariage ; et cet acte imposant, cet acte… pour ai
uvrage. Mais Molière lui fit dire par Boileau qu’il avait conservé sa
véritable
scène, et le menaça de la rendre publique, s’il c
rigue. Le titre. — Pas juste, en ce qu’il détourne tout à fait de la
véritable
moralité de la pièce, à moins que Molière n’ait p
du feu le plus vif, le plus pur ; qu’il croit avoir dans Arnolphe un
véritable
ami ; que, d’après tout cela, s’il est moins sens
l’École des femmes. Devisé assure que l’abbé Dubuisson était le
véritable
auteur de cette critique, qu’il l’avait portée à
rché par tout ce qu’il y avait d’hommes de bien à la cour, et par les
véritables
savants de la ville, généralement estimé pour la
personnages qui composent le cercle de Célimène étaient parés de leur
véritable
costume ; et nos acteurs n’y perdraient certainem
bondent en Marton, en Finette ; pourquoi faut-il demander où sont les
véritables
Dorine ? J’ai trouvé, dans celle que nous venons
st la seule pièce de Molière que les comédiens daignent jouer avec le
véritable
costume des personnages qu’ils représentent. Ne p
faisaient l’admiration de Paris64. Le goût mit peu à peu L’Avare à sa
véritable
place, malgré les jaloux, malgré Racine même ; c’
r, et les lazzis de maître Jacques ; si nous voulons enfin ne voir le
véritable
dénouement que dans le sacrifice de l’Avare renon
nre. — D’intrigue. Le titre. — La pièce en a deux : le second est le
véritable
, il nous annonce le sujet ; à quoi sert le premie
rs ouvrages ; il avait à les punir de l’insulte qu’elles faisaient au
véritable
savoir, en alliant les petitesses du demi-bel esp
vent plaire au public, Molière, dans la première scène, nous donne la
véritable
date de son mariage, en s’y faisant dire par sa f
l’avoir découverte. Nous avons dit dans le Chapitre précédent que les
véritables
contrastes étoient ceux des situations avec les c
ilosophe. Plus ces scenes sont brillantes, plus elles font oublier le
véritable
héros, lui pour qui le spectateur vient sur la fo
outrés de ce qu’ils venoient d’entendre, qu’ils ne croyoient que trop
véritable
, font allumer des flambeaux, & se mettent en
Les contes que j’ai cités démentent cette fausseté, en indiquant les
véritables
sources dans lesquelles Moliere a puisé.
ve de la Vertu, Comédie en cinq actes & en prose, avec l’histoire
véritable
de la Piece. Histoire de la Piece. « Le six
ntitulai le Fils naturel ou les Epreuves de la vertu, avec l’histoire
véritable
de la piece. « Sans la supposition que l’aventure
lle le soutient même à Valere. L’imbroglio finit quand on découvre le
véritable
sexe d’Ascagne. On confirme son mariage avec Vale
ur célébrer l’heureux retour du prétendu Lucindo. Dans ce temps-là le
véritable
arrive : il se présente à son pere, qui le croit
urbe. On met les deux Lucindo en présence l’un de l’autre : enfin, le
véritable
montre des lettres qui justifient ce qu’il est. O
piece, est un de ces prétendus protecteurs qui voudroient avilir les
véritables
personnes à talent, & s’engouent des originau
être Un original d’un tel prix ? Criquet. Je le connois ; c’est une
véritable
encyclopédie, id est, l’abrégé de toutes les scie
eux : Le parfait Domestique. Fort bien ! Ou l’Histoire curieuse &
véritable
du célebre Frontin. Charmant début ! . . . . . .
oètes qui ont souvent un goût équivoque, mais où l’on sent encore une
véritable
sève ou tout au moins beaucoup d’esprit : Rotrou,
de vie avant Louis XIV, soit arrivée promptement sous son règne à un
véritable
dépérissement, qu’en faut-il conclure ? C’est que
seule, devenue l’état des pensions de 1663, si souvent cité comme une
véritable
curiosité. Nous nous bornerons à rappeler que Cha
soit incroyable ; mais que tout ce qu’il venoit de me dire étoit très
véritable
, n’ayant aucun intérêt de déguiser la vérité ».
ssi entendu admirablement les habits des Acteurs en leur donnant leur
véritable
caractère, et il a eu encore le don de leur distr
er, une femme hardie mettait Molière en mélodrame. Non pas le Molière
véritable
, tel que le montrent ses œuvres, plus accusatrice
n du premier rang la muse comique et ceux qu’elle inspire, puisque le
véritable
honneur, la droite raison, la franche vertu ne so
ante. Molière, soutenant qu’il a tout de bon voulu venger la dévotion
véritable
, ressemble à Pascal soutenant que les cinq propos
tateurs le caractère d’un méchant homme, et ne fasse éclater celui du
véritable
homme de bien que je lui oppose. » Vous nous paye
trop la main sur la conscience, n’appelle pas trop en témoignage les
véritables
gens de bien ? Quand la vraie dévotion lui demand
ui veut-on ? A Tartuffe, n’a-t-il pas pris soin d’opposer Cléante, le
véritable
homme de bien, Elmire, la véritable femme de bien
s pris soin d’opposer Cléante, le véritable homme de bien, Elmire, la
véritable
femme de bien, et encore Dorine qui est certainem
la véritable femme de bien, et encore Dorine qui est certainement la
véritable
fille de bien ? Les « zélés indiscrets » qui le t
un peu madré sait se garer, Bourdaloue la remplace par la Providence
véritable
, qui voit tout, à qui rien n’échappe et que sa vo
ec elle les fruits de la grâce et les semences d’une piété sincère et
véritable
. C’est pourquoi, au lieu d’employer son zèle à co
à effacer, autant qu’il est possible, de son esprit, toute idée de la
véritable
piété et à lui faire juger que tout ce qui s’appe
u’ils trompent quelques fois ? — Ces exemples, ajoute-t-il, de vertus
véritables
et incontestables sont bien rares. — Quoique rare
t qualité pour cela sans contestation possible, nous en ont tracé. Le
véritable
homme de bien, Molière l’avoue, c’est le vrai dév
oi donc en faire, si ce n’est pour empêcher ce que vous savez être un
véritable
désordre soit dans l’intérieur de votre famille,
le 12 mai 1661, « le Roi connut tant de conformité entre ceux qu’une
véritable
dévotion met dans le chemin du ciel et ceux qu’un
Damis. Oui, j’ai depuis huit jours imité mes confreres. Sous leur nom
véritable
ils ne s’illustrent gueres ; Et, parmi ces Messie
avec une impertinence qui ajoute un ridicule à leurs prétentions. Un
véritable
glorieux préfere une naissance illustre à tout. I
ni ciel, ni saint, ni Dieu, ni loup-garou503 ; qui passe cette vie en
véritable
bête brute ; un pourceau d’Épicure, un vrai Sarda
n ensemble de maximes, qui, réunies et mises en ordre, constituent un
véritable
code moral du mariage : je demande de quel auteur
Est une espèce de folie ; La vertu
véritable
est la poltronnerie, Qui nous
Pour nous surprendre avec adresse ; Mais la
véritable
sagesse Consiste en l’obstinat
nnée à Scaramouche, il ne semble même pas qu’il y ait eu parmi eux un
véritable
chef, comme l’était Molière, par exemple, parmi l
uement : “Qui es-tu ?” et se répondent en même temps : “Arlequin.” Le
véritable
est tout à fait confondu lorsqu’il voit paraître
ois il est bon de faire ici nos conventions et de distinguer entre la
véritable
vertu et la pruderie. « La vertu d’une femme, dit
de sciences comme de vers. Elle possède d’ailleurs des connaissances
véritables
, quelque mauvais usage qu’elle en fasse. Malgré s
t d’un grand mépris pour les autres ; il manque à sa vertu, pour être
véritable
, la tolérance et la charité. Un homme qui se sent
honnête et dévoué. Le dévouement est en effet l’un des caractères du
véritable
amour ; et quelle femme est plus dévouée qu’Henri
înement »est historiquement très saisissable. Entre 1663 et 1670, une
véritable
campagne de plume se mène contre les Dévots, de l
es36 de la pièce de Molière, mais encore dans ce Charpy le personnage
véritable
qui a dû « fournir le plus de traits » au portrai
comme un simple groupement d’« honnêtes gens » pieux, mais comme une
véritable
société de « personnes ôtées du monde ; » — néanm
r du prochain, qu’au contraire, par une miraculeuse contradiction, le
véritable
solitaire s’ouvre à toute sorte de compassion sur
altérations7. Aucune édition des œuvres de Molière n’en donne donc le
véritable
texte. Ce texte se trouve seulement dans les édit
re de Molière, Goldoni, voulut faire présent à son pays de la comédie
véritable
, de la comédie de caractère et de mœurs, image de
France, de même que naguère le Cid avait ouvert celle de la tragédie
véritable
. L’Espagne nous avait fait présent de l’une et de
du troisième. Une seule fois, Molière sembla prétendre à corriger un
véritable
vice, en l’attaquant de front et en forme, c’est-
ges existants qu’elle produisait sous leurs noms et sous leurs traits
véritables
, ne tarda point à se jeter dans un excès contrair
de vue, que les justes dimensions, les formes exactes et les couleurs
véritables
de l’homme. Et quel peintre de la société a mieux
on roi un fastueux surintendant ne lui permettant pas de composer une
véritable
comédie, il fait succéder les unes aux autres des
prochent de les ignorer. Ils se trompent encore en ce point ; car les
véritables
hommes de lettres les connaissent, quoiqu’ils ne
raisemblable ; mais que Molière, qui était certainement informé de la
véritable
naissance de sa femme, Molière, dont la raison et
l’aventure est peu croyable, déclare qu’elle n’en est pas moins très
véritable
; et il y a tout lieu de croire qu’il la tenait d
elui qui mit dans la bouche de Cléante un si admirable portrait de la
véritable
piété, n’eut pas le malheur de repousser les véri
roirait, d’après de pareilles assurances, que le texte de 1734 est le
véritable
? Il n’en est cependant rien. Ce que l’éditeur di
causé une certaine joie à mener à bonne fin, nous ajouterons aussi un
véritable
profit. On gagne toujours en effet quelque chose
is il nous faut aujourd’hui honorer, respecter, mettre en lumière les
véritables
gloires qui nous restent. Nous ressemblons assez,
à Molière de ce côté ; Rohaut et Mignard, plus graves, devinrent les
véritables
confidents du malheureux. « C’était à ces deux me
le curé Roulès se plaint de Turenne, « qui n’est point de la religion
véritable
et catholique ». Il se trouverait bien encore, en
seulement le bon sens qui raille ou s’indigne, il y a là une grandeur
véritable
, je ne sais quoi de plus profond, un sentiment pl
découverte que Molière fut le premier conférencier. Oui, c’étaient de
véritables
conférences que ces causeries où Molière commenta
des maris. Un ennemi violent, Baudeau de Somaize, dans sa comédie des
Véritables
Précieuses (Jean Ribou, 1660), se moque de Molièr
r, c’est le portrait qu’a tracé de Molière l’auteur de Zélinde, ou la
Véritable
Critique de l’Ecole des femmes. L’auteur de cette
e marqué l’heure où Molière acheva quelqu’un de ses chefs-d’œuvre. Le
véritable
cadre de ce portrait, ce sont les documents que M
étudie est plus borné que celui de cet infini Shakespeare. Mais si le
véritable
génie consiste dans la pondération absolue, dans
x frères Jacques et Louis Béjart, Madeleine Béjart, femme entendue et
véritable
directrice, qui remaniait parfois les pièces selo
tre depuis si longtemps annoncée par M. Ed. Thierry sera un événement
véritable
. Du Croisy (Philibert Gassot, sieur), gentilhomm
oi. Il donna avant & depuis ce temps-là, plusieurs piéces dans le
véritable
goût de la comédie, que nos auteurs avoient négli
t incomparablement plus simples, plus naturelles, et de plus d’esprit
véritable
que celles de sa jeunesse. On trouve même dans un
ours, qu’il n’a ajoute à leur gloire par sa protection. Voilà donc un
véritable
quatrumvirat constitué à la cour, et par cette ra
eille le sentiment de la grandeur, mais il ne montre pas où réside la
véritable
grandeur : « Il renfle l’âme et ne la nourrit p
agitent, le ciel s’ouvre et nous invite à chercher plus haut le héros
véritable
de cette poésie nouvelle. Dieu, ce même Dieu que
ct pour ne jamais trop appuyer ; c’est le sage formé par le monde, le
véritable
honnête homme, tel qu’on, l’entendait au dix-sept
et la vieille Laforest, voilà les deux amies de Molière, et ses deux
véritables
gardes du corps, aussi sont-elles inséparables da
it ni ciel, ni saint, ni Dieu ; un loup-garou, qui passe cette vie en
véritable
bête brute ; un pourceau d’Épicure, un vrai Sarda
elle cette bête fauve ; comment enfin il parvient à faire une comédie
véritable
, de la biographie ardente de ce fatal Don Juan. C
âne entra tout seul, ce qui vous prouve bien que ce n’était pas l’âne
véritable
de Sancho Pança. On a beaucoup parlé, de nos jour
Pourtant, en dépit de tous ces obstacles aux fureurs de Don Juan, le
véritable
avertissement lui vient du fantôme ; une fois que
te tout exprès pour nous montrer un fantôme, est devenue une tragédie
véritable
; le fantôme est un être réel, l’abîme existe et
lle, il ne sait pas ce que c’est que le pauvre… Le pauvre ! Il est le
véritable
Commandeur ! Voilà la voix sépulcrale qui s’écrie
trop versé dans les choses historiques et trop habitué à respecter la
véritable
grandeur, pour ne pas prendre en main la défense
elle eût été la reine, c’était madame la duchesse de Montpensier ! —
Véritable
fille de l’Espagne, élégante jeunesse, visage cha
verainement sur le théâtre. Dans ce qui est aux yeux, des Italiens le
véritable
art comique, dans la Comédie de l’art, la parole
, présentée comme type à suivre désormais, ne donnait pas toujours le
véritable
texte de Molière que nous devions dès lors nous a
commença à paraître dans le monde. Elle était faite pour y obtenir de
véritables
succès ; mais l’affectation dans laquelle elle av
nouveau, s’écria du milieu du parterre : Courage, Molière ! voilà la
véritable
comédie ! Ce mot, qui est devenu le jugement de l
e de personnages puissants, déclarer qu’il n’avait pas eu en vue les
véritables
précieuses, mais celles qui les imitaient mal (c
ffectionné le public. Dom Garcie de Navarre, que, dans sa préface des
Véritables
Précieuses de janvier 1660, Somaize nous a appris
ffet qu’au mérite de la discrétion », Boileau fut alors chargé par le
véritable
auteur de dire à Chapelle que, s’il ne démentait
Critique de l’École des femmes avait fait imprimer une clef des noms
véritables
que couvraient ceux des personnages de sa pièce ;
oute espérance : « Le Roi connut tant de conformité entre ceux qu’une
véritable
dévotion met dans le chemin du ciel, et ceux qu’u
s d’imprimer est à la date du 8 avril 1665. Cet écrit portait le nom,
véritable
ou supposé, d’un sieur de Rochemont, qui appelait
luence que les meilleures satires de Boileau. Le Misanthrope est une
véritable
galerie des travers et des ridicules alors en fav
tes, il faut avouer que Molière est lui-même un tartuffe achevé et un
véritable
hypocrite… Si le dessein de la comédie est de cor
Nous, sachant combien il serait en effet dangereux de souffrir que la
véritable
piété fût blessée par une représentation si scand
dans la troupe du Palais-Royal. Celle-ci créa plusieurs rôles avec un
véritable
talent ; et son mari, dont on avait désespéré abs
s d’amour et de vigueur serait présumé être fondé dans sa demande. Le
véritable
époux atteignit, au grand étonnement de ce singul
te pièce eut dix-sept représentations consécutives. La Préface de son
véritable
auteur, Subligny, qui ne se fit pas tout d’abord
gue. C’est déjà beaucoup pour lui de s’être montré si supérieur à ses
véritables
contemporains les Scarron et autres ; et, pour ne
t la pâle couleur de ce nouveau vêtement, auprès du brillant éclat du
véritable
, donnera la mesure de la folie dont on s’est plu
extraire ce récit donnent à entendre que la femme du barbier était le
véritable
malade que le médecin allait visiter de temps à a
elques autres personnes, pour les guérir de leur incrédulité, que les
véritables
grands hommes avaient toujours respecté les médec
posa les règles de la comédie avant l’Art poétique ; la ramena à son
véritable
genre, l’imitation de la société ; découvrit son
mena à son véritable genre, l’imitation de la société ; découvrit son
véritable
but, la critique de nos ridicules et le châtiment
tés de sa veuve, et dont il adopte tous les ouvrages ? » (Préface des
Véritables
Précieuses, comédie en un acte, en prose, par Som
re Somaize, qui, non content d’exploiter le succès de Molière par ses
Véritables
Précieuses, son Procès des Précieuses, ses Dictio
us solide jugement, 3 000 livres. » 48. De Visé, dans Zélinde, ou la
Véritable
Critique de l’École des femmes et la Critique de
e bâton si vous la jouiez. Plusieurs personnes ont cru que cela était
véritable
. » Ces menaces anonymes n’avaient rien que de vra
it, vivant, un infâme commerce. Satirisant chacun, cet infâme a vécu
Véritable
ennemi de sagesse et vertu : Sur un théâtre il fu
olière même dit dans sa préface, qu’il a beaucoup de respect pour les
véritables
Précieuses, et qu’il n’a voulu jouer que les faus
it amoureux n’avaient pas essuyées. Un certain Antoine Bodeau fit les
Véritables
Précieuses ; on parodia la pièce de Molière : mai
it Panulphe. Et ce n’était qu’à la dernière scène qu’on apprenait son
véritable
nom de Tartuffe, sous lequel ses impostures étaie
e judiciaire ; on y croyait d’autant plus, qu’on connaissait moins la
véritable
astronomie. Il est rapporté dans Vittorio Siri, q
et la dernière de toutes, Le Malade imaginaire, qui se termine par de
véritables
fusées de folle et d’étourdissante gaîté. Étourdi
erreur et d’avoir ramené les esprits à un plus juste sentiment de la
véritable
mesure. D’autres écrivains lui vinrent en aide, B
ment vrai et du cœur. Il importe peu que l’on suppose à Alexandre une
véritable
passion; il ne parle qu’en homme habitué à manier
répéter sa troupe devant lui, il indique les principes naturels de la
véritable
déclamation, et, chose intéressante, les principe
ux. Us gardent une foi et un culte. Nulle part l’adoration n’est plus
véritable
que dans ce pays, qui ne recule devant aucune des
vrai que partout où il est soumis à une forme établie et jugée seule
véritable
, partout où l’hétérodoxie est plus dangereuse que
tique et dramatique. Mais ce n’est pas tout. Elle renferme encore une
véritable
action, toute intérieure sans doute, mais réelle:
fond, Philinte est moins le contradicteur que l’ami d’Alceste, un ami
véritable
, sur qui retombent les dures incartades du misant
nt inattendue au milieu d’une société trompeuse ; celle de la passion
véritable
éclatant au milieu d’un monde où elle ne saurait
n aux hommes. Toutefois cette hardiesse de Molière est pour nous d’un
véritable
intérêt. Elle nous le montre prenant au milieu de
ut lorsqu’il se présente sous une autre. Comment faire pour saisir la
véritable
figure de ce Protée ? Je n’entreprendrai pas de l
éâtrale que le XVIIIe siècle y a ajoutée, de les rendre par là à leur
véritable
signification, qui n’est pas autre chose qu’une i
act pour ne jamais trop appuyer; c’est le sage formé par le monde, le
véritable
honnête homme, tel qu’on l’entendait au XVIIe siè
e du poète comique ! Qu’il se nomme Aristophane ou Molière, il est le
véritable
prophète de ces sociétés déjà atteintes au cœur,
sier. Le parrain, Jean Pouguelin était aïeul paternel de Molière. Le
véritable
nom de cette famille était Poquelin ; mais les re
art, ce qu’il ne faut pas leur permettre, c’est de dénaturer l’aspect
véritable
de la vie de l’écrivain. Les biographes qui rappo
s sont suspects sans doute ; mais le fond, selon toute apparence, est
véritable
. Et, à ce propos, on ne se fait point faute d’acc
avers ses pérégrinations provinciales, et en arriver finalement à son
véritable
point de départ, à l’acte de constitution du 30 j
nce d’Hylas (1630), La sœur Valeureuse (1633), Le Railleur (1636), Le
Véritable
Capitan Matamore (1637). Lisanor ou la cour bergè
t du Médecin malgré lui eût été entraîné d’abord si loin de son génie
véritable
, si l’on ne savait combien c’est là une méprise f
pièces dont nous avons parlé tout à l’heure et qui formaient comme de
véritables
intermèdes à la mode espagnole. Cette application
comédie, que le goût de Paris ne tardera pas à lui assigner comme son
véritable
domaine. Cette troupe arrivait à Paris dans une s
udissements de l’autre, le contraindront impérieusement à céder à son
véritable
génie. Mais combien d’épreuves il aura fallu pour
tre, allait seulement voir le jour. L’hôtel de Rambouillet restait le
véritable
distributeur de la renommée. À le juger à un poin
it à composer coup sur coup Le Grand dictionnaire des précieuses, Les
Véritables
précieuses, Le Procès des précieuses, La Pompe fu
nsistance la distinction qu’il avait indiquée dans sa pièce entre les
véritables
précieuses et les précieuses ridicules. Ni L’Étou
us parfait ont été de tout temps la matière de la comédie, et que les
véritables
précieuses auraient tort de se piquer lorsqu’on j
. Il avait alors près de trente-huit ans. Il est enfin éclairé sur sa
véritable
voie ; il voit la carrière qui s’ouvre devant lui
é certaines imaginations. M. Ed. Fournier a bâti, pour y échapper, de
véritables
romans des plus compliqués et des moins vraisembl
lus forte raison, si l’on suppose un complot tramé pour dissimuler la
véritable
naissance d’Armande et abuser les Poquelin, sera-
sition, mais elle ne s’enorgueillit pas de ce qui aurait dû faire son
véritable
orgueil, c’est-à-dire du génie de son mari, et du
« se peindre en tous lieux » on court grand risque de méconnaître sa
véritable
originalité. Nous serons obligé de signaler plus
ort divertissante, le roi connut tant de conformité entre ceux qu’une
véritable
dévotion met dans le chemin du ciel, et ceux qu’u
le parut d’abord, une récidive, une aggravation du Tartuffe, mais sa
véritable
contre-partie et le complément de l’idée de Moliè
de La Princesse d’Élide avait été pour Armande Béjart l’occasion d’un
véritable
triomphe. La coquetterie l’emporta décidément, et
dylle sentimentale et la mascarade burlesque ; la Pastorale était une
véritable
folie du carnaval royal109. Molière y remplissait
Nous, sachant combien il serait en effet dangereux de souffrir que la
véritable
piété fût blessée par une représentation si scand
fait étranger. La troupe lit, à ce qu’il parait, pendant ce séjour un
véritable
tour de force, en jouant L’Accouchée ou l’Embarra
un versificateur expert et d’un écrivain qui n’est pas sans verve. La
véritable
opposition au Tartuffe eut lieu dans les chaires
côté de la réalité ; parfois, sans doute, il ne sait plus où est son
véritable
moi, où est l’illusion. On peut aller plus loin e
it, vivant, un infâme commerce. Satirisant chacun, cet infâme a vécu
Véritable
ennemi de sagesse et vertu : Sur un théâtre il fu
ton de raillerie intempestif et malsonnant inspire des doutes sur les
véritables
sentiments de l’auteur. Contentons-nous d’en extr
ent, ont affirmé, au contraire, que les mauvaises passions furent les
véritables
ressorts de son génie. Il y a de l’exagération da
pe (24 janvier 1673), moins d’un mois avant la mort de son maître. La
véritable
carrière de Baron, toutefois, ne commence qu’aprè
n exactement M. Le Baron et M. Béjart. 46. Zélinde, comédie, ou la
Véritable
Critique de l’école des femmes et la Critique de
Mémoires de Guillot-Gorgeu qu’il a acheté de la veuve.” (Préface des
Véritables
Précieuses, du sieur de Somaize ; 1660.) 64. La
de Molière, cherchons de plus près quelle est, en cette occasion, sa
véritable
pensée, et nous rencontrerons bientôt divers pass
e. Il ne pouvait même, dans le Tartuffe, refuser quelques fleurs à la
véritable
piété. Tartuffe est un « faux dévot ». Cléante se
a famille et l’humanité. La vraie religion consiste à bien vivre. Les
véritables
dévots : Ce ne sont point du tout fanfarons de v
ces mots, je me vis arraché. La Fleur. Voilà ce qu’on appelle un ami
véritable
. Le Marquis. Un obstacle cruel, & presque ins
, dussiez-vous vous en prévaloir contre moi, découvrir à vos yeux les
véritables
sentiments de mon cœur. Je n’ai jamais aimé que v
tte circonstance, & s’avise d’un stratagême propre à éprouver les
véritables
sentiments de Flaminia pour son maître : il feint
cin & la malade s’évadent ensemble, & que Sganarelle signe un
véritable
contrat de mariage en croyant plaisanter. Dans le
baucher un raccourci. Donc, ce que je desire vous représenter est une
véritable
histoire, & vous le connoîtrez quand la scene
BLIOTHÈQUE DU ROI Paris, le 9 mai 1829. Monsieur, J’ai reçu avec un
véritable
plaisir la lettre que vous m’avez fait l’honneur
vous plaire. Je vous prie d’en agréer l’assurance, ainsi que celle du
véritable
dévouement avec lequel j’ai l’honneur d’être, Mon
e qu’il dit se trouve n’être plus naturel. Ces gestes gâtent ainsi la
véritable
réponse. Sur le degré de fausseté nécessaire à ch
après cette première scène, et celle de 1’incrédulité ? Voilà un des
véritables
avantages d’être venu le premier. Nous avons des
ose au monde et plus noble, et plus belle, Que la sainte ferveur d’un
véritable
zèle ; Le raisonnement ci-dessus sur l’égoïsme d
e. Valère Sans doute ; et votre cœur N’a jamais eu pour moi de
véritable
ardeur. Mariane Hélas ! permis à vous d’avoir cet
go. III.L’Avare L’Avare peut-il être ridicule 75 ? Oui. 1º Le
véritable
Avare, en le montrant pusillanime à force d’avari
Le caractère de Femme savante ne me paraît donc pas susceptible d’un
véritable
ridicule, comme par exemple le caractère de l’hom
a le tempérament de Mme Lanfant qui parle de Zizette avec une horreur
véritable
. Ce point ci a été très bien vérifié. Approuvé le
des deux femmes sur cette question si souvent agitée, s’il faut qu’un
véritable
amant soit jaloux ou ne soit pas jaloux, est le s
ses ridicules, quoique ce ne fût qu’un acte sans intrigue, firent une
véritable
révolution : l’on vit pour la première fois sur l
jà valu à leur auteur plus d’une satire. Un sieur de Saumaise fit les
Véritables
Précieuses ; car il est bon d’observer qu’origina
le titre de la pièce, il déclara dans sa préface qu’il respectait les
véritables
Précieuses. Mais comme en effet presque toutes al
u’Alceste est dans cette pièce un homme droit, sincère, estimable, un
véritable
homme de bien; l’autre, que l’auteur lui donne un
à un Dieu; ce qui n’est nullement vraisemblable. S’il peut y avoir de
véritables
athées, ce sont surtout les hypocrites. Le seul r
à ses diverses situations, qu’autant qu’il se persuade voir le héros
véritable
d’une action réelle. L’instruire de son erreur, c
se sentent hors d’état de le traiter avec succès. On peut comparer la
véritable
Thalie à une femme charmante déchirée en secret p
George Dandin ». Antoine Baudeau, dans la Préface de la Comédie des
véritables
Prétieuses, reproche à Moliere d’avoir imité le M
lle amitié (de mesdames de Montespan et Scarron) s’est changée en une
véritable
aversion, une aigreur, une antipathie comme du bl
tié tout ce que chacun dit. Acaste. Dieu me damne, voilà son portrait
véritable
. Clitandre, à Célimene. Pour bien peindre les gen
e, Et vous pouvez pousser contre moi la satyre. Philinte. Mais il est
véritable
aussi que votre esprit Se gendarme toujours contr
jusqu’ici excusables, nobles, héroïques même143, deviennent une faute
véritable
quand, pour tous les ridicules, tous les vices qu
u’Alceste est dans cette pièce un homme droit, sincère, estimable, un
véritable
homme de bien ; l’autre, que l’auteur lui donne u
inattendue. La troupe italienne était-elle donc autorisée à jouer de
véritables
pièces françaises, entièrement françaises ? Racin
s Plaideurs et de Tartuffe, suivant la thèse enveloppée de Racine, la
véritable
comédie n’est pas la seconde, c’est la première.
x avocats autour d’un chien accusé que d’avoir mis sur la sellette un
véritable
criminel et qu’on eût intéressé les spectateurs à
ie a porté un de ces coups dont on ne sauve sa tête qu’en fuyant ? Ce
véritable
criminel mis sur la sellette, n’est-ce pas Tartuf
s dimensions celle qui décorait la maison natale du poète, puisque la
véritable
sculpture, sauvée par Alexandre Lenoir, a si malh
de dire, quoique Somaize réponde, par l’intermédiaire du poète de ses
Véritables
Précieuses : « C’est la même chose : ce sont deu
el Molière jette à ses calomniateurs cette réclame qui semble le seul
véritable
objet de leurs désirs ; rien de juste et de sensé
mais mieux appliqué39. » Voilà pourquoi, lorsque dans sa comédie des
Véritables
précieuses, imprimée le 7 janvier 1660, Somaize a
, nº 19, 1er octobre1880, p. 214-215. Je viens enfin de découvrir le
véritable
Vinot, qui a donné, en 1682, de concert avec La G
résente le texte de ces actes et de la difficulté de connaître le nom
véritable
de quelques-uns des signataires, nous nous sommes
ot. Dans Moliere, Eraste remet Pourceaugnac entre les mains de deux
véritables
Médecins ; il ajoute par-là un comique infini, pu
au monde « chose plus noble et plus belle que la sainte ferveur d’un
véritable
zèle » : Point de cabale en eux, point d’intrigu
les animaux, il s’est pris pour eux, comme pour la nature, d’un amour
véritable
; il les porte dans son cœur, il plaide leur caus
nom de Médecin volant. Il est probable que c’est là l’interprétation
véritable
. Le Médecin volant fut joué en province et sembl
que celles qui étaient « ridicules ». Il dit dans sa Préface : « Les
véritables
précieuses auraient tort de se piquer lorsqu’on j
prétends réhabiliter Don Garcie en disant qu’il en est. Il s’agit du
véritable
amour : Mais que contre ses vœux on combat vaine
savent que ce n’est pas loin d’être Sa même chose » Il y a snrtout.de
véritables
dépressions du sujet ou du personnage principal.
tryon » celui qui donne à dîner, à cause des deux vers de Sosie : Le
véritable
Amphitryon Est l’Amphitryon où l’on dîne. Il me
le comprendre et à le croire, et j’ai trouvé cela trop beau pour être
véritable
. Toutes ces belles raisons de sympathie, de force
ifférente, les érudits en ont donné des preuves, de ce qu’étaient les
véritables
soutenances et réceptions de ce temps-là et qu’il
i lui sont chères par des servantes est si forte qu’elle l’amène à de
véritables
bizarreries dans l’attribution des offices. On pe
et de Molière qu’ils sont moraux comme inexpérience. C’est absolument
véritable
. Mais, je vous prie de considérer ceci, est-ce qu
sorte que son comique a pour instrument les coquins, mais pour sujet
véritable
, pour objet véritable, les sots ; rien n’est plus
a pour instrument les coquins, mais pour sujet véritable, pour objet
véritable
, les sots ; rien n’est plus exact. Mais d’abord s
coquins, sans du reste rendre les coquins sympathiques, il remplit le
véritable
office, même moral, de la comédie, La comédie ne
par ces défauts ils se prêtent à être victimes des coquins. Voilà le
véritable
office de la comédie, voilà, pour ainsi parler, s
gueilleux. Il y a dans votre irritation contre les hommes de la vertu
véritable
et une certaine hauteur d’estime où vous êtes de
très inutile, ce n’est pas l’essentiel de la tâche. Voilà la comédie
véritable
et voilà la comédie normale de tous les temps. El
nte, non seulement cette « sagesse » qu’il vient de décrire, mais une
véritable
bonté, ou, si l’on veut, et c’est plutôt cela, sa
e point ; elle supporte la perte de sa fortune avec un stoïcisme très
véritable
et très simple ; elle est une grande intellectuel
hose au moo.de et plus noble et plus belle Que la sainte ferveur d’un
véritable
zèle, Aussi ne vois-je rien qui soit plus odieux
furie ? Ne m’as-tu pas roué de coups ? Ah ! Tout cela n’est que trop
véritable
; Et plût au ciel le fût-il moins ! Gesse donc d’
s ouvrages, il s’élance, avec autant de bonheur que d’audace, vers le
véritable
but de la comédie, celui de combattre nos travers
Marphurius suffiraient pour donner un rang distingué à cette comédie,
véritable
peinture de mœurs où brillent des éclairs de géni
i n’est jamais la soubrette de convention des autres auteurs, mais la
véritable
servante de la maison où la scène se passe. Quell
mystique et les formes péniblement contournées de sa conversation. Le
véritable
public devint l’instrument de quelques sots et de
s un portrait, une image semblable ; C’est un Amant, un Fils, un Père
véritable
. J’aime sur le Théâtre un agréable Auteur Qui, sa
Celia. Scapin s’empresse d’exécuter ces ordres, mais au profit de son
véritable
maître. Au moment où il a compté l’argent et où i
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